Je souris en coin. Je pouvais bien la comprendre. Je lui en avais donné du fil à retorde ces derniers mois. Je caresse sa joue et embrasse son front. Caressant sa main avec mon pouce. Tu devrais aller te reposer. Dormir un peu. Maintenant que je vais bien, tu n’as plus à t’inquiéter. Rentre faire une sieste, j’en ferai une moi aussi, d’accord? Je lui souris. Elle était blanche comme un draps. Donc sans doute très fatiguée. Je lâche sa main pour qu’elle puisse se lever et rentrer. Mais je voyais bien dans son visage qu’elle en avait pas envie. Elle ne devait pas s’inquiéter pour moi. Va et reviens dès que tu te lève d’accord? Je t’aime mon amour. Je lui fais des yeux doux pour la rassurer.

Je n’avais pas envie de dormir, j’avais juste envie d’oublier, mais lui sembler avoir besoin d’un peu de repos. Je l’embrasse et prend mon sac.
Repose toi un peu je reviens dans pas longtemps mon cœur. Si tu as besoin de quelque chose tu m’appelle le téléphone et à côté de toi.
Je le regarde une dernière fois puis quitte la chambre. J’ai besoin de prendre l’aire du coup je marche jusqu’au lac et m’assois sur un banc. Je voyais des enfants jouer dans le peu de neige qu’on avait. Les voir s’amuser, les entendre rire ça me redonnait un peu le sourire et en même temps sa m’aider pas à passer à autre chose du coup je vais au bar me prendre un verre histoire d’oublier et de me vider la tête. J’en profite pour savoir si les affaires marchent bien depuis mon absence et il semblerait que tout ce passe bien. Je me prends une bière et vais dans le bureau de mon père pour me poser sur le canapé et boire tranquillement au calme. Essayant de penser à autre chose je me dis que j’i toujours pas parler a Ian des problèmes d’argent qu’on commence à avoir. Entre son opération du genou, celle de demain pour la tumeur et la rééducation on va devoir encore déboursé pas mal et j’ai bien peur qu’on soit limite pour tout payer. Les facture de l’aparte sont payés pour se mois si mais si je ne bosse pas très vite je ne pourrais pas assumer le mois prochain. J’ai presque envie de retourner bosser avec un bras dans le plâtre. Après tout je peux tenir le calepin et écrire de l’autre main quand a servir les gens pas besoin e ses deux main une suffit. Si je lui parle de nos finance je ne veux pas qu’il se sente coupable ou quoi que ce soit du coup j‘hésite. Il a besoin de repos et de calme pas de problème. En plus il vient de revenir parmi nous donc je ne vais pas l’embêter avec ça, mais je vais vite devoir trouver une solution sinon on est mal. Une fois ma bière sifflé et avoir pris une bonne pause je retourne le voir à l’hôpital. Je n’avais pas fermé l’œil et je n’étais pas presser de rentrer à la maison encore une fois toute seule.     

