Comment je pouvais ne pas culpabiliser? Comment pouvait elle ne pas m’en vouloir? Je ne comprenais pas. Mais oui, je m’en voudrais jusqu’à ma mort. Par peur de lui faire mal, juste en la touchant. Quel con je suis! Je ferme les yeux, pendant le long silence qu’il y a entre nous, jusqu’à ce qu’elle me demande un calin. Je la regarde, lui souriant en coin. Je tapote la place à coté de moi après m’être tassé. Je la vois grimper, difficilement à cause de ses poignets brisés, sur mon lit. Je ferme les yeux, m’en voulant encore plus. Je voyais bien qu’elle faisait attention pour ne pas se faire mal. Encore pire, je m’en veux de ne pas pouvoir prendre soin d’elle. Je la sers doucement contre moi une fois collé contre moi. Vie de merde… Dis-je. Je soupire et ferme les yeux, épuisé, je m’endors instantanément. Sa proximité m’avait aidé et me réconfortait, j’essaie juste de ne pas trop lui faire mal en la tenant contre moi, mais je dors, pendant quelques heures.

Je souris le voyant me faire une petite place. Je me glisse doucement dans ses bras, fessant attention pour ne pas trop avoir mal. On m’avait donné des calment pour la douleur mais je les prenais pas. J’ai une mauvaise expérience avec les médicaments donc t’en que je ne suis pas obligé de les prendre je les avale pas. Blottit dans ses bras je me sens enfin bien. Je vois très bien qu’il fait attention a pas me faire mal. Vie de merde… voici les derniers mots qu’il prononça ça avant de s’endormir. J’aimerais tellement pouvoir le rendre heureux, mais j’ai peur de ne jamais y arriver. Je pose ma tête dans le creux de son cou et y dépose un baiser avant de fermer les yeux et de m’endormir en heure tout au plus et lorsque je me réveille lui dormais toujours. Il semblait calme pour le moment et je ne bougeai pas une oreille pour ne pas le réveiller.
Repose-toi mon amour… murmurai-je.
Je le regarde dormir et profite de ce petit moment de tendresse entre nous. C’était si bon d’être la dans ses bras.   

Je dormis jusqu’au repas du soir. Je me réveille à cause de l’odeur de la nourriture. J’en avais mal au cœur, tellement je n’avais pas envie de manger. Je remarque qu’on m’avait enlever mes solutés et débrancher le monitoring cardiaque. J’étais libre comme l’air coté déplacement. Alex était toujours à mes cotés, dans la même position. La pauvre, elle devait être engourdie. Je retire mon bras d’autour de son corps. Hey! Je lui souris et embrasse sa joue. Je pousse mon plateau, oui j’avais faim, maintenant que je n’avais plus de soluté, mais je n’avais pas envie de manger. Je me lève, j’avais une envie pressante. Je me demande si on avait commencé à me donner mon traitement. J’en ai aucun effet en tout cas. Je vais à la salle de bain et quand j’en ressorti, le médecin était là à m’attendre. Alexa avait regagné sa chaise. Je m’assois sur le bord de mon lit et me passe une main sur la nuque, la frottant. Monsieur Calloway, maintenant que vous avez plus besoin de soluté, je vais pouvoir commencer le traitement. La prochaine fois se sera l’infirmière qui vous le donnera. C’est à prendre au 12 heures. Jusqu’à ce que vous vous sentez bien et normal. Par après, ce sera au besoin, dès que vous chutez. Sans attendre s’il vous plait. Je soupire, me voilà drogué maintenant. Oui d’accord. Le médecin regarde mon plateau. Cela fait deux jours que vous ne touchez pas à votre nourriture, il faudrait peut être commencer à manger. Il me donne une pilule que j’avale avec l’eau. Oui j’y penserai. Mais au finale, je n’avais pas envie de manger, je serais même prêt à me laisser mourir de faim.

