Ces paroles me firent vraiment du bien. J’étais heureuse de l’entendre dire que son cœur ne battait que pour moi, même si j’aimerais qu’il batte aussi pour lui-même. Mon regard plongé dans le sien, j’ai la sensation que ses yeux pénètrent mon âme. Il voulait qu’il soit ma drogue tout comme je suis la sienne. Je souris me disant que j’aimerais temps que cela soit le cas. On moins cette drogue la ne me sera pas fatale. Non corps coller l’un contre l’autre on bascula sur le lit, moi sur lui et depuis très longtemps j’entendis de nouveau son jolie rire. Je me mis à rire à mon tour et lui rend se baiser remplit d’amour que l’on partage.
Je t’aime Ian Calloway aujourd’hui et à jamais.
Je bascule mes cheveux sur le côté. Mes lèvres viennent se placer dans le creux de son cou et mes mains descendent peu à peu sur ses hanches pour les caresser. L’une d’elle fini même par aller caresser son sexe à travers son caleçon. Il était ma plus belle histoire d’amour. Certainement la plus douloureuse car les sentiments que je porte à son égard son immenses, mais c’est une évidence à mes yeux, quoi qu’ils nous arrivent, il sera et restera ma plus grande histoire d’amour. Le genre d’histoire que l’on ne vit qu’une fois, le genre que l’on oublie jamais, celle qui vous consume toute votre vie jusqu’à la mort.    

Mes mains continuaient de se balader sur son corps. Je la sens glisser sa main entre nous pour caresser mon entre jambe. Je frémis, me mordant la lèvre. Je glisse l’une de mes mains au bouton de mon pantalon, pour le déboutonner et glisser la fermeture éclair. Pour être plus à l’aise. Quand elle me caresse comme ça, ça active encore plus mon envie et je durcie peu à peu. Je vais caresser son cou de mes doigts, l’embrassant passionnément. Mes mains descendent jusqu’à son pantalon et je le fais glisser, me relevant pour le lui retirer. La voilà en sous vêtements. Je fais de même avec le mien, je le retire, restant en caleçon. Je la fais basculer pour me retrouver sur elle. Mes mains continuent leurs course sur son corps, jusqu’à se retrouver sur sa culotte. D’abord, je commence à caresser son intimité à travers le tissus jusqu’à tasser un coté de sa culotte pour aller directement titiller son bouton sensible. Je me penche pour baiser son ventre, rouler ma langue dans son nombril, pour ensuite, lui retirer sa culotte tout en baisant sa ligne de nombril jusqu’à son pelvis. Je caresse son poil pubien pour ensuite aller rouler ma langue sur sa virginité.

Il nous fit basculer pour se retrouver sur moi. Je continue de la caresser un moment jusqu’à le sentir durcir puis palpa ses jolies fesses son caleçon. Non échangions encore quelque baiser langoureux. Mon corps frissonnait sous ses caresses très sensuelles. Je ferme les yeux s’avouant ce qu’il me fessait. Sa main vient caresser mon entre jambe et je me morde la lèvre. Ses lèvres parcoure mon corps tout comme sa langue ce qui m’exista beaucoup. Je caresse son corps puis sans ses lèvre sur mon bouton sensible. J’ouvre les yeux puis gémit, le regardant faire puis repose ma tête sur l’oreiller et passe mes mains dans sa chevelure.
Ian…
Je me sentie devenir de plus en plus humide. Ce qu’il me fessait était très excitant. On avait déjà couché ensemble pourtant cette fois si était vraiment très intense. Il me fessait des choses que personne ne m’avait jamais faites. Mon cœur accélère et ma respiration commença à être un peu plus forte. Tout mon être le réclamé.
       

Alexa me semblait aimer ce que je suis en train de lui faire. Même que ses jambes en tremblaient. J’enfouis ma langue en elle, jouant avec mon pouce après son bouton sensible. Je joue ainsi un moment avec sa virginité, jusqu’à ce qu’elle soit pleinement excité, n’attendant plus que moi. Je me relève pour retirer mon caleçon. Je lui retire son soutif et je caresse l’un de ses seins. Je me pose doucement sur elle, frottant mon entre jambe contre sa cuisse, pour encore plus m’exciter. Je mets en bouche le sein que je caresse de ma main. Je suçote son mamelon, le mordillant doucement. Je l’entends gémir à mes caresses buccales. Ma main libre continue de caresser sa virginité. Je veux te posséder au plus haut point. Je veux ne faire qu’un avec toi et que jamais ça ne cesse. Je lâche son sein pour l’embrasser tendrement. Continuant à me frotter contre sa cuisse. La trempant de mon liquide séminale.