Je n’avais pas beaucoup dormi, 15 minutes tout au plus. Tout ce que je voulais, c’est qu’Alexa pense un peu à elle et non à moi. Je ne pouvais pas être sa seule préoccupation. Entre le départ d’Alexa et de son retour, j’ai eu le droit à la visite du personnel de l’hôpital. D’abord mon infirmière, qui est venu prendre ma pression et ma température. Ensuite, l’ergothérapeute pour mon genou. J’aurai besoin de soin tous les jours. Ce qui veut dire un montant exorbitant pour mes soins. Pendant que j’y pense. Je me demande comment on fait pour payer tout ça? Alexa est sans doute en arrêt à cause de moi, de son poignet cassé. Je suis sur qu’on a plus un sous. Et moi qui n’est pas prêt de retrouver mon poste dans cet hôpital. Je dois penser à autre chose pour le moment. En tout dernier, vient l’infirmière du Néonat, accompagné d’un homme costume cravate avec son calepin, suivit de mon psy, qui prend la parole en premier, après avoir regardé la chambre. Mlle Mills n’est pas là? De toute façon, il est mieux que vous soyez seul. Je ne le sentais pas positif. On a révisé votre dossier médicale et psychologique. On l’a totalement épluché. Malgré que ce n’était qu’une maladie et que vous allez mieux. Les tribunaux on quand même jugé que vous êtes un danger pour vos enfants jusqu’à ce qu’ils sortent de cet hôpital. Je suis désolé, j’ai tout fait pour ne pas avoir ce verdict. D’après le juge, vous devez vous reposez, donc ne pas vous brulez à être au soin de vos enfants. Vous avez une santé fragile, vous devez vous devez vous ménager. Je suis désolé Ian. L’infirmière s’approche de moi, alors que j’arbore une tête d’enterrement. Elle dépose sur le lit des photos de mes fils. Je pose mon regard sur celle-ci, maintenant, je savais que mes seuls contacts avec eux, seront des photos. Je laisse une larme couler sur ma joue. L’avocat présent prend la parole. Si vous les approchez, on le saura et vous risqueriez gros. Les trois venus repartent d’où ils viennent. Je me demande si Sarah est au moins au courant de tout ça. Il faut que je reprenne sur moi avant qu’Alexa ne revienne. J’essuie mes yeux et mes larmes sur mes joues. Je dois être fort, et me reposer comme ils ont dit. Je m’assois contre mon oreiller et je vois Alexa entrer dans ma chambre au bout de 15 minutes. Je lui souris, espérant qu’il était vrai à ses yeux. Rebonjour mon ange. Je tends ma main vers elle pour qu’elle la prenne. J’avais besoin de cette proximité avec elle. J'essayais de ne pas parraitre triste.

En arrivant je sentais que quelque chose n’allait pas. Je peux pas dire comment je le sais vraiment mais c'est plus comme un sentiment qui m’envahit. Comme si tout mon corps sentait qu'un truc c'est passer ici et que ça présager rien de bon. Regardant Ian attentivement je le voir sourire et je sais que se n'ait pas un vrai sourire tout simplement parce que je pratiquais moi mais se sourire forcé. Je m'approche et pressa main dans la mienne.
Ian, qu'est ce qui va pas? Quelque chose est arrivé pendant mon absence. Dis moi ce qui t’arrive. Tu as les yeux un peu rouge tu as pleurer et je peux sentir ta main trembler légèrement. Il y a un problème médical? On peu pas te retirer la tumeur?
Moi qui pensais être calmer voilà que je m’inquiète de plus en plus. Si ça se trouve on lui a refuser des soins à cause de notre manque d’argent mais je trouve ça étrange car ça l’aurais pas autant retourné. Je reste auprès de lui et j'étais tellement à cran en se moment qu'il valait mieux que je me trompe et que ça n’était rien de grave sinon j’allais faire un carnage. C'était pas le moment de me chier dans les botte mais alors vraiment pas. Si on fait du mal à Ian je mord. 

Je caresse sa main de mon pouce. Je ne m’étais pas rendu compte que je tremblais. Je cachais mal ce que je devais cacher. Je devais trouver une excuse et rapidement, de façon à ce que je n’ai pas l’air d’hésiter. Ce n’est rien, je t’assure. Juste un cauchemar, c’est tout. Qui était terrible tout à la fois triste. Ce n’est rien de grave. C’est des choses qui arrive mon amour. Je porte sa main à mes lèvres, pour en embrasser sa paume. Sa peau était si douce. Je la regarde dans les yeux. Tu t’es bien reposée? J’approche ma main libre pour attraper son pendentif au cou, je me mets à jouer avec, le tournant entre mes doigts. Tu me manques. J’ai vraiment hâte de quitter cette hôpital. Le pire, après mon opération, je vais devoir encore rester ici pendant deux ou trois jours, au cas ou il y aurait des complications ou que la tumeur s’est propagée ailleurs dans mon corps. Ça par contre, je ne l’espère pas… en faites ce que j’ai… c’est cette opération qui me fait peur… Et si je ne me réveille pas après l’opération? Je connais très bien les risques et les non risques et si on ne m’opère pas et bien, j’aurais un cancer virulent. Il a été pris au bon moment, donc opérable. Et je sais qu’il y 5% de risques que je meurs sur la table d’opération. Avec mes chances, ce 5% l’emporterait sur mon 5% de pouvoir procréer. C’est fou comment je suis nerveux. Même si mon mal est en réalité du, à la mauvaise nouvelle que j’ai apprise il y a quelques minutes. En réalité, je n’avais pas peur de cette opération, parce que je sais très bien que je survivrai..

