J’étais heureux de pouvoir passer la soirée avec Alexa. On allait pouvoir se retrouver. J’avais envie de manger quelque chose d’autre que de la bouffe d’hôpital. J’étais libre comme l’air ce soir. Le psy est gentil de me faire confiance comme ça. Main dans la main avec Alexa, nous marchons jusqu’à sa voiture. Et j’y entre, coté passager. J’y vois sur le siège, juste avant de m’assoir, un flacon orangé transparent. Je soupire et le prends, m’assoyant. Je regarde, y avait aucune étiquette dessus, mais le contenant contenait des pilules. Je le montre à Alexa une qu’elle est au volant. C’est quoi ça? Je la regarde, la voyant démarré et commencer à conduire. Je soupire et je pose le tube dans la boite à gants. Le trajet se fit en silence jusqu’à chez moi. Je reste pensif, jusqu’à ce que j’entende le moteur cesser. Je quitte la voiture et je sors les clés de mon immeuble pour ouvrir la grande porte. Je fais entrer Alexa et puis nous montons deux étages avant d’arriver à ma porte. Je l’ouvre pour y laisser entrer Alexa et moi ensuite, refermant après. Je trouvais qu’il y avait une odeur de renfermé dans l’appartement. Je me déplace pour ouvrir une fenêtre. Je regarde Alexa. Y a un ménage à faire ici. Je le ferai quand je sortirai dans 5 jours. Maintenant, j’avais confiance de sortir après mon traitement, ce soir, en est la preuve.

On sort de l’hôpital direction ma voiture pour que je le ramène cher. On monte puis Ian me demande qu’est-ce que c’est que ce tube  orange qui était posé sur son siège. Je le regarde me disant que j’aurais dû faire attention à planqué c’est truc, surtout que le tube était à moitié vide. Gêné je ne préfère pas répondre et démarre la voiture. On rentra en silence puis une fois arrivé devant cher lui on monta dans son immeuble pour franchir le pas de la porte.
Ne t’en fais pas pour le ménage. Si tu veux je peux m’en charger avant que tu rentre définitivement comme ça tu pourras te sentir bien cher toi et tu pourras te reposer un peu.
Je lui souris et pose mon sac dans l’entré.
Tu dois être contente de rentrer cher toi, ça te fais quoi d’être ici ? Tu veux manger un truc, la bouffe de l’hôpital tu dois en avoir marre.
Je ris. C’est vrais que niveau nourriture l’hôpital c’est plus qu’horrible. Je suis sûr que des gens dépriment quand ils voient leur plateau repas. Moi il est vrai que j’avais très faim. Les médocs sa me creuse. Je m’avance près dans l’appartement découvrant le lieu pour la première fois.
C’est jolie cher toi.

Je regarde Alexa, alors qu’elle me propose de venir nettoyer mon appartement avant que je ne revienne pour de bon. Je lui souris en coin. Si tu veux, je te laisserai mes clés, mais tu n’es pas obligé. J’avais encore en tête le flacon de drogue qu’elle avait dans la voiture, si ça se trouve, elle continuera à se droguer et je ne pourrais rien faire pour l’en empêcher. Ce n’est pas comme ça qu’elle arrêtera. Tout est de ma faute, je vais totalement m’en vouloir toute ma vie. Je soupire et je vais m’assoir sur le fauteuil. Elle me demande si j’ai faim, finalement, je n’avais plus faim, alors que tout à l’heure j’étais affamé, de plus, tout ce qu’il y a au frigo, doit être moisi, comme je ne suis pas venu ici depuis un mois et demi. De toute façon, je n’avais rien à manger. J’avais beau aller mieux, mais un rien pourrait me faire rechuter ou être mal dans ma peau. Je regarde Alexa. Non merci, je n’ai plus faim… Je soupire et me passe une main dans les cheveux. Je regarde Alexa. Il fallait régler un problème et s’il faut y passer la nuit et bah on y passera la nuit, à gaspiller ma seule sortie avant ma vrai sortie de l’hôpital. Pourquoi tu ne veux pas me dire ce que tu prends comme drogue? Pourquoi tu me cache ça? J’ai vu le flacon… il était presque vide. Combien tu en prends par jour et qu’est ce que c’est?