Il était en train de m’exister a un tel point que cela devait une véritable torture. J’avais qu’une envie de faire qu’un avec lui. Il devait forcement sentir l’état dans lequel j’étais et pourtant il continuera jouer avec mon corps me laissant en attente. Mes mains caressent tout son corps avec vigueur. Mes jambes caresse sensuellement les sienne entourant son corps pour le maintenir contre moi. Mon sein entre sa lèvre je fermai les yeux me retenant pour ne pas gémir encore plus. Je sens son membre dur contre mon intimité sans pour autant le sentir en moi. J’en pouvais plus.
Alors procède-moi. Je suis à toi. Je veux faire un avec toi et cela pour toujours. Je veux te sentir en moi. Ian j’en peu plus je te veux en moi.
Mon corps appeler le sien tout comme je pouvais sentir le sien me désirer. Mon fluide et le sien commencer peu e peu à se rencontrer. Je sentais la chaleur de son corps contre le mien. Je l’embrasse langoureusement jouant avec sa langue puis le regarde un petit moment dans ses yeux magnifique un sourire de bien-être et d’amour poser sur mes lèvres.  

Je me mords la lèvre avec l’envie de lui faire l’amour avec passion. Elle me demanda de la posséder entièrement. Je frotte mon membre bien durcie contre son sexe, pour me laisser glisser dans son intérieur. Je gémis, l’embrassant. Je caresse ses joues. Je m’élance en elle, doucement pour commencer, respirant fortement. Mes mains continuent de caresser son corps. Je baise son cou, coller contre elle, lui faisant l’amour avec tout mon âme et tout mon amour. Tu es si belle. Je t’aime tellement. Je caresse sa chevelure blonde. Je plonge mon nez dans le creux de son cou, baisant son épaule. Je m’enfonce en elle plus profondément encore. Dire que l’on ne fera jamais ça, dans le but de concevoir un enfant. Oui jamais. J’avais beau aller mieux, mais pourtant, j’avais toujours cette envie de fonder une famille. Mais je réussissais à me contrôler juste en me disant que je ne suis pas seul et que je peux surmonter ce mal à deux.

Il finit par entrer en moi doucement et je gémis de plaisir. Je sens ses petits vas et viens accélérer avec le temps. Je caresse toujours son corps et l’embrasse. Nous faisons l’amour comme on ne la jamais fait. C’était intense, charnelle et très romantique en même temps.
On ne fera jamais l’amour dans le but de concevoir certes, mais de toute façon si un jour on arrive par le plus grand des hasards à avoir un enfant on sera prêt car on se protège pas ni toit ni moi.
La pilule je ne la prenais pas. Pourquoi la prendre quand on m’a dit que j’étais stérile enfin c’est ce que je crois vue que je n’ai jamais osé faire les teste. Je sais que je dois entrer pas mal amocher intérieurement cause de la drogue mais si ça se trouve je ne le suis pas temps que ça. De son côté Ian avait encore 5% de chance de pouvoir procréer mais entre lui et moi si cela doit un jour arriver cela serais un véritable miracle et actuellement j’ai arrêté de croire au miracle. En tout cas tout ce qui compte pour moi c’est lui et l’amour que je lui porte.

Elle avait raison, notre amour était plus fort encore. Et nous pouvons faire l’amour autant que nous le voulons, sans même devoir se protéger. Je ne sais pas à quel point elle était stérile, mais moi je l’étais à 95%. Pour le moment c’était cette soirée qui comptait. Je l’embrasse avidement. Je m’élance en elle rapidement. Gémissant son prénom. Alexa… Je caresse sa joue et ses cheveux. Je mets en bouche son mamelon tout en lui faisant l’amour. Je me sentais partir au 8e ciel. Je me colle à elle, la sentant si serrer autour de mon sexe. Je caresse ses hanches et je sens ma jouissance naitre. Je suis tout à toi, nous faisons qu’un. Je suçote son cou, lui faisant un suçon. Je me déverse de mon sperme en elle. De façon rauque, je gémis, serrant mes doigts à ses hanches, trop fortement sans doute. Je voulais qu’elle jouisse à son tour pour moi.

Ses élancement était rapide mais tellement agréable. Je ne me retenais pas pour gémit de plaisir afin de lui transmettre tout ce qu’il me fessait. J’embrasse son coup, son épaule mes mains tienne fermement ses fesses sentant chacune de ses entré en moi. Son sexe aller si loin dans mon intérieure que j’avais la sensation qui me transpercer tout le corps. Mes doigts ses serre surement autant que les sien au fur et à mesure du temps passer à faire l’amour. Je gémis son prénom a de nombreuse reprise.
Ian… hummm… ne t’arrête pas…
Nous continuons notre acte de plus en plus violement. Je sens alors un liquide chaud remplir mon corps. Je jouie de plaisir tout comme lui jouissait pour moi. On en formait qu’un. Deux corps totalement emboité l’un dans l’autre pour ne former qu’un.
Je t’aime…
Je pose ma main sur sa joue et je vais chercher ses lèvres pour les embrasser vigoureusement.

À la fin de nos ébats, je respirais fortement. Je me sentais apaisé, euphorique. J’ai l’impression que le sexe donne un effet semblable à celui d’une drogue. On se sent bien par la suite. Je me retire doucement d’elle et je me pose à ses cotés. J’attrape sa main que j’entrelace à mes doigts. Mon sexe était brulant au toucher, en raison de ce merveilleux moment. Je transpirais, notre sueur s’était mélangée à celle de notre partenaire. Je t’aime mon ange. J’ai eu l’impression de revire une autre première fois. Je me relève pour enfiler mon caleçon. Tu me suis à la douche? Je lui souris et me lève du lit. Sans attendre sa réponse, je me dirige à la salle de bain. Je sais très bien qu’elle me suivra. Je sors deux grandes serviettes de la penderie et les pose sur la bar à serviette. Je pars l’eau de la douche et retire mon caleçon. Je souris à Alexa et j’entre sous la douche, l’attendant.