C'était tout de même étrange ce cauchemar à mes yeux, puis il me parle de son opération de demain. Normal d’être nerveux pour ça mais si on l'opère pas rapidement il passera vite l’arme à gauche. On avait pas le choix il fallait qu’il se face retirer cette tumeur.
Reposer je dirais pas trop sa je suis juste partie prendre l’aire mais au vue de l’état dans le quel je te retrouve j'aurais du m’abstenir et rester à tes côtés. Pour l’opération on a pas le choix Ian. Tout ce passera bien tu verras. Tu as survécu à un coma je pense que opération c'est du gâteau pour toi.
Je souris essayant de le mettre en confiance puis je vois des photos de ses enfants. Je soupire et comprend qu'il me cache un truc.
Ian qui est venu te voir? C'est photo son pas arrivé ici par hazard et je doute que ça sois Sarah ou Aimerik qui te les ont apportés. Qu'est ce que tu me cache?
Je reste douce pour lui montrer mon soutien mais j'ai envie qu'il sois honnête avec moi. Enfin d’un côté c'était peut être mal placé de dire ça vue que moi je lui cache que j'ai fais un test de grossesse.

Moi lui cacher quelque chose? Non du tout. Je ne veux pas qu’elle sache. Pour la seule et simple raison qu’elle fera tout pour que je vois mes fils. Je ne veux pas qu’elle s’emmêle. Elle a déjà beaucoup à faire avec moi, alors qu’elle ne se mêle pas de mes droits paternels. Je lui prends la photo et la range dans mon tiroir, si ça se trouve je vais l’oublier là. L’infirmière qui s’occupe des bébés est venue me donner de leur nouvelle et m’a donner la photo. C’est gentil de sa part non? Elle est vraiment gentille je trouve. Elle a confiance en moi. J’essaie de ne pas paraitre triste, même si c’est difficile. C’est ainsi et je dois le respecter. Je le savais depuis le jour où Sarah m’a volé ma fertilité, que je ne serai jamais père. Si j’ai vraiment à faire une dépression, ce sera pour cette perte d’être père. Ma vie toute tracée m’a été volée par cette tempête. Mon destin a pris un autre chemin, le pire en soit. Malgré ma guérison, malgré que je sois bien dans ma peau, il me restera toujours ce manque de fonder une famille. Je sers la main d’Alexa et je lui souris, lui volant ensuite un baiser. Je pose mon front contre le sien.

Je lui fait confiance et n’insiste pas plus. Après tout la réponse qu’il m’avait donner était justifiable. C'est une bonne infirmières qui s'occupait de ses fils alors c'était gentille de lui avoir donner cette photo. Je l’embrasse et ferme les yeux lorsque nos front se colle l’un à l’autre.
Oui elle est gentille tu es sur de pas vouloir aller les voir? Enfin je te force pas. Pour le reste de tes journées ici je t'apporterais de jeux de société et de livre si tu veux passer le temps. Faut aussi que je pense à te prendre des vêtements.
Je sourie et décolle mon front pour embrasser le dos de sa main puis le regarde.
Tu as besoin que je te prenne un truc pour demain? Passe comment je ferais le livreur.
Je ris.
Ton opération et à quelle heure demain? 