Génial il sort enfin de l’hôpital et la seul chose qu’il tient à faire c’est parlé de mon petit soucie de cachet. Je m’assois sur le canapé dépité par la tournure de la soirée.
Tu tiens vraiment à en parler ?
Je soupire.
C’est un mélange d’anti dépresseur et d’analgésique. Quand j’étais enfant j’en prenais souvent et j’ai fini par y être accro, mais ça personne ne le sait. Mise à part ça je touche à rien d’autre cette fois promis.
Je lui parle pas d’il y a quatre ans car j’avais essayé d’autre truc mais ça j’y ai pas retouché depuis car j’ai faillis en crever.
Je ne sais pas combien j’en prends par jour. Je ne compte pas, j’en prends quand je sens que ça va pas, je ne fais pas trop attention.
C’était bizarre d’en parler avec une autre personne que mon psy. J’ai confiance en Ian mais je le regarde pas dans les yeux quand je lui parle de ça car j’ai peur d’y voir un jugement dans ses yeux chose que je veux a tout pris évité d’où aussi le pourquoi j’en ai jamais parlé à personne.

Je l’écoute enfin me dire de quoi il s’agissait. Je soupire et me mords la lèvre. Il faut qu’elle arrête de prendre ses trucs. OK, alors promets moi de ne plus jamais y toucher compris? Je le saurai, je vois comment tu es. Mal dans ta peau, le regard vide et perdu. Encore en ce moment, tu fuis mon regard. Si ça se trouve, on ne pourra pas profiter de cette soirée. Dommage. C’est sur, si ça se trouve, elle oubliera avoir été avec moi, si elle a pris une forte dose avant de venir me voir. Faut vraiment qu’elle ait pas eu envie de me revoir pour avoir pris ça juste avant. Ça me fais mal au cœur, j’ai l’impression d’avoir toujours ce couteau enfoncé dans mon cœur. Elle doit me prendre pour un monstre pour vouloir replonger. C’est ce que je suis de toute façon, un monstre. J’ai osé rompre avec elle la faire replonger dans la drogue. Je soupire, me passant une main dans les cheveux. De toute façon, c’est moi le monstre entre nous deux, pas toi. Je me lève pour prendre mon portable et appeler mon resto préféré et commander une pizza.

Non mais oui j’avais pris quelque chose avant de venir le voir mais faut pas abuser non plus je ne suis pas amorphe. Enfin je crois.
Ian crois moi j’aimerais arrêter, te promettre que j’y retoucherais pas, mais… ce n’est pas en décident d’arrêter du jour au lendemain de je vais y arriver. Je vais devoir me sevrais de ces merdes que je prends et je ne veux pas briser une promesse que je pourrais peut être pas tenir. Je t’ai retrouvé et je ne veux pas te perdre de nouveau à cause d’une connerie que j’ai faite, mais je ne vais pas réussir à m’arrêter du jour au lendemain même si je le voulais.
Mon rétablissement allé devoir ce faire doucement. Je vais surement être en manque au début, devenir susceptible voir même méchante jusqu’à ce que mon corps ne ressente plus le besoin de prendre des médocs. Je relève le regard vers lui jouant encore une fois avec mes doigts nerveusement.
C’est faut tu n’es pas le monstre. Ian je suis responsable d’avoir rechuté, c’est moi la fautive, c’est moi qui suis faible. Si j’avais été honnête directement avec toi tout ceci ne serait peut-être pas arrivé.
Je soupire et me passe une main dans les cheveux.
C’est ta première sortie depuis longtemps je n’ai pas envie qu’on la gâche avec ça.        