Une fois l’acte fini Ian se pose à mes côtés, entrelacent nos doigts et profitons d'un petit moment de calme histoire de se remettre de ce qu’on venait de faire. Mon coeur battait très vite tout comme ma respiration avait été accélérer. Je le regarde et lui sourie.
Je vois très bien de quoi tu veux parler, j'ai moi aussi eu l’impression de revivre ma première fois mais en 100 fois mieux.
Je lui souri et le vois partir à la salle de bain. Je me lève alors du lit pour le rejoindre sous la douche. Je le laisse se mouillé et effleure son corps parfait pour le savonner tendrement tout en lui volant un baiser. Je me sentais bien pour le moment. Je n'avais pas envie d’un quelconque médoc lorsqu'il était au près de moi.
Je passe la plus belle soirée de toute ma vie.

J’étais si bien ce soir, si heureux. Peut être que finalement, les psy ne sont pas si terribles. Ils savent ce qu’ils font et ils le font pour le mieux de notre aide. Je laisse Alexa me savonner. Je frémissais. Jamais on ne m’avait fait ça. Après un moment. Je me retourne rapidement tout en la plaquant contre la paroi de la douche et je l’embrasse avidement et sauvagement. Je caresse son intimité alors que la mienne se frotte contre sa cuisse. Si je le pouvais, je te ferai l’amour toute la nuit. J’embrasse le coin de ses lèvres, souriant. Je frotte mon nez au sien. J’avais hâte de quitter cet hôpital, pour pouvoir enfin vivre ma vie. Je me décolle d’elle, pour la savonner à mon tour. J’espérais ne pas lui avoir fait mal quand je le l’ai plaqué contre la paroi. Je prends bien soin de nettoyer sa virginité, la caressant en même temps.

On partager un moment tendre quand Ian me plaqua contre la paroi de la douche ce qui me surpris beaucoup pour m’embrasser et prendre possession de mon corps sauvagement. Je le laisse faire posant mes mains sur ses hanches le gardant un moment contre moi et lui rendant son baiser tout aussi sauvagement. Son habitude sur de lui et dominateur me plaisait beaucoup je dois l’admettre. Je le laisse me savonner puis le regard dans les yeux et le colle contre moi le tenant fermement contre mon corps.
Faire l’amour tout la nuit ça serait plaisant. Tu es bien gentil tu m’embrasse, me caresse et me dis que si tu pouvais tu me ferais l’amour toute la nuit et maintenant j’ai qu’une envie recommencer encore et encore jusqu’au lever du soleil. Monsieur Calloway ce n’est pas très gentil de m’exister a ce point.
Je souris posant mes mains sur son torse et l’embrasse avec ardeur.

J’aimais la faire languir. Même si nous venions de faire l’amour, j’en avais encore envie. Sous le jet de douche je me rince, tout en la laissant m’embrasser. Je finis par la coller encore contre la paroi de douche me collant contre elle. Je prends mon membre entre ma main et je me joue après, pour me durcir un peu plus. Je soulève sa jambe, pour avoir mieux accès à sa virginité. Je l’embrasse. Mademoiselle Mills n’a pas à se plaindre. Je place mon sexe à son entrée, attrapant ses fesses, je m’insère d’un seul coup en elle. Gémissant, l’embrassant entre ses seins. Je bouge des fesses en elle. Mon membre caresse le fond de sa virginité, nos fluides se mélangent de nouveau. Mes baisers parcourent le haut de son corps. Mes mains empoignent ses fesses, pour mieux la coller contre moi. Ses douces mains sur mon corps me rendent fou. Je plonge mes lèvres aux creux de son oreille. Je t’aime ma princesse Alexou. Je mordille le lobe de son oreille. Caressant son intérieur de mes vas et viens. Gémissant doucement contre son oreille.

Me revoilà coller contre la paroi de la douche. Je lui souris passant l’une de mais dans le creux de ses reins et l’autre derrière sa nuque pour le caresser. L’une de mes jambes se soulève pour passer autour de sa taille afin de lui laisser toute la place don il a besoin. Nos corps l’un contre l’autre ne refont qu’un, reprenant ainsi leur dance sensuelle. Il entra en moi d’un seul coup et je gémis. Je me mort la lèvre savourant tous ses baiser sur mon corps. Je pouvais le sentir au plus profond de moi, comme si son corps prenait possession du mien. Je le maintienne fermement contre moi, embrassant ses lèvres, sa joue, son coup puis son épaule encore et encore.
Je t’aime aussi Ianou. Jamais je serais lacer de faire l’amour avec toi.
Continuant à gémir doucement, il valait mieux que les murs de son appartement sois épais car je plaignais ses pauvres voisin qui devaient subir nos retrouvailles amoureuse plus que charnelle se soir.