Je frémis à ce contact entre nous. Non, je veux pas aller les voir, je suis pas assez valide pour ça. Je profite donc de ce moment. Je caresse sa joue quand elle se recule. Je la regarde. Des vêtements, je veux que tu m’en apportes et mes bouquins de médecines qui sont dans ma bibliothèque dans le placard de ma chambre. Je vais me mettre à étudier afin de devenir pédiatre obstétrique. Je lui souris embrassant son front. Il est à la première heure demain matin et après si en fin de journée ça va bien, que j’ai pas de complications, et bien je pourrais rentré le lendemain, donc 24 heures après l’opération. Je lui fais un magnifique sourire, à l’idée de pouvoir rentrer chez moi. Alors… tu veux bien aller me chercher mes livres maintenant? Je pourrais commencer à les lire ce soir. Merci mon ange. Je lâche sa main pour la laisser aller me les chercher.

Qu'est ce que c'était bon de le voir comme ça. En plus il voulait étudier un peu pour quand il reprendra le boulot. Je sais qu'il pense ne plus pouvoir exercer mais le en même temps il avait pas encore totalement abandonné sinon il me demanderait pas d’aller lui chercher ses livres. Toute contente je lui fit un grand sourire.
Très bien je vais te chercher tout ça. Je vais faire vite promis.
Me voilà de nouveau reparti en direction de la maison. Lorsque j’entre je vais dans la chambre et lui prépare un sac avec des vêtements et je trouve quelque livre de ne son placard. Je savais pas trop quoi prendre donc j’en prend le plus possible. Je suis pas médecin donc pour moi toit ça c'est du charabia. Je vais pour repartir avec ces affaire et regarde notre petit cher nous ayant hâte de le revoir ici avec moi. De retour j’entre et pose tout sur la table prêt de lui.
J’ai pris se que j'ai peu si je me suis trompé je retourne à la maison si tu veux.

Pendant son absence je regarde la photo de mes fils, ils avaient les yeux ouverts. Un mois depuis leur naissance. Ils me semblaient en pleine forme. Même si l’un des deux était plus petit. Ils me manquaient. Je laisse pleurer mes yeux quelques minutes. Pour faire sortir la peine que j’ai. J’essuie mes yeux un peu avant qu’Alexa ne revienne. Je dois reprendre sur moi. Elle pose mes livres sur la table. Je souris. Merci mon amour. Je caresse ses cheveux et regarde ce qu’elle m’a apporter. J’avais les bons livres, qu’elle chance, elle n’aura pas à retourner à l’appartement. C’est bien, tu as pas à y aller. Tu m’as apporter les bons. Je lui vole un baiser. À cette vitesse là, je les lui volerais tout. Je souris et prends un livre. Je le regarde quelques minutes pour me mettre dans le bain. Je le referme après dix minutes. Tu crois qu’on, pourra souper ensemble ce soir? Je me demande s’ils me laisseront aller manger avec toi à l’extérieur. Je souris en coin. J’avais besoin de prendre l’air, je ne suis pas sortie d’ici encore. C’est le seul truc qui m’angoisse à part le fait que je ne vois pas mes fils, rester enfermer sans air. Par contre, si je peux sortir, elle devra me trainer.

Super j'ai eu de la chance alors car j'ai vraiment choisi un peu au pif. Je lui rend son baiser et m'assois. A ses côtés le temps qu'il finisse sa lecture.
Je vois pas pourquoi on t’empêcherais de sortir dîner avec moi. Mais je vais aller demander si tu veux. Il va sûrement falloir signer des papiers pour les assurances et tout le reste bouge pas je vais me renseigner. 

