Lui donnant ses vêtements je le regarde se changer ou plutôt le devoir des yeux. Il était toujours aussi parfait à mes yeux même si son coma lui a fait perdre un peu de point. J’avais hâte qu’on puisse enfin se retrouver. Je le laisse se vêtir prête à aider si besoin mais il se débrouilla très bien sans moi. On sort donc de la chambre marchant pas trop vite pour pas qu’il force trop d’un coup puis il fatigue et on se posa un instant sur les chaises dans le couloir. Je rougissais encore après avoir vue son sourire charmeur. Il pouvait me demander la lune que je la lui donnerais uniquement avec ce si beau sourire.
On fait tout ce que tu veux. Ce soir c’est ton soir à toi. On peut se regarde un film au cinéma, ou à la maison. On peut aller manger un bout au resto, ou faire une petite balade mais avec ton genou je doute que ça soit une très bonne idée. Ou encore on peut se faire une petite soirée romantique à la maison ? C’est comme tu veux. Je suis tout à toi ce soir dit moi ce que tu veux et je te le donne.
Je passe mes bras autour de son cou et effleures mes lèvres contre les siennes avant de l’embrasser.
Si tu savais à quel point tu m’as manqué. Deux semaines sans toi on était une véritable torture. Pendant un moment j’ai cru ne jamais revoir se si beau sourire sur ton visage.  

À moi aussi elle m’avait manqué, terriblement. J’avais envie de passer du temps avec elle et ce soir on me le permettrait. Je ne remercierai jamais assez ce médecin. Tout ce qui manque à notre amour, c’est un bébé. Ce que je n’aurai jamais avec elle finalement. Je lui souris. J’ai envie d’une soirée tranquille à la maison, on se fera un chinois en regardant un film d’amour et après… on pourrait… j’ai envie de te faire l’amour. Sussurais je à son oreille cette dernière phrase. Je souris en coin. Et le médecin vient me voir. Tout est prêt, vous pourrez rentrer dès que vous vous en sentez capable. Mais rentrez demain pour 6 :00 d’accord? Je souris. Oui merci. Je me lève de la chaise et retourne dans ma chambre chercher ma veste, je voulais quitter cet hôpital le plus rapidement possible. Ma voiture est ici ou tu l’as ramener à la maison? Je regarde Alexa, attendant sa réponse, prêt à partir.

Je me mis à rougir comme une tomate quand il me dit vouloir me faire l’amour. J’en avais terriblement envie aussi. Je ne désirais que cela pouvoir être avec l’homme que j’aime et partager ce moment chanel qui réunit nos deux corps pour qu’il n’en forme qu’un seul.  Le médecin arriva pour nous dire que tout était prêt pour le départ de Ian et je baissai le regarde pour pas trop montrer que j’étais tout rouge.  Une fois retourner à sa chambre je prends nos affaires et mes jour retrouve une couleur plus ou moins pale. Je le regarde et ‘avance vers lui.
Non elle est toujours sur le parking avec mon bras je peux plus conduire du coup elle n’a pas bougé d’ici mais de toute façon avec ton genou je doute fort que tu puisses conduit mon cœur. Heureusement que les transports en commun existe. Tu es prêt à rentrer cher toi ?  
J’avais hâte de franchir la porte de cher nous avec lui à mes coté. Pour la première fois depuis al naissance des jumeaux j’étais heureuse de rentrer à la maison, car je savais cette fois ci que je ne serais pas seul et que j’aurais l’amour de ma vie à mes coté. On se dirige dans les couloirs pour sortir de l’hôpital. Je prends soin de ne pas marcher trop vite pour pas le faire forcer sur sa jambe.
Je te préviens la maison n’a pas changer d’un pouce depuis la dernière fois que tu la vue.  

Je souris et rit à l’image que j’ai de ce qu’elle me dit en dernier, imaginer que la batisse prend ses jambes à son cou et faire une distance de deux pouces. Oui c’est vrai, par ma faute… tu ne peux pas conduire. Je n’arrive… pas à croire que j’ai pu te faire ça. Je me sens tellement mal. Je ne pouvais m’empêcher de m’en vouloir, je n’arrivais pas à croire que j’ai fait ça. On se rends à l’arrêt de bus et ensuite on arrive chez nous. L’odeur de mon apparte portait celle d’Alexa. Ça sent si bon ici. Je m’avance jusqu’au divan, fatigué de marcher. J’avais mal à mon genou. Je pose mes béquilles après le divan et je m’assois. Je lève mon regard vers mon tendre amour. Je t’aime… tu sais ce qui manque à notre bonheur? Un petit bébé juste à nous deux. Je souris en coin lui tendant ma main.

