Une fois prête pour le drainage, je plante l’aiguille dans sa tempe, là ou le scan de se matin à montré le caillaux. Je tire sur le piston doucement, jusqu’à ce qu’il n’y a que du liquide transparent, mais à peine. Je parle à Alexa en même temps pour la rassurer. Le drainage dura les 5 minutes. 5 minutes de souffrance, la pauvre. Je retire doucement l’aiguille et l’infirmière y appose immédiatement un coton non imbibant sur la plaie pour l’empêcher de couler. Je lui fais ensuite un pansement. Voilà mon ange, c’est terminé. Je lui retire le baton dans la bouche et je dépose un baiser sur ses douces lèvres, caressant sa joue. Ça va? La douleur est parti? Si ça c’est bien passé, elle devrait se sentir bien, à part pour la sensation de l’aiguille dans son crane. Qui devrait duré encore quelques minutes. Ton médecin va te faire un autre scan tout à l’heure.

Cinq minutes de souffrance. Quand à eu fini l’opération pour lui ça avait été rapide mais pour moi j’eu l'impression que ça a duré une éternité. Une fois le pansement sur ma tempe je le regarde épuisé par ce qui vien de se passer. Son baiser me fit du bien et je lui souris légèrement trop épuisé pour faire mieux la tout de suite.
Ça va oui. J’ai la sensation d’avoir encore l’aiguille mais sinon ma tête ne se sens plus compressé.
L’opération c'était bien passé. Un second scan aller être effectué pour s'assurer que le caillaux et bien parti mais actuellement tout va bien. J’allais juste avoir besoin de repos pendant quelque temps. Les bébés eux semblaient aller bien. Pas de fausses couche en vue. Pas de douleur nie de saignements. Tout semble aller bien pour l’instant.
Merci Ian.
Je prend sa main dans ma mienne et l’approche de mes lèvres pour y déposer un baiser. On me ramène alors dans ma chambre et on ferme les rideaux histoire que la lumière ne me face pas trop mal aux yeux et que je puisse me reposer un peu. De nouveaux brancher de partout j'eu le droit à une cure d’antibiotiques histoire que je ne face passe une infection suite à l’opération effectué.

Une fois dans sa chambre, on doit la laisser se reposer. Je me suis assurer qu’on lui donne des médoc qui ne sont pas dangereux pour la grossesse. Je n’arrive pas à croire que je vais être père, de deux bébés en plus. Et j’espère pouvoir suivre cette grossesse jusqu’au bout. Je caresse ses cheveux. Dors un peu, je vais aller manger, j’ai pas eu le temps ce matin. Tu es branché à un soluté qui va te nourrir pendant que tu reposes, les embryons en ont besoin. J’embrasse son front et quitte la chambre, le médecin d’Alexa m’aborde une fois dans le couloir. Félicitations, ça marché. Vous avez sauvé la grossesse et aussi la patiente. Nous sommes fiers d’avoir un médecin de New York compétent. Il me sert la main, je souris. Merci. Et… vous avez sans doute compris que la patiente et moi sommes… un couple naissant. Et oui, les bébés sont de moi. Et je tiens à préciser que, j’ai la ferme intention d’être l’obstétricien de ma petite amie. Il me regarde et ne fut pas surpris. Vous avez fait vos preuves, je ne vois pas pourquoi vous ne pourrez pas l’être. Oui, de façon générale, on interdit le père médecin de s’occuper de la grossesse de sa copine ou de sa femme, mais dans votre cas, vous me semblez rassurant et non nerveux. Mais je vous avertis que si je me rends compte que vous gaffez peu importe la raison, je vous retirerai les droits de pratiquer sur la personne d’Alexa, compris? J’acquiesce et il me laissa aller manger. Quand je reviens dans la chambre d’Alexa, elle commençait à émerger de son repos. Je venais de passer deux heures avec des patientes avant de pouvoir venir voir ma copine. Coucou mon ange. Je caresse sa joue et attends qu’elle tourne le regard vers moi.

Ian fini par me quitté ce qui est normal après tout il avait du boulot, quant à moi j’allais dormir un peu alors je n’avais nullement besoin de lui en attendant. Je lui fis un dernier sourire puis je ferme les yeux et m’endormis. Je me sentais bien et apaiser. Je dormis quelque heures histoire de reprendre des forces et de me reposer de cette nuit mouvementait que j’avais passé ainsi que de ces cinq minutes de souffrance. Je crois que plus jamais je prendrais le bus. J’ai eu ma dose des transports en commun pour le reste de mon existence je pense. Lorsque je refis surface, j’entendis la voix de Ian. Je trouve mon regard vers lui et lui fit un grand sourire.
Salut toi. Tu vas bien ?
Je tends mon bras pour aller chercher sa main et la serre dans la mienne. Me redressant un peu sur mon lit, j’admire cet homme merveilleux qui est à mes côtés et qui veille sur moi. Pour le moment je ne réalisais pas trop que en réalité Ian était toujours en couple avec sa copine de New York mais cela fait déjà 5 mois qu’on est coincé ici et elle n’est toujours pas venue le chercher, sachant très bien qu’elle savait où il se trouvait. T’en pis pour elle. Elle rate la plus belle histoire d’amour avec cet homme. J’aime Ian et je sais qu’il m’aime et c’était le plus important.
Tu n’as pas du beaucoup dormir à cause de moi mon cœur je suis désolé.
Le pauvre devait être épuisé. Entre hier avec l’annonce de ma grossesse et ce matin mon opération sans oublier le fait qu’on doit surveiller les bébés pour pas que je les perde. Il doit plus savoir ou donner de la tête le pauvre. 

Je souris quand elