La voilà prête à donner naissance. L’infirmière était prête aussi à prendre les bébés une fois nés. Alexa souffrait énormément, elle avait du courage de le faire sans aucun calmant, ni épidurale. En même temps, ça allait si vite. Elle me broya la main, mais ce n’était pas si terrible. Je l’entendais crier de douleur, me dire que le premier poussait déjà pour sortir, se glissait dans son entrejambe. Je me sentais mal de son mal, mais je devais être fort pour elle. Maintenant, je comprends pourquoi on ne laisse jamais un obstétricien s’occuper lui-même de sa propre femme et de sa naissance. Je reste donc silencieux pour me concentrer, m’installant à ses pieds à genoux sur le lit. Je lui place les jambes un peu plus ouvertes. Je pose ma main sur son ventre, pour voir ou ils sont placé. Une naissance double peut être plus compliqué qu’une naissance simple. Je sens son ventre se durcir, elle doit pousser à une contraction.

Pousse mon amour ! J’espérais qu’elle n’aura pas à pousser plus de deux fois pour le faire sortir. Je crois avoir eu raison, car sans même qu’elle commence à pousser, je vois sa partie intime s’ouvrir d’un centimètre. La tête était déjà là. Je me prépare donc à l’aider à le faire sortir quand elle poussera. Tu vas y arrivé mon ange. Je la vois pousser de toutes ses forces, son visage rouge et en sueur. Mon cœur battait rapidement, à cause de la nervosité et de la voir souffrir ainsi.

Dans ma carrière j’ai eu toute sorte d’accouchement, des difficile, des hyper compliqués, des morts nées, des césariennes, mais jamais je n’ai eu une naissance aussi zen que celle d’Alexa. Je suis fier d’elle, elle fait bien ça et elle est très courageuse. Je sais très bien qu’elle souffre. Oui j’aurais aimé prendre sa main pendant ses poussés, mais je devais mettre le bébé au monde. La sortie du bébé s’élargie encore plus et une tête foncé fait sa sortie. Alexa pousse une dernière fois, alors que le bébé se glisse à l’extérieur avec l’aide de mes mains. Le corps entier du nouveau né se retrouve dans mes mains. Il est sortie ! Jr est sortie ! Je ne prends pas une seconde à déposer le bébé contre le ventre de sa mère, alors que je lui coupe le cordon quelques secondes plus tard.

Les cris du bébé se fait entendre dans la chambre, l’infirmière est prête avec la couverture et attend mon accord pour la poser sur le bébé. Mais je veux laisser Alexa l’examiné de la tête aux pieds, alors que je prends la poire et dégage les voies respiratoires du petit. Le prochain bébé arrivera quand il arrivera, ça pourrait être rapide, comme ça pourrait prendre une heure. Tout dépendra de quand elle sera prête à sortir. Tu as vu, il est magnifique ! Tout sourire, tout ému, je pose mon front contre celui d’Alexa, caressant ses cheveux humides par la force qu’elle venait de subir. Je pose mes lèvres sur les siennes. Je suis fier de toi. Je l’encourage déjà, alors qu’il lui restait encore un bébé à délivrer. L’Infirmière pose la couverture sur le bébé. Elle le prendra quand Alexa m’avertira de sa prochaine contraction.

Je regardais mon fils, je restais près d’Alexa jusqu’à ce que l’autre bébé se décide à se montrer. Je caresse sa chevelure, l’écoutant et étant en admiration face à mon fils. Il était si beau, totalement différent de mon premier Justin. Jr, me ressemblait, je voyais la ressemblance avec ma frimousse. Je souris à chacune des paroles de ma belle. Merci, je suis heureux d’avoir des enfants avec toi. Je lui souris et dépose un baiser sur ses lèvres. L’infirmière vient prendre le bébé pour l’examiné et lui faire son test d’Afgar. Et verrifier les réflexes du nouveau né. Je reste près de Alexa, attendant la prochaine contraction que seule elle pouvait ressentir. À son signal, je serais prêt à accoucher le deuxième bébé. Je passe un linge humide sur son visage pour la rafraichir et lui donne de la glace dans sa bouche pour la dessécher. Je caresse sa chevelure. Je t’aime mon amour, bientôt tu seras libérer de toute souffrance. Je pose mon front contre le sien, embrassant le bout de son nez.

