J’embrasse sa tempe, alors qu’elle me demande de lui faire l’amour maintenant, sur place. Juste cette idée de danger, m’excitait encore plus. Mes yeux plongent dans les siens. Je souris en coin, caressant ses joues après avoir cessé ma caresse à son intimité. Je l’embrasse.

Alors ne faisons qu’un… maintenant.

Mes lèvres descendent dans le creux de son cou. Je frémis à ses caresses sur mon torse, qu’elle ne cesse de me donner. Je la colle un peu plus contre moi. Caressant le creux de ses reins sous son haut. Mes baisers s’intensifie dans son cou. J’hume sa douce odeur. Je vais embrasser sa machoire et puis l’arrière de son oreille. Mes lèvres finissent par s’unir aux siennes. Ma main contre sa joue, la caressant du bout de mes doigts. Soudainement, je réalise l’ampleur de l’erreur que nous faisons. Je n’avais pas de protection sur moi.

Alexa? Je n’ai pas… de préservatifs sur moi…

Mais je ne cesse pas pour autant mes caresses sur son corps. Commençant à déboutonner mon jeans, alors que je commençais à réellement me sentir serrer dedans.

Elle commençait à se dévoiler à moi. Sa poitrine magnifique, je plonge mes mains sur celle-ci, caressant ses mamelons de mes pouces. Elle était si jolie. J’aimais qu’elle soit sur moi. Je me sentais dominé par elle et cela m’excitait au plus haut point. Mon entrejambe était trop coincé dans mon jeans.

La magie de la pilule j’imagine.

Je souris, approchant son visage du miens pour l’embrasser. Ce n’était pas le moment de lui demander, pourquoi elle prenait la pilule en ce moment, alors qu’on était à peine en couple elle et moi. Probablement qu’elle avait eu besoin de sexe avec n’importe qui, n’importe quand. Mais bon, l’important, c’est que je sois le seul maintenant qui aura le droit de la toucher aussi intimement. Je plonge mes mains dans son pantalon pour caresser son joli petit fessier, tendre et doux. Je glisse ma main entre ses cuisses pour aller titiller son bouton sensible. Elle était déjà toute mouillée, prête à me recevoir. Un sourire en coin se dessina sur mes lèvres. Mon regard dans le sien.

Retire mon pantalon… il se fait beaucoup trop serré.

Je voulais qu’elle me déshabille. Je voulais qu’elle me touche à sa guise. Je voulais qu’elle mène la cadence jusqu’à ce que je décide à mon tour de la mener.

Oh mon dieu! Ses caresses me faisaient flipper carrément. Je ferme les yeux pour mieux les profiter. Quand elle retira mon pantalon, je compris qu’elle avait tout enlevé. Je gémis quand elle toucha mon membre bien durcie. Mes doigts rejoignent son intimité qui frôla la mienne. Encore une fois je flippais. Elle le faisait exprès ou quoi? Je l’attire donc contre moi. Nos corps collés l’un contre l’autre. Ma jambe contre sa hanche. Je l’embrasse langoureusement, nos langues dansant ensemble. Mes mains se baladent sur son corps. J’en pouvais plus, je ne voulais faire qu’un avec Alexa. Mes yeux s’ouvrent pour la regarder droit dans les yeux, la suppliant du regard de m’autoriser à m’insérer en elle.

Alex… s’il te plait… j’en peux plus. Glisse toi sur moi.

Je voulais que ce soit elle qui s’empale sur ma verge. Mes mains se placent de chaque coté de ses hanches que je caresse. Pour finir, l’une d’elle, sa course jusqu’à mon membre que j’empoigne à sa base près de mes bijoux de famille. Je la frotte doucement contre son bouton sensible, à petit coups. Je la sens réellement prête pour moi. Nos gémissements sonnent à l’unisson.

J’adorais cette proximité avec elle. Je caressais ses reins, ses hanches, son dos, alors qu’elle était presque fusionné avec moi. Je baise son cou. Je gémis pleinement. Je commence a bouger des hanches pour l’accompagner. Je la laisserai pleinement me doiminer. J’adore cela. D’habitude je suis le dominateur, mais ce soir, j’en ai pas envie du tout. J’approfondie ce baiser langoureux. Ses fesses dans le creux de mes mains, je les caresse.