Je la regarde. Je savais très bien que je la verrai drogué souvent les prochains jours, mais en cinq, elle pourrait déjà commencer à ce sevrer pour que ce soit moins pire quand je sortirai de l’hôpital. C’est de ma faute pas de la tienne…. J’ai commandé une pizza, elle sera la d’ici trente minutes. Tu as envie de faire quoi en attendant? Je prends sa main pour la poser contre ma joue. Je ferme les yeux, profitant du moment présent. Je l’aime tellement, que je ne me permettrais pas de la perdre à nouveau. Elle est toute ma vie. Même si j’aurais aimé avoir un enfant avec elle. Je lui souris. Ce soir, on va passer une belle soirée, je te le promets mon amour. Dormir dans mon lit, ça m’a manqué.

Super on allait pouvoir manger. Je le regarde de tout mon amour caressent sa joue. Je devais reprendre le contrôle de ma vie car sinon mon avatar aller s’aggraver et je risquais de le perdre. Je pouvais pas me le permettre pas après avoir retrouver ma raison de vivre.
Tu m'étonne on est toujours mieux cher soi. Ton lit ta manquait mais ton lit avec ta copine dedans ça t'a manqué ça aussi?
Je m'approche un peu plus de lui une sourire en coin.
Il peu s’en passer des choses en trente minutes à moins que tu est envie de faire quelque chose en particulier? Après tout c'est ta soirée à toi.  

Je lui souris. Pourtant, elle et moi, avions jamais passé une nuit ensemble. Jamais dormis ensemble non plus. Ce sera une première cette nuit. Je doute fort qu’elle rentrera chez elle pour dormir. Mais au cas où. On a jamais passé une nuit ensemble, donc, tu restes avec moi cette nuit? Je souris en coin, timidement. Je me lève pour fermer la fenêtre, il commençait à faire froid. Je reviens auprès d’elle. Je voulais juste qu’on se caline un peu avant de manger et après on pourrait profiter un peu plus l’un de l’autre. Je l’attire à moi, lui faisant faire le geste de s’assoir sur moi, face à moi. Ses genoux repliés de chaque coté de mes jambes sur le divan. J’attrape son visage entre mes mains et je l’embrasse, demandant de danser avec sa langue de la mienne. Ma respiration fut forte et envieuse d’elle. Je descends par la suite mes baisers dans le creux de son cou. Mes mains descendent pour caresser son cou et aller se plonger sous son haut, pour caresser ses hanches. Mes doigts se baladent contre sa peau. Je pouvais sentir ses doux frissons. Je l’entendais même frémir à mes caresses. Je souris contre son cou. Descendant, ensuite, mes baisers sur son épaule. Dis-moi que tu aimes ça… dis-moi que tu as envie de m’aimer ce soir. Je plonge mon regard dans le sien. Moi j’en ai envie, mon amour. Mais d’abord, fallait attendre la pizza. Faire languir la chose était encore plus excitante que de le faire de suite.

Je m’installe sur lui et lui sourit.
Oui je reste, j’ai envie de vivre notre première nuit ensemble.
Il était vrai qu’on n’avait jamais dormis ensemble. On avait pourtant déjà couché ensemble sans pour autant véritablement dormis l’un auprès de l’autre. Si l’on réfléchit bien en réalité on n’était qu’au tout début de notre histoire. Ou on avait déjà vécu pas mal de drame qui nous ont encore plus rapproché au final, mais si on ne compte pas cela on c’était mis en couple que deux semaine environs avant l’arrivée de Sarah ce qui a entrer par la suite son accident et j’en passe. On a commencé notre histoire en étant ami maintenant j’ai envie de le connaitre en tant que petit ami. Je veux dire connaitre le vrais lui, le Ian qui se sent bien dans sa peau celui que j’ai connue quelque temps avant sa dépression. L’une de mes mains ses pose dans son dos au niveau de ses omoplates pour le caresser, tandis que l’autre parcourait sa chevelure. On s’embrasse frottant nos langues l’une contre l’autre. Je frissonne à ses baisers parcourant mon cou, le serrant contre moi.
Bien sûr que j’aime ça… qu’elle fille n’aimerait pas les baiser de son petit ami. Je t’aime Ian et je n’ai pas envie de t’aimer ce soir, mais plutôt de t’aimer tous les soirs, tous les jours, toute les heures que la vie peu m’offrir a tes cotés.
Je ramène son visage face au mieux le regardant dans ces yeux bleu et pénétrant avant de l’embrasser langoureusement.      