C’est fou on avait passé la journée dans un lit une place à la base dans la même position sans bouger mais le temps ne m’avait pas semblé si long que ça pourtant. Je souris et le laisse aller à la salle d’eau. Je me lève et regagne ma chaise. Son plateau repas il ne l’avait toujours pas touché mais d’un côté quand moi je regarde la nourriture j’ai plus envie de vomir que d’ingurgiter cette chose qu’on lui serre. Le médecin arrive et lui donne son traitement. Le voilà repartie pour une cure de médicament. Le pauvre à croire qu’il en aura toute sa vie. Le médecin quitta la chambre pas convaincu par les dire de Ian et moi non plus. Je remets une mèche de cheveux derrière mon oreille et le regarde.

Ian, chéri sérieusement tu devrais manger un peu. Tu as rien avalé de la journée si tu veux je peux aller te prendre un truc en dehors si la nourriture d’ici te plait pas. Je dirais que c’est pour moi comme ça on me laissera entrer avec et si ça marche pas je peux toujours le planquer dans mon sac.

Je souris en pensant à la mission commando que j’étais prête à faire pour qu’il avale un truc.

Tu es grand je vais te donner à manger tout de même mais si tu continues je vais vraiment devoir le faire.   

Je lève les yeux au ciel. Elle faisait vraiment tout pour que je mange. Je soupire ensuite et me pose, étendu sur mon lit, croisant mes bras. Essaie pour voir. Ouais qu’elle essaie de me nourrir pour voir. Je la regarde. T’as mieux à faire que de me surveiller. J’avais surtout mal en dedans de moi pour ce que je lui avais fait. Je l’ai blessé, je l’ai rendu invalide. Je reste silencieux, jusqu’à ce que mon psy entre dans la chambre 15 minutes plus tard. Je le regarde du coin de l’œil, dos à Alexa. Il arque un sourcil en voyant mon plateau pas toucher. Je l’entends soupirer. Je suis fier de moi, je le fais réagir. Ian vous chercher quoi à la fin? De finir vos jours ici? Je souris en coin de façon sadique, amusé du fait que je peux facilement le mettre à bout. Et si je vous disais que c’est ce que je veux? De toute façon, je n’ai rien à faire de mes journées, comme j’ai perdu mon titre de père et de médecin. À quoi bon se battre? Je ne quitte pas son regard, il griffonne quelque chose. À ce rythme là, il aura un dossier épais comme une brique à mon sujet. Il me semble désespéré. Vous savez, vous n’êtes pas un cas facile. Je souris en coin. Je sais, déjà que je n’apprécie pas votre profession, alors hein. Je prends mon plateau de bouffe et je le fou à la poubelle.

Je secoue la tête de gauche à droite désespérait par son comportement. J’eu pas le temps de faire quoi que ce soit que le psy débarqua dans la chambre. Génial e le sens mal encore cette entretien. Comme tout le monde avant lui il remarqua qu’il ne manger rien et bien sûr Ian s’amuser a le provoquer. C’était comme un jeu limite pour lui à savoir qui craquera en premier sauf que j’ai bien peur que dans toute cette histoire ses mes nerfs à moi qui lâche à cette vitesse. Je pas laisser le temps au psy de parler que j’interviens.
C’est ce que tu veux vraiment rester enfermer ici toute ta vie. Tu ne veux pas sortir d’ici dû au fait que tu as perdu ton tire de père et de médecin et moi alors tu en fais quoi de moi ! Je ne compte pas plus qu’un simple titre à tes yeux. Tu préfères rester ici que de rentrer à la maison avec moi. C’est des fois à se demander si vraiment tu es un minimum bien avec moi.
Les larmes aux yeux, j’essaie de reprendre on calme.
J’ai besoin de prendre l’aire…
Je sors de la chambre laissant mais affaires pour aller me balader dans le jardin de l’hôpital histoire de me calmer un peu et de se vider la tête. Je sais pas pourquoi mais des fois je pète les plombs sans vraiment de raison. Enfin je sais que Ian et malade et qu’il risque de dire des choses blessante des fois alors pourquoi réagir si soudainement comme ça ? J’en sais rien mais là j’avais besoin d’une petite pause pour respirer. 