Je t’aime encore plus... Alexa

Mon regard dans le sien, j’étais perdu, dans un autre monde avec elle. Plus rien ne comptait autour de nous. Je nous pensais seuls. Je l’aimais. Mes doigts s’enfoncent dans ses fesses, alors que je la colle plus à moi, sentant pleinement son intérieur contre ma verge gonflée par le plaisir. Ma jouissance montait de plus en plus. Mes yeux se ferment contre son épaule, alors que ma tête venait de retomber dans le creux de son cou. Je n’en pouvais plus, je la force à s’assoir sur moi, sans me retirer, alors que je nous relève. Mes mains glissent le long de son dos, retrouvant à nouveau ses fesses. Je murmure doucement.

Je vais venir en toi…

Oui dans quelques seconde, j’allais enfin délivrer tout mon amour pour elle.

J’étais si bien en elle. Avec elle. Je l’aimais de tout mon être. Je l’aimais elle, pour tout ce qu’elle était. Je caressais son dos du bout de mes doigts. Nos bassins dansaient l’un contre l’autre. Ma respiration se fit plus profonde. Mes baisers se firent plus ardus. Je l’aimais. Je sentis mon apogée naitre en elle. Mon gémissement se fit soudainement rauque et fort.

Alex… xa…

Mes doigts s’enfoncèrent dans mon dos. Lui laissant sans doute des marques de cette passion qui nous avait unis. Mon visage enfouit dans son cou, la serrant terriblement contre moi. Nos sueurs se mélangeaient ensemble. Cette soirée était parfaite. Ma semence chaude, emplissait l’intérieur de ma compagne. Une fois vidé, je relève le visage pour embrasser le dessous de son menton et puis sa machoire. Je caresse sa joue, l’agrippant pour l’embrasser tendrement. Mon front se posa contre le sien. Mon regard dans le sien.

Je t’aime.. Lui murmurais-je. C’était parfait, c’était divin.

Je caresse le creux de ses reins, me retirant doucement d’elle. Son ventre contre le mien, je l’embrasse une dernière fois.

Je la laisse se rhabiller, ce que je fis moi aussi. Lui jetant des parcelles de coups d’œil sur elle. Mon corps continuait de frémir. Je me sentais bien, euphorique, comme quand on fumait un joint. Alors que oui, j’en ai déjà fumé, il y a très longtemps. L’effet était indescriptible. Une fois vêtu, j’attrape sa main et je lui souris.

J’adore ce genre de tension. On ne s’est pas fait surprendre.

Je sers sa main dans la mienne, la relevant pour embrasser sa paume. Je l’aimais J’étais bien. Et avant que Sarah ne se pointe le bout du nez ici, je saurais que Alexa sera toujours dans mon cœur, peu importe comment tout se déroulera. Je sais très bien que ma copine de New York finira par venir ici. Si j’ai craqué, c’est sans doute à cause du refus de garder mon bébé que Sarah avait porté. Tout le long de mon arrivé ici, j’avais eu le cœur lourd à l’idée de cette perte terrible à mes yeux. J’ai fini par comprendre et réalisé, que sa vie de carrière était plus importante que notre vie de couple. Sachant que de mon coté, l’amour de ma vie passera toujours en premier, malgré le dur travail que je fais. Deux jobs en une, prend beaucoup de mon temps à Broken Hill. Jamais je n’aurais trompé ma copine si je n’avais pas douté d’elle, mais je l’avoue. Mes sentiments étaient toujours existants envers Sarah, mais ils étaient encore plus fort en ce qui concerne Alexa.

Je te ramène ou tu as envie d’une glace?

Je souris en coin, embrassant la commissure de ses douces lèvres, gonflées par les baisers échangés plus tôt. J'adorais prendre une glace avec elle, cela me rappelle le moment ou j'ai réalisé que je començait à ressentir plus de sentiments pour elle, et je ne voulais oublier cela pour rien au monde.

Main dans la main, on alla prendre cette glace. Les mêmes saveurs que la première fois. Ça me rappelait ce bon moment, la première fois. Une fois achetés. Nous allons les manger assis sur un banc, ce même banc. Plus collés l’un contre l’autre cette fois ci. Je la regarde et lui tends ma glace pour qu’elle en prenne une lèche. Ce que je n’aurais pas fait il y a 3 semaines. Je souris et ris. Je caresse sa joue du bout de mes doigts. Posant mon front contre le sien. Totalement amoureux.

Je referais ça tous les soirs si on le pouvait.

Je souris, sachant que c’était impossible, avec mon boulot, où je dois être présent 3 soirs par semaine à l’hôpital. Les mêmes soirs ou Alex travaillait. Ça tombait bien. Nous ne serons jamais seuls chacun de notre coté, à attendre l’autre. Et les soir ou je ne travaille pas, j’irai au bar la regarder travailler. J’embrasse sa joue.

J’adore ces soirées.