Je l’embrasse encore une fois et je vais au bureaux d’accueil demander si Ian pouvais sortir de l’hôpital pour dîner se soir. Elle me dit qu’elle va en parler au médecin qui viendra nous donner son accord ou non dans un moment et qu'il nous donnera à se moment là les papier si besoin. Je retourne donc u côtés de Ian.
Bon le médecin va venir pour nous donner ou non son accord de un moment. On va te faire sortir d’ici t’en fait pas sinon tu va devenir fou à force de rester entre ses quatre mur et personnellement j'aimerais bien passer un peu de bon temps avec toi en dehors de cette hôpital.

J’attends le retour d’Alexa. Je me sentais mal qu’elle puisse passer beaucoup de temps à prendre soin de moi au lieu d’être avec sa famille, et profiter d’eux le temps que je suis ici. C’est un réel amour qu’elle me porte au fait. Quand elle revient je souris. D’accord. J’espérais qu’il accepte cette sortie. Ce n’est qu’au bout de 10 minutes que mon médecin entre avec une feuille. Bonsoir Ian, J’ai regardé votre dossier, à part que vous ne puissiez pas marcher, vous me semblez aller très bien, donc je vous autorise à sortir ce soir et même rentrer chez vous pour la nuit. Mais d’abord je vais vérifier votre genou. Il s’approcha, tendant la feuille à Alexa qu’elle puisse la signer. Il retira ma couverture et examina le résultat.Ça me semble bien, vous allez essayer les béquilles. Si vous ne posez pas votre pied à terre ça devrait aller. Il me sourit et une infirmière entre avec une paire de béquille et me la tend. Je les prends et les place devant moi et me lève en appuyant dessus. Je fais quelques pas dans la pièce. Tout le monde avait un large sourire sur le visage, encore plus moi. C’est parfait, d’ici une heure vous pourrez rentrer, habituez vous à marcher pendant ce temps. Il reprend la feuille. Vous m’appelez s’il y a quoi que ce soit avec Ian. S’adressant directement à Alexa. Il quitte ma chambre avec l’infirmière, nous laissant seuls. Je regarde Alexa. On va marcher dans le couloir?

Le médecin ne tarda pas à venir le voir et il me donna la feuille que je signe et lui rend le remerciant de le laisser sortir. Ian essaya donc les béquilles et le voir marcher ou essayer me combler de joie. On était tous ravie qu’il puisse se déplacer. Le médecin me dit de l'appeler s’il y avait le moindre problème.
Ne vous en faite pas je vous appellerai si son état change.
Il quitta la pièce avec l’infirmière nous laissant en amoureux.
Tu veux pas enfiler un truc avant? C'est pas que j'aime pas voir tes jolies petites fesses bien au contraire mais j'ai pas envie qu’une autre fille les regardes.
Je m'approche vers lui et pose mes ma sur ses fesses l’embrassent dans le cou.
C'est agréable de te voir debout tu sais.
Oui le voir aller bien et prendre soin de lui me fait oublier un peu le test que j'ai passé un peu plutôt dans la journée.
Je vais profiter de toi un maximum. Je veux rattraper le temps perdu avec toi.

Oui ce serait une bonne idée que je m’habille certes. Je la laisse me toucher les fesses. Frémissant et souriant en coin. Oui, je crois que je devrais enfiler un truc. Je ne veux pas non plus que tu sois jalouse que d'autres filles puisse regarder mon joli fessier. Tu as mes vêtements? Ce qu’elle fit, elle me les donna. Je ne me gêne pas pour me déshabiller devant elle, me retrouvant flambant nu. J’enfile un caleçon, mon jeans et ma chemise que je laisse sortis de mon pantalon. Je mets mes chaussettes. Je mis le tout avec quelque peu de difficulté, mais j’y suis arrivé. Mon genou m’élançait. Je reprends mes béquilles et nous sortons de la chambre. Allons y! Je lui souris et nous marchons dans le couloir. Ah oui, on va faire quoi ce soir? Je souris en coin, lui offrant mon sourire séducteur. Je m’arrête pour prendre une pause et je caresse sa joue. Je dois m’assoir. Je l’avoue, c’était dur d’être debout plus de 2 minutes. Je m’assois sur une chaise.