Alexa avait cette chance inouie de ne pas avoir que moi dans sa vie. Je suis perdu, j’ai tout perdu, sauf elle. Encore une fois je l’ai blessé. Fichu dépression! J’en ai marre. Une fois qu’Alexa ait quitté ma chambre, me voilà seul avec se con de psy. Je le regarde. C’est à me demander, s’il serait pas préférable que je me suicide. Je le vois griffonner de nouveau. Je soupire et me lève de mon lit. Je sens son regard sur moi à un tel point que ça en devient lassant. Je crois qu’il a peur que je fasse une gaffe. Je n’étais pas dans l’aile psychiatrique, donc les fenêtres pouvait à peine s’ouvrir. Je regarde par la fenêtre et puis je recule jusqu’à la porte, faisant mine de rien face au psy. Je me sens pas bien… Je joue la comédie me laissant tomber au sol. Le psy quitte ma chambre en courant. Alors je me relève rapidement et je cours fonçant vers la fenêtre. Ça suffit, cela permettra de cesser de faire du mal à Alexa. Je brise la fenêtre et me retrouve de l’autre coté, un étage en dessous, dans le jardin. Ce n’était pas assez pour me tuer, mais je me brise un bras et les côtes. Je cris de douleur, le crâne en sang. Je me dandine sur le sol et aperçois, de façon flou, des gens accourir vers moi.

Calmer je m’apprêtais à remonter quand un bruit me fit sursauter au aurait dit le bruit d’une vitre brisé. Soudain un attroupement de personne se forme. J’arrive pour voir ce qu’il se passe et alors là c’est le choque.
IAN !!!!!! NON!!!
J’accours vers lui, poussant les gens pour passer. Accroupi à côté de lui le caresse sa joue.
UN MEDECIN !
Je le regarde saigner mes mains couverte de son sang.
Ian ça va aller tien bon je t’en prie. Me lâche pas reste avec moi tu m’entends. Mon dieux mais qu’est-ce que j’ai fait.
L’équipe médicale accourt pour vite le prendre en charge. Tout était de ma faute ! Si je n’avais pas crié sur lui, si j’avais fermé ma grande bouche il n’aurait jamais fait ça. Je suis une personne immonde mon copain a tenté de de donner la mort à cause de moi. Je reste sur place un moment alors qu’Ian se fait soigner. C’est une infirmière qui vient me ramener à l’intérieure pour m’aider à ma laver du sang que j’ai sur moi. Je suis sous le choc. Je n’arrive pas à croire ce qu’il a fait et je n’arrive pas à croire que c’est moi la responsable de sa tentative de suicide. Trop de culpabilité trop de sang, j’en pouvais plus j’ai gagné un aller simple pour aller vomir au toilette.  

J’étais pleinement conscient. Je vis un visage que je reconnaissais, celui d’Alexa. Je gémis pour lui dire que je suis conscient et on me met sur un brancard et je me retrouve au bloc opératoire. Je perds connaissance à cause des analgésiques. À mon réveille, je me retrouve dans une chambre sécurisé avec caméra et barreaux aux fenêtres. Mon médecin est au pied du lit et me regarde. Bonsoir Dr Calloway, vous avez fait une vilaine chute et on a du vous opérer à un genou et vous avez une fracture du crâne. Vous avez eu de la chance de survivre. Bon, pour votre genou, et bien… vous boiterez et il sera douloureux si vous marchez longtemps. Donc plus de sport et vous devez rester assis plus que debout. Se médecin n’était pas le même que l’autre, lui me semblait avoir du respect pour moi et pour ma réputation. Il me sourit et quitta la chambre, laissant Alexa entrer. Je baisse immédiatement le regard, honteux et mal à l’aise. Alex… je suis désolé… Je n’ose même plus la regarder.