Je lui rends son baiser qu’elle m’offre à la suite de sa réponse. En réalité je voulais savoir si elle avait envie que je lui fasse l’amour ce soir, pas si elle m’aimait que ce soir. Il est évident qu’elle m’aime à tous les jours de sa vie. Mais oui aussi, lui faire l’amour à toute heure de la journée et sans fin, ça me plairait aussi. C’est sans doute ces medocs de merde qui lui a fait dire la mauvaise réponse. Même si ce n’était pas une mauvaise réponse en soit. Je lui souris, faisant danser nos langues ensemble encore. Je caresse le creux de ses reins, pour aller les glisser dans son pantalon et aller caresser juste au niveau de sa crack de fesse. Elle avait la peau si douce. Même si j’avais été sans pouvoir bouger pendant mon traitement, elle m’avait manqué, j’avais cru l’avoir perdu. Tout est de ma faute, je le sais. Je t’aime, j’ai envie de te faire l’amour. Te posséder sexuellement toute la nuit. Mais d’abord, nous devons manger. Nos caresses dura tout le temps qu’on attendait la pizza. Et quand on sonna à la porte, je pose Alex au sol pour me lever et prendre des économies que j’avais mise dans ma jarre à biscuit de ma mère. Et je paie repas, remerciant le livreur, lui donnant un généreux pourboire. J’apporte la pizza au salon et la pose sur la table à café, ayant poussé les trucs qui y trainaient dessus, au sol. Le repas est servi! Dis-je en ouvrant la boite. Les morceaux étaient bien couper, on avait plus qu’à les prendre avec les doigts. Je pris une part pour commencer et je m’assois sur le divan au coté d’Alex et je commence à manger.

Ses caresses me firent tellement de bien. J’avais l’impression de lui appartenir entièrement. Quand je suis dans ses bras, quand il effleure mon corps, je me sens bien, en sécurité dans ses bras, protéger du monde extérieur. Je l’écoute et me mort la lèvre.
Ce soir je suis toute à toi, tu n’auras qu’à faire ce que tu veux de moi, je t’appartiens.
On continua à se câliner jusqu’à ce que le livreur nous apporte le repas. Je laisse Ian sortir du divan pour aller réceptionner la pizza et m’installe pour manger une fois qu’il revient.
Super j’ai super faim ! Merci Ianou.
Je le laisse se servir puis prend une part à mon tour pour la manger. Elle était super bonne et ça fessait du bien de remplir son estomac. On mange puis je me lève.
Tu veux boire un truc ?
Je me dirige vers la cuisine me remplissant un verre d’eau attendant sa réponse. Face à levier je regarde mes mains qui commencent à trembler certainement dû au manque. Je bois mon verre d’une traite essayant de résister à la tentation. Je pense alors Ian, à l’amour que je lui porte et à cette promesse que j’aimerais tenir en me soignant. Il méritait d’avoir une petite amie qui tient le coup et pas une toxiquo. Je respire profondément fessant passer ma crise me réservant un verre d’eau en attendant toujours sa réponse.    