Nous étions tranquille un moment, mais je la sentais épuisée et fatiguée. Mais elle m’annonce que la petite commence à descendre, mais pire encore, elle avait du sang entre les jambes, ce que je pus constater en regardant quand elle me dit. La panique se prend. L’infirmière appelle l’hôpital sans attendre que je le lui dise. Elle comprenait ce qui se passait et moi aussi. Alexa était en train de perdre le bébé. C’était mauvais signe quand ça arrivait. J’ai du loupé quelque chose…

Mon regard était sur sa virginité ensanglanté. Je n’avais rien pour empêcher une hémorragie… Je pourrais perdre Alexa et le bébé. Que dois-je faire ? Le pire, la petite arrivait par le siège, ses pieds étaient sortis et bleus. L’infirmière me passa les forceps pour ouvrir plus le passage du bébé. J’essaie de garder mon calme. Alexa… je ne vais pas te mentir… il se pourrait que le bébé… soit déjà mort… alors, je vais te demander de pousser le plus que tu peux pour m’aider à le sortir, je vais prendre ses pieds et le tirer hors de toi. J’attrape les deux pieds du bébé et commence à tirer pour voir ce que ça fait, du sang continuais de sortir, ce n’était pas celui d’Alexa, mais celui du placenta du bébé… manque d’oxygène. Pousse !!! Je ne devais pas paniqué, j'espérais juste pouvoir réanimer le bébé, en espérant que cela ne fait pas longtemps qu'elle est comme ça. Ses petits pieds sont encore chaud. Je n'avais pas le choix de m'y prendre de cette façon, je n'avais pas de salle d'opération pour lui faire une césarienne.

Ce n’était pas bon signe surtout lorsque je vis l’infirmière partir en courant vers le téléphone. Ian était tout blanc et ce qu’il me dit, me fit sauté un battement de cœur tellement cela m’a choqué. Je ne pouvais pas perdre ce bébé. Je devais sortir notre fille de la pour que Ian puisse la sauver et je devais faire vite. Je poussai de toute ma force. C’était une douleur énorme, mais je ne pouvais pas lâcher pas maintenant pas dans cette situation. Je sentie la petite glisser doucement hors de moi aider par son papa. Cela ne faisait pas longtemps qu’elle avait dû avoir un soucie car je l’ai sentie. J’ai senti ses coups avant de saigner et de pousser. Elle a surement du avoir un mauvais positionnement et en poussant Jr j’ai dû sans faire attention la comprimer un peur persan son placenta trop tôt.

Sort la vite Ian je t’en prie ! On peut encore la sauver je l’ais sentie bouger juste avant.
Je reprends mon souffle très vite et repousse afin de la sortir totalement de moi. Une fois fini je t’ente de me redresser mais j’étais bien trop épuisé et mon bas ventre me faisait encore un peu mal pour me permettre de voir notre fille.
Ian comment elle va ? Je t’en prie faire quelque chose.
Je devais lui mettre la pression sans m’en rendre compte mais on parler de notre fille. Notre petite et fragile petite fille. Je sais que Ian peut réussir à la sauver c’est le meilleur médecin de toute la ville. 

J’étais nerveux et je devais rester concentrer. Si le bébé devait mourir parce que je ne fais pas bien mon boulot, je m’en voudrais à mort. Alexa fit ça de façon professionnelle. Elle poussa quand je le lui demandai sans rien rouspéter. Plus elle poussa plus je tirais doucement pour sortir le bébé de son ventre. Mais quand la tête commença à passer, j’ai du la tenir droite pour ne pas lui briser la nuque. Et à la seconde poussée d’Alexa, je tirai une dernière fois et le bébé tomba sur le matelas… sans vie. Elle était inerte et bleu. L’infirmière disait quelque chose alors que je ne l’écoutait pas. L’ambulance est là Dr Calloway. La patiente doit se rendre à l’hôpital avec le bébé.  


Je continuais à être attentif à ma fille, si petite, deux fois plus petite que son frère. Aucun pleur pour le moment. Je tiens sa tête vers le haut et y enfonce mon auriculaire dans sa bouche et du liquide amniotique en sortie et je dégage ses voies respiratoires de son nez. Un cris sortis enfin de la petite chose fragile aux pieds d’Alexa. Je pus enfin envelopper le bébé dans une couverture après avoir coupé le cordon. Je blottis ma fille contre moi, soulagé. J’ai eu si peur ma princesse, j’ai eu peur de te perdre. Elle ne cessait de pleurer. Je me lève pour la donner à Alexa et le nouveau né cessa de pleurer. Les ambulanciers entra dans la chambre et posa à mes pieds une trousse de soin. On va rester au cas où, si vous ne réussissez pas à bien la soigner, on l’emmènera à l’hôpital. Je le regarde. [/b]Merci.[/b] Je m’active donc à recoudre Alexa, car la petite avait déchirée l’intérieur de son vagin. Je sais très bien que Mary devra aller à l’hôpital.