Une fois sortie des toilettes un médecin vient me voir pour m’apporter des nouvelles de Ian. Il était mal en point. On avait dû l’opérer au genou et il risquer d’avoir des séquelles a vie et avait une fracture du crâne. On l’avait mis dans une chambre sécurisé et on m’avait autorisé à le voir. Quand je le vois dans cette état je me remis pleurer coupable de ce qui venait de se produire. Je ne prêtai même pas attention au parole qu’il venait de dire et fonce le prendre dans mes bras. Oui j’avais eu mal en bougeant mon bras plâtré mais là je m’en fichais royalement.
Pardon… je suis désolé c’est ma faute si je t’avais pas crié dessus… si je t’avais pas dit c’est chose méchante tu n’aurais pas fait ça… Ian je suis tellement désolé…
J’étais anéantie, je craquais totalement, j’en pouvais plus, c’était trop pour moi. Jamais plus au grand jamais je ne veux revivre ça entre ses poignets tranchés et son saut du premier étage, je pensais réussir à ne pas le faire rechuter à le sortir de sa dépression mais ce n’est pas le cas. C’est même pire qu’avant.  

Je ne voulais pas la blesser moi non plus. Je savais aussi que maintenant, je resterais avec une canne pour m’aider à marcher. Je la sers contre moi, caressant son dos et posant mon front dans son cou. Alexa, j’ai tenté de nouveau en raison d’un tout, mais oui, ta non compréhension à mon mal est la goutte qui a fait déborder le vase. J’ai besoin d’un support et… je n’en ai pas. Tu es la seule personne qui me reste pour le moment. Mais tu es… trop sensible, trop fragile pour m’aider à m’en sortir. Je te blesse alors que ce n’est pas ce que je veux. Il me reste plus que toi. Mets toi à ma place Alex. J’ai plus d’emploi, j’ai perdu mon statue de père. Comment crois tu que je peux me sentir face à ça? Je sais très bien qu’il me reste toi. Tu es la seule personne qui me reste. Je serais toujours bien avec toi. Sans toi je ne suis plus rien. Ton amour est important à mes yeux et j’ai cru, une seconde, tout perdre cela. Je me sens tellement mal de t’avoir… brisé les poignets. À cause de moi, tu es en train de te bruler, de te tuer à petit feu. Je ne t’en voudrais pas si tu as besoin de repos, prends soins de toi mon amour… ma princesse. Je relève le regard vers elle, la lâchant pour caresser sa joue de mon pouce. Je l’embrasse tendrement. Je t’aime. Je ferme les yeux, à cause de d’un spasme et d’une douleur soudaine dans mon crâne. Je grimace et la lâche pour me tenir la tête entre mes mains. Nom d’un chien…Ça fait mal! C’était insupportable. À croire qu’on me surveillait de l’extérieur de ma chambre, car une infirmière arriva immédiatement, suivi par quelques secondes, de mon médecin. Il desserra le pansement à ma tête et me força à me coucher sur le lit. Ne bougez pas! Il sortit une seringue avec une fine aiguille et me la planta à frette au niveau de ma tempe et me draina un liquide rouge. C’était du sang. Je savais parfaitement ce qu’il me faisait. La douleur se dissipa, mais resta quand même, mais elle était supportable. Il vida la seringue dans un bol et recommença la même chose, à trois reprise. Il se peut que ça recommence, donc je reviendrai de nouveau vous drainez le sang. Vous avez des vaisseaux sanguins qui ont éclaté dans votre cerveau et qui continuent d’éclater à quelques reprises. C’est une question d’heures… Si ça continue, il n’y aura plus rien à faire et vous mourrez. Je suis désolé de vous l’annoncer ainsi. Il me refait un bandage, je reste silencieux, le temps de réaliser ce qui risque de m’arriver. Je baisse le regard. Je n’osais même pas regarder Alexa, qui avait tout entendu elle aussi. Je ne voulais même pas imaginer le visage qu’elle doit arborer en ce moment face à cette nouvelle. Je me replis sur moi-même lui faisant dos. Je me renferme sur moi-même, réalisant toute la merde que j’ai fait depuis 3 jours.