Il se sentait toujours coupable et j’avais hâte de pouvoir retirer se plâtre car me voir comme ça devait pas l’aider à déculpabiliser. Moi je lui en voulais pas mais de toute évidence j’avais beau lui dire ça changer pas grand-chose à son état.  
Ian je t’assure tu te bouffe la vie pour rien je t’en veux pas alors arête de te sentir coupable d’accord.
J’embrasse sa joue puis on sort du bus pour arriver cher nous. Je souris à sa remarque. Il trouvait que ça sentais bon, je ne sais pas comment il fait moi je sens rien. Je pose nos affaires dans notre chambre puis le retourne au salon. M’approchant je saisi sa main et le voilà en train de parler bébé. J’essaie de garder mon sourire mais j’avoue que je m’attendais pas à aborder le sujet aujourd’hui et je du paraitre surement un peu bizarre car je me sentais tout à coup nerveuse. Je m’assoir à côté de lui. Pourquoi il fallait qu’il parle de ça le jour où je fais un test négatif ? A croire que je n’ai pas de chance dans la vie ou quoi ?
Oui tu as raison.
Réponse rapide mais sur le coup je s’eu pas trop quoi répondre car dans ma tête tout ce que j’avais c’était l’image négatif du test et le sentiment d’avoir détruit le peu d’espoir que j’avais de fonder une famille avec lui.
Tu veux boire quelque chose ?
Et voilà quand quelque chose me gêne je change de sujet en espèrent qu’il ne poursuive pas cette conversation et qu’il n’est pas remarquer ma gène lorsqu’il a abordé le bébé. Avec moi c’est facile quand un truc va pas ou me met mal ç l’aise je change de sujet question d’auto défenses avec les années.  

Je ne sais pas, mais j’ai eu l’impression, l’espace d’un instant, qu’elle était moins enthousiaste d’avoir un bébé avec moi. Sans doute parce que je n’ai plus ma dépression. Et si elle l’avait désirer que dans le but que je ne sois plus dépressif? Au début, on croyait que c’était à cause de ma stérilité que j’ai fait cette dépression, mais au final, c’était à cause de cette maladie. Et comme elle s’est rendu compte que je pouvais tolérer cette idée de ne pas avoir d’enfant avec elle, qu’elle en avait pas trop envie maintenant. Et si elle voulait juste me faire plaisir et qu’elle n’en veut pas? Ce serait bête. Non j’ai pas soif… C’est à croire que tu n’en veux pas… pourquoi cette gêne quand j’en parle? Avant tu étais prête à tout pour me donner cet enfant et maintenant ce n’est plus dans tes projets? Je soupire et baisse le regard. Mais bon, j’en ferai pat un plat, de toute façon, je ne peux pas en avoir, ça doit faire son affaire si elle n’en désir pas réellement.

Et merde. De tout évidence ça n’avait pas marcher Ian et pas dupe il sait quand ça va pas. La truc c’est qu'il pense maintenant que je veux plus d’enfant alors que c'est faut. Sa ma dans la mienne je la serre doucement.
Mes projets on pas changeait Ian. Je veux toujours avoir un bébé avec toi. Encore plus depuis que… Sarah t'ait donné tes jumeaux. Je veux plus que tout un enfant de toi. Je veux pourvoir fonder une famille avec toi. C'est juste que c'est dernier jours on était pas mal éprouvant et que…
Je voulais pas lui cacher des choses mais je voulais pas lui faire de la peine seul l’une de nous doit souffrir pour se test négatif. Ian se faire plus opérer demain il a pas besoin de cette mauvais nouvelle.
Se soir je veux juste pourvoir profiter de nous deux. Je sais que tu veux un bébé et j’en veux un mais on pourrait d’abord se retrouver toi et moi puis ensuite on parlera bébé d'accord.
Je prend sa main et la porte à mes lèvre. Je veux juste passer du temps avec mon chéri et oublier se test. Je veux juste oublier la déception que j'ai eu.
  

Je souris en coin et frémis. Elle avait raison, ça doit être aussi dur pour elle, que je ne puisse pas lui donner un enfant. Surtout depuis que j’ai des jumeaux. Dans le fond, je suis père, même si ce n’est pas de cette façon que j’ai désiré l’être et maintenant, Alexa est triste que je ne puisse pas lui donner un enfant à elle. Je pose mon front contre le sien. Je suis désolé, tu as raison, ça doit être encore plus dur pour toi, comme je t’en donnerai jamais. Je suis tellement désolé, moi aussi je veux profiter de cette soirée avec toi. Je ne veux pas qu’elle soit gâchée à cause de moi. Je dépose un baiser sur ses lèvres. Tu veux bien… commander le chinois s’il te plait. J’arriverai pas à me lever pour prendre le menu papier dans le tiroir de la table à café. En plus de tout ça, je me sentais mal qu’elle doit être obligé de s’occuper de moi comme si j’étais un gamin de deux ans. Mais je sais très bien qu’elle le fait parce qu’elle en a envie. Je suis désolé de te faire bouger comme ça. J'ai l'impression que tes mon esclave, tu fais tout pour moi.