Lorsque l’entendis la petite pleurer je soupirai de soulagement et pleura toute les larmes de mon corps pour évacuer mon stress. Ian avait sauvé notre petite fille. Je savais qu’il était un super papa et un grand médecin. Je lève un peu la tête pour le regarder prendre la petite contre lui. Ils étaient si beau tous les deux. Ian vient alors m’apporter Mary que je pris doucement dans mes bras. La serrant doucement contre moi. Je la vois se reposer un peu après la frayeur qu’elle avait dû elle aussi avoir.

Ma petite Mary. Ma belle petite fille adorée. On a eu si peur pour toi. Ton papa ta sauver la vie tu le sais.
Je regarde Ian et souris.
Elle est si petite c’est normal ? En tout cas tu as fait un super boulot je savais que tu aller assurer mon amour. Je suis tellement fière de toi s tu savais.
Les ambulanciers étaient arrivés dans l’appartement et bien qu’on ait une grande chambre on commencer à être un peu trop nombreux ici. De plus j’étais en train de montrer mes partie génital a tout le monde ce qui une fois que je l’avais réalisée me mettait plus que mal à l’aise. Ian me recousu alors ce qui ne fus pas spécialement agréable, mais avec tout ce que j’ai endurée j’étais plus à ça prêt. La fatigue ce faisait plus que sentir mais je ne voulais pas me reposer t’en que la petite était encore si fragile.
Et maintenant il se passe quoi Ian ?
J’ignore qu’elle est la prochaine étape de toute cette aventure. Junior et dans le berceau, Mary dans mes bras et Ian tout prêt de moi. Le seul truc qui m’angoisse encore un peu c’est la présence des ambulanciers et le visage tendu de l’infirmière. 

J’enfile des sous vêtements à Alexa et un pantalon après avoir insérer aussi ce qu’elle a besoin pour pas saigner dans sa culotte, elle aura des saignement pendant deux semaines environs. Une fois prête, l’infirmière vient prendre ses constances et celle du bébé. Et puis je prends Mary contre moi et je l’examine. Elle me semble aller bien. Mais elle devra aller à l’hôpital pour plus de test. Je pose Mary au coté de son frère dans la boite. Les ambulanciers s’occupent d’Alexa dans le but de la poser sur le brancard après que je leur ai dit de passer à l’action. Ne t’inquiète pas mon ange, je te suis dans la voiture jusqu’à l’hôpital, les jumeaux iront avec toi.


Je m’approche d’elle et l’embrasse sur le front et puis je dépose un baiser sur ses lèvres. Je caresse sa chevelure et pose mon front contre le sien. Je suis aussi fier de toi que tu l’es de moi. Je t’aime. À tout à l’heure mon ange. Je dépose un dernier baiser sur ses lèvres, alors que les ambulanciers repartent avec le brancard et que l’infirmière suit avec les bébés dans leur boite de plastique. Je suis aussi avec ma voiture, jusqu’à l’hôpital.

Nous voilà tous parti direction l’hôpital. Pendant le trajet les ambulanciers s’occuper de surveillé les constante de Mary qui nous a fait à la naissance une belle frayeur. De mon côté mes yeux se fermé tout doucement, mais je me forcé à les garder ouvert pour ne pas lâcher du regard mes enfants. Je voyais Jr se coller contre sa petite sœur comme s’il voulait prendre soin d’elle c’était vraiment trop mignon. Si j’avais pu j’aurais pris une photo de ce moment pour ne jamais l’oublier. Ma tension a moi commencer doucement a chuté ce qui est surement normal vue la fatigue et la perte de sang. Le fait qu’Ian ne soit pas avec moi ici me rend nerveuse. Je sais qu’il nous suit derrière l’ambulance, mais l’avoir prêt de moi aurait était plus relaxant. Une fois arriver à l’hôpital les petits sortit les premiers puis je suivis juste après.