Je mange trois pointes. Si je ne me retenais pas, je mangerai toutes les autres pointes qui restent aussi. Mais je dois ne pas le faire. Je vois Alexa se lever et aller dans la cuisine, elle me demande si je veux de quoi à boire. Je n’avais que de l’eau. Probablement ce qu’il y a au frigo n’était pas bon. Je ne réponds pas de suite, mais j’observe ses gestes, je la vois regarder ses mains. Mon attention se porte sur celles-ci. Elle tremblait des mains. Je soupire et me passe une main dans les cheveux. Elle se resserre un autre verre d’eau. Je soupire de nouveau. Quoi faire? Je me lève pour la rejoindre, au lieu de lui répondre. Je me rince un verre et prends de l’eau. Je vais me servir t’inquiète pas. Je bois mon verre pour le poser dans l’évier par la suite. J’attrape ses mains et je les serres dans le creux des miennes. Je la regarde dans les yeux. Tout va bien aller. Notre amour est plus fort que cette drogue, d’accord? Je lui souris et je l’embrasse amoureusement tout à la fois tendrement. Je t’aime. Je lâche l’une de ses mains pour garder l’autre dans ma main. Je la traine dans ma chambre, pour profiter de nous deux de façon confortable. Je m’arrête juste devant le lit, au pied de celui-ci. Je lui retire que son haut, lui laissant son soutif. Je vais l’embrasser, caressant ses bras. Je t’aime. Je ne cesserai jamais de le lui dire. Je retire ma chemise à carreaux et la laisse tomber au sol. Je prends ses mains pour les poser sur mes pectoraux, lui souriant.

Il ne me répondit pas et vint se servir à côté de moi. De toute évidence il avait remarqué mes tremblements. Je pose mon verre dans l’évier une fois fini de m’hydrater et le regarde un peu gêné. C’est parole était réconfortante mais cela ne m’empêcher pas d’être en manque. Il m’embrasse et je pensai à autre chose pendant un court instant ce qui me fit passer outre mon besoin de médoc.
Je t’aime aussi.
Il m’entraine dans sa chambre que je vis pour la première fois. Une fois au pied de son lit il me retira mon haut puis déboutonna sa chemise pour la retirer à son tour. Il prit mes mains pour les poser sur son torse des plus sexy. Je sens la chaleur que dégage son corps et sens les battements de son cœur. C’était bon de le sentir battre dans sa poitrine alors qu’il y a un mois il voulait qu’il cesse de battre. Je le caresse puis me rapproche de doucement de lui. J’embrasse son coup puis son torse jusqu’à l’endroit où était situer son cœur.
J’aime le sentir battre dans ta poitrine.
Lorsqu’il était proche de moi, j’arrivais à essayer de me calmer et de penser à autre chose que la drogue. Mes mains cessent peu à peu de trembler pour continuer à caresser son corps parfait.    

Elle caressa mon torse, je frémis, fermant les yeux. J’aimais cette sensation. Je la sentais m’embrasser un peu partout, dans le cou sur ma ligne de torse et puis sur ma poitrine juste là où est placé mon cœur. Subitement, j’ouvre les yeux à ses paroles et je les referme, soupirant. Je l’avoue, il y a près de deux mois, j’ai voulu qu’il cesse de battre, même encore parfois j’y songe. Mais je sais me remettre à ma place. C’est mon amour pour Alexa qui me sauve de chacune de mes envies de suicide. Il ne bat que pour toi, rien que pour toi et personne d’autre. Pas même pour moi. Je vie… pour toi. J’ouvre les yeux et j’attrape son visage pour qu’elle me regarde. Tu es ma drogue, et je veux être la tienne Alexa. Oui, je voulais qu’elle cesse de prendre ses putains de pilules qu’elle prend à cause de moi. Je caresse ses joues de mes pouces et je l’embrasse tendrement, la collant contre moi, mes mains vont se glisser le long de son dos pour atterrir dans le creux de ses reins que je caresse. Je frémis, je la sens frémir sous mes doigts. Je la traine avec moi sur le lit, me laissant tomber sur le dos, elle se retrouvant sur moi. Je ris et je continue de l’embrasser langoureusement, caressant son dos, ses hanches, ses reins et mes mains atterrissent dans son pantalon, en train de caresser ses douces se fesses.