Je m’étais effondrais en larme dans ses bras. Il disait que c’est un tout qui l’avait fait rechuter mais c’est moi qui a appuyer sur le bouton pour qu’il explose et face cette TS. C’est ma faute si maintenant il a des problèmes de santé. Je ne me le pardonnerais jamais. Je ne suis pas à la hauteur, je le serais peut-être jamais. Il a raison il n’a pas de soutien vue que je prends tout mal à chaque fois. Pourquoi je fais ça, pourquoi je ne peux pas être pour une fois à la hauteur et faire ce qu’il faut pour l’aider. J’allais lui dire que je m’aime aussi quand il se mit à avoir très mal à la tête. Le médecin arrive et me fit reculer pur lui drainer une sorte de liquide rouge comme du sang. C’était plutôt terrifiant comme vision et en plus il le fit plusieurs fois. Voir Ian souffrir comme ça c’était insupportable. Une fois fini le médecin nous explique ce qu’il se passe et quand il prononça le mot mourir je crus m’effondrer. Je me sentie tout à coup pas très bien et j’eu besoin de m’assoir. Mon visage et sans aucune expression comme tétaniser. C’était le vide total, mon corps état présent et mon esprit ailleurs. Ian pouvait mourir à tout moment à cause de sa chute que j’ai provoquée. Si ça se trouve je viens de condamner mon petit ami à la mort. Je regarde mes mains et revois son sang qui était dessus. S’il me quitte ça sera moi qui serai responsable. Ça sera moi qui l’aurais tué. Il lui reste peut être que quelque heure à vivre si son état ne s’améliore pas. Je pleure en silence revenant peu à peu à moi. Il a besoin de moi plus que jamais je dois me ressaisir. Je me lève prenant soin de ne pas tourner de l’œil et m’approche de lui pour embrasse sa joue et la caresser.
Je suis là mon amour, tu n’es pas seul. Je t’aime tellement. Pardon pour ce que je t’ai fait. Pardon de ne pas être à la hauteur.
Il doit être plus triste et anéantie que jamais. Je ne veux pas qu’il soit seul si son état se dégrade. Je veux qu’il se sente bien, pas seul et surtout aimé. Je fais de mon mieux pour pas pleuré mais c’était très dur. Imaginer une seul seconde ma vie sans lui c’était impossible. Sans Ian dans ma vie je n’y arriverais pas. Je relève mon regard vers le médecin priant pour qu’il le sauve.
Il doit bien y avoir quelque chose à faire on ne peut pas rester la a attendre sagement de savoir si son état va s’améliorer ou non ?
Je ne pouvais pas rester les bras croiser à le regarde attendre ou non la mort. 

Je reste silencieux, je profitais de ce moment sans douleur pour me reposer. Je ferme les yeux pour dormir. Fatigué par le mal à mon corps. Je souffrais à mon genou. Je regrettais d’avoir sauter par la fenêtre. Je suis le seul coupable de mon sort. Alexa ne doit pas se sentir coupable pour ça. Je suis dérangé mentalement. Je ne mérite même pas sa compagnie. Le médecin répond à Alexa. J’avais beau dormir, j’entendais tout. Ian à les vaisseaux sanguin de son cerveau bloqués, et cela surement depuis la tempête. Sa chute, les as fait éclater… Il ne s’est jamais pleins de maux de tête? À moins qu’il ne voulait pas que vous le sachiez. Tant mieux s’il n’avait aucune douleur. Il aurait pu vive comme ça jusqu’à sa mort, mais avec des sautes d’humeur énormes. Son saut par la fenêtre a fait éclater ses vaisseaux, donc son cerveau se noie dans le sang et nous devons le drainer quand il commence à souffrir. Il y eut un silence pendant deux secondes. Lui provoquer un coma serait la meilleure option à sa survie. Mais pour combien de temps? On ne le sait pas. Ça pourrait duré quelques jours, comme plusieurs mois avant qu’il ne se réveille. Avoir aucune activité cérébrale pourrait lui sauver la vie. Et permettrait à ses vaisseaux de se refermer et continuer à faire circuler le sang dans son cerveau de façon régulière. Mais il resterait avec des séquelles… J’ouvre les yeux entendant le médecin. Je soupire, mais ne me retourne pas, leur montrant que j’écoute la conversation. Je suis médecin, je sais très bien que c’est la meilleure chose à faire si je ne veux pas mourir.