Notre couple avait échappé une dispute être m’en réjouissais. Je me lève donc être prendre le menu dans le tiroir de la cuisine pour passer un commande une fois qu'on ai choisi. Le livreur arrivera dans une heure toit au plus. Je retourne auprès de Ian.
Le livreur arrivera dans un me heure grand max. T’en fais pas mon amour j’aime m’occuper de toi. J'ai l’impression d'être une infirmière qui s’occupe de son patient.
Je ris le regardant et l’embrasse tendrement.
Tu as envie de regarder quoi comme film se soir?  Car je peut toujours aller nous chercher un dvd si tu veux voir un film que l’on à pas?
Je caresse sa joue et le regarde avec amour. Il est à mes yeux la plus belle chose au monde.
Je t'aime tu le sais.
  

Elle commanda à manger. Et je ne crois pas que ce soit une bonne idée d’aller chercher un film, elle ne pouvait pas me laisser seul. Je lui souris. Je dois avoir un film qu’on a pas vu quelque part. Regarde entre les deux portes sous le téléviseur, il y a quelques films. Je souris. Je vais trouver cela long si je ne peux pas bouger, en plus, j’y ai pensé, comment je lui ferais l’amour, si je ne peux pas bouger? Au final, on se regardera « Marie à un je ne sais quoi? » C’est une comédie drole, romantique avec Ben Stiller, il m’a toujours fait marrer. Le repas arriva, alors qu’on avait parlé de tout et de rien pendant ce temps là, mais on c’était surtout fait des mamours, en ce calinant et en s’excitant un peu avec nos caresses l’un à l’autre. On mange le souper en regardant le film. Hum… c’est délicieux! Ça fait du bien de manger quelque chose de très bon. Je ris et je prends une gorgée de mon breuvage. Une fois fini le repas, on regarde le reste du film, collé l’un à l’autre. Je passe mon temps à lui caresse le bras et à embrasser son cou ou sa tempe, sentant ses doux frissons sous mes baisers. Je t’aime follement amour.

Regardent dans le meuble sous la télévision on finit par trouver un film qu’on n’avait pas encore vue ensemble. Je le mets dans le lecteur DVD prête à le lancer une fois qu’on sera livré. Entre temps on se câline, on s’embrasse profitant l’un de l’autre. Ca faisait longtemps qu’on n’avait pas fait ce genre de chose. On finit par nous livrer et je tends la télécommande a Ian pour qu’il puisse démarrer le film pendant que moi je vais ouvrir au livreur et le paye avec un petit supplément pour son pour boire et installe tout sur la table basse du salon. J’apporte des serviettes, verres et de quoi manger puis je nous serre. Cette odeur de nourriture me retourne totalement l’estomac. J’imagine que tout proviens du stress et de la fatigue maintenant. Je ris en l’entendant commencer à manger.
Ça te change de la nourriture de l’hôpital n’est-ce pas.
Je touche un peu à mon assiette sans pour autant la terminer. Je bois un verre d’eau puis me pose au côté de mon Ianou sa main dans la mienne  et nos l’épaule collées l’une contre l’autre. Le film était plutôt agréable mais ce qui était vraiment bien c’est que j’avais récupérer l’homme que j’aime. Je joue avec ses doigts, caressant la paume de sa main de mon pouce. Frissonnant à ses baisers qu’il me donne je commence à avoir envie de plus que de petite caresse mais… je ne pense pas que ça soit une très bonne idée. Il sort d’un coma, il a une jambe qu’il peu à peine bougé et demain on lui retire une tumeur. Il doit avoir besoin de calme et de repos surement et je ne veux pas lui faire de mal avec son genou. Je crois que je passe plus de temps à le regarder lui que le film, mais il n’a surement pas idée à quel point je suis heureuse en ce moment qu’il soit là avec moi.
Je t’aime aussi mon cœur, plus que tout au monde. Ma vie c’est toi. Je ne suis plus rien si tu n’es pas avec moi.
C’était vrai s’en lui je ne suis plus rien. Deux semaines sans lui espèrent tous les jours qu’il me revienne à un moment donné. Je ressemblais plus à un zombie qu’à un être humain. Je parler pas trop avec les autres seulement avec Ian, je ne manger presque rien et dormais encore moins. Heureusement qu’il sait réveiller car je ne sais pas si j’aurais tenue très longtemps comme ça. J’embrasse sa joue tendrement et me blottie contre lui, passant son bras par-dessus mon épaule.
Merci pour tout ce que tu m’apporte. Tu n’as pas idée à quel point tu as changé ma vie à jamais. Tu m’as offert une vie, un avenir et un amour auquel je peux me raccrocher tous les jours. Avant notre rencontre je vivais ma vie par obligation maintenant je la vie par amour et c’est grâce à toi.
J’avais peut-être été un peu nostalgique mais plus jamais je veux revivre ce qu’on a vécu lorsque j’ai dur lui dire au revoir avant son coma. Si un jour la vie me l’enlève je veux juste qu’il sache ce qu’il représente à mes yeux. C’est lui qui fait battre mon cœur et qui me maintient en vie et cela personne n’a jamais réussi à le faire avec moi avant lui. 