Ian ?
Je le cherche du regarde et le vois arriver et de moi. On était en train de nous balader dans les couloirs surement vers une chambre pourtant le lit des petits partaient dans une autre direction que la mienne. Je me mis à avoir peur de les laisser tout seul.
Ian reste avec eu s’il te plait. Je ne veux pas qu’ils restent seul veille sur eux je t’en prie. Dis-je de ma vois faible et épuisé.

On devait surement emmener les petits vers la salle des nouveaux nés, mais après ce qu’on a vécu je ne voulais pas les laisser tout seul. J’avais peur qu’ils leur arrivent quelque chose ou que Mary est à nouveau un problème. Je ne voulais pas que nos enfants pensent qu’on les laisse tout seul avec des inconnues.

J’étais nerveux tout le long du trajet jusqu’à l’hôpital, parce que je n’étais pas avec ma petite famille, inquiet de ne pas savoir si tout le monde va bien. J’ai du resté concentrer sur la route pour ne pas avoir un accident, ce n’était surtout pas le moment.

Une fois arrivé, je suivais le brancard d’Alexa dans les couloirs. Elle me demanda de rester auprès de nos jumeaux. Ces bébés étaient de vrais miracles pour moi. Deux d’un coup, alors que je suis presque stérile. J’obéis donc et je vais dans la salle des nouveaux nés. Il n’y avait pas beaucoup de bébés. Un pédiatre s’occupe de mes enfants. Ma petite fille me semblait plus faible que son frère. Elle avait un agar très faible. Alors que junior avait 9-9-9, mais Mary 1-3-2. J’espère qu’elle n’aura aucune séquelle.

Les heures passèrent et Alexa avait été soignée avait pu se reposer. C’était l’heure du biberon, mais je ne savais pas qu’elle avait été le choix de Alexa en ce qui concerne la nutrition des bébés. Les allaité ou le lait maternisé ? Alors je prends le lit des deux bébés blottis l’un contre l’autre encore endormi, sur le point de se réveiller, voyant Ian commencer à s’agiter et Mary téter son poing. On va aller voir maman, vous aurez à mangé bientôt. Papa ne veut pas faire de gaffe, il faut lui demander quelle méthode elle préfère.

Je roule le lit jusqu’à la chambre d’Alexa, alors que je ne l’avais pas revu depuis l’arrivé à l’hôpital. Par chance elle était réveillée. Regarde qui je t’amène. C’est l’heure de les nourrir, tu es prête à le faire ? Je roule les petits à coté du lit de leur maman et j’embrasse tendrement ses douces lèvres. Coucou mon ange, tu te sens comment ? Je caresse sa joue. Les petits bout de chou avaient été lavés et emmitouflé dans des pyjamas et une couverture en plus de porter un petit chapeau en laine sur la tête, un rose et un bleu.Les deux bébés étaient blottis ensemble dans la couverture. C'était bon pour Mary.

Alors que Ian accompagne les petits de mon côté on m’amena dans une chambre et on vérifia que mes saignements c’était bien arrêté. On me lava et me changea pour que j’enfile une tenue plus confortable, enfin ça c’est eux qui le dise parce que quand je me lève j’ai les fesses à l’aire alors bon. Ils n’ont pas arrêté de me poser des questions sur la naissance, les conditions etc… sans oublier tous les tests qu’ils mon fait. Entre mettre au monde les jumeaux et avoir à faire à cette ribambelle de personne en blouse banche je préfère encore revivre mon accouchement. Au final lorsque Ian vient me voir je n’avais pas encore fermé l’œil et ma fatigue se lisait sur mon visage pas maquillé. Je me redresse un peu et regarde les jumeaux.

Bonjours vous deux.
Je souris et regarde Ian pour lui rendre son baiser.
Je vais bien et toi ça va ? Tu as pu souffler un peu ? Les jumeaux vont bien ?
Je posais beaucoup de question, mais c’était les nerfs qui faisait ça dû à la fatigue.
C’est leur de leur donner à manger, tu veux qu’on fasse comment ? personnellement je ne sais pas trop quoi faire. On dit que le lait maternel ça aide les petits au début et vue Mary j’ai envie d’essayer mais je me dis que faire ça pour les deux ça va être épuisant. Je n’ai pas envie non plus de donner le sein à un des deux de peur que l’autre soit jaloux. Tu en pense quoi toi ? Tu pense que c’est mieux de faire quoi ?
Ian est d’un très bon médecin et sera de bon conseil. De deux c’est le papa et j’ai envi qu’il puisse donner le biberon a ses enfants tout autant que moi. J’avoue que j’aurais bien besoin de sa grande sagesse sur cette question.