Ian c’était endormis enfin c’est ce que je croyais. Le médecin m’explique alors en détail la situation. Ian m’avait jamais parlé de douleur à la tête, je ne savais pas s’il me l’avait caché ou si il ne s’entait tout simplement rien. Des saute d’humeur par contre ça je ne vais pas dire qu’il en avait pas. Mais si ça se trouve vue qu’il est dépressif ça venait de la et non de son problème au cerveau ou alors tout était lié. Dans tous les cas Ian était au plus mal. En gros il y avait deux possibilités. Sois attendre de voir s’il guérit ou s’il meurt ou alors le plonger dans le coma le temps qu’il faudra pour que ses vaisseaux se referment, mais il y avait des risque pour qu’à son réveille il est des séquelles. Je fais quoi ? Il soupir ce qui me montra qu’il avait tout entendu.
Vous entendais quoi pas séquelles ? Si on le plonge dans le coma il va lui arriver quoi ? Ses vaisseaux vont se régénérer à une vitesse plus ou moins rapide mais quand il se réveillera il ira comment ? Etes-vous sur de pourvoir le réveiller au moins après ? Des gens meurt en tombant dans le coma je ne veux pas que ça lui arrive.  
J’ai besoin d’avoir tous les infos nécessaires pour bien comprendre ce qui va lui arriver. Si vraiment il est plongé dans le coma alors je l’attendrais le temps qu’il faut même si ça sera dure de vivre sans lui, mais au moins il sera vivant. Mais j’ai peur car s’il se réveillera jamais, on me demandera un beau jour de le débrancher et sa je n’y arriverais pas. Je me reproche déjà trop d’avoir mis Ian dans cette état de l’avoir peut être tué alors il n’est pas question que ce genre de chose arrive. Je soupire et regarde l’amour de ma vie les yeux rouge par les larmes qui coule silencieusement sur mes joues. 

Faites ce qu’il y a à faire… Dis-je. Je ne voulais pas attendre de voir si je vais mourir. Il sera trop tard. Qu’on me plonge dans un coma, se sera mieux ainsi. Le médecin poursuit la discussion. Pendant que moi je reste dos tourné à Alexa. Ian risque de changeant son comportement, en pire ou en mieux, je ne sais pas. Ce coma provoquer, ce n’est pas moi qui le fera revenir. Il se réveillera de lui-même. On pourrait beaucoup plus le tuer en le faisant sortir du coma que de le faire par lui-même. Il ne perdra pas la mémoire, si c’est cela qui vous inquiète. Se sera plutôt comportementale. Il faut provoquer ce coma Mlle Mills. Même Ian en est d’accord. Je me retourne finalement et le médecin posa ses mains sur nos épaules en digne de réconfort. Je vais vous laissez entre vous, profitez l’un de l’autre, je reviens dans une heure pour provoquer le coma. Il me regarda par la suite. Mangez quelque chose, ça vous fera du bien. Je vous autorise à sortir à la cafétéria pour manger. Il me sourit et quitta la chambre. Je baisse le regard, face à Alexa.