Cette soirée était magnifique. Plus on se câlinait plus je voulais profiter d’elle et l’aimer au maximum. Je n’écoutais même plus le film, tellement je me sentais serrer dans mon jeans. Pendant que je l’embrasse je déboutonne mon pantalon et le dézipe. Je caresse son dos du bout de mes doigts sous son haut. J’ai envie de toi, laisse moi te faire l’amour. Je vais chercher ses lèvres de nouveau. Je l’attrape à moi pour qu’elle se met à cheval sur moi, face à moi. Je continue mes caresses, me reculant pour retirer mon haut. Elle pouvait très bien sentir la bosse dans mon pantalon contre ses fesses, toujours vêtus. Je l’embrasse encore et encore. Plongeant mon regard dans le sien. Je te laisserai dominer. Je lui souris. Je savais que je ne pourrai pas retirer mon pantalon complètement, mais si je le fais, je serais au moins prêt pour la nuit.

Lui rendant son baiser je me place sur lui, frissonnant sou ses caresses dans mon dos. Je peux sentir la bosse qu’il a dans son pantalon et ça m’existait beaucoup. Il retire son haut et je fais de même. Mes lèvres son baiser son épaule et mes main caresser son torse.
Tu es sur de toi ? Je ne voudrais pas te faire de mal avec ton genou ? Même si j’ai très envie de toi.
Quand on fait l’amour nos corps s’expriment sans que notre tête pense. On débranche juste le cerveau et on laisse nos pulsions et notre amour guider notre corps. On ne contrôle pas grand-chose te je ne voulais pas par mégarde lui faire mal. Je joue avec ses lèvres et glisse une main entre nous pour aller la glisser dans son caleçon et lui faire du bien. Mes lèvres s’approchent de son oreille et je lui murmure quelque mot.
Je te sens un peu à l’étroit dans ton pantalon laisse-moi arranger ça.
Embrassant son oreille pour aller baiser son coup, je continue de caresser son membre déjà bien dur tout en caressant ton corps de mon autre main. 

Je me foutais d’avoir mal, je voulais juste ne faire qu’un avec elle. Je lui souris. On se fou de mon genou d’accord? Je la laisse s’occuper de moi, elle me retire mon pantalon, tout doucement à cause de mon genou. Je frémis sous ses baisers sur mon corps. Elle joue avec mon entrejambe, me faisant gémir, les yeux fermés et la tête penchée en arrière. Elle me faisait tellement de bien. Surtout que je sais très bien qu’après mon opération, je serais deux jours a dormir et puis le jour d’après je serais totalement perdu. Et par la suite, j’aurais une à deux semaines pour récupérer de mon opération. Je serai pas sortis de l’hôpital avant 2 semaines encore. Je caresse ses hanches pendant qu’elle me branle. Je me sens déjà à l’apogée et je n’ai pas envie de venir dans sa main, mais plutôt en elle. Je relève son regard de mon index et plonge mon regard dans le sien. Retire ta culotte… fais moi l’amour avec ton sexe. Je dépose un doux baiser sur ses lèvres et la laisse retirer ses vêtements.

Je ris et si lui se fiche de son genou moi pas trop je n’ai pas envie qu’il perde l’usage entière de sa jambe, mais je lui fais confiance et continuer de l’exciter. Je fini par faire se qu’il me demande et me lève pour retirer mon bas. En me remettant sur lui mais main effleure sensuellement ses jambe remontant petit à petit. Je fini alors par le laisser entrer en moi doucement. Gémissant je commence de petit va et viens au début pour y aller doucement histoire de m’assurer que tout ce passe bien. Je ne veux pas le bousculer.
Ça m’a tellement manqué. Tu m’as tellement manqué.
Je fini par accélérer de plus en plus laissant mon amour pour lui s’exprimer avec mon corps. L’embrassant je demande accès à sa langue pour qu’elle se frotte l’une contre l’autre. Mes mains parcourent tout son corps comme si elles voulaient mémoriser chaque centimètre de sa peau pour ne jamais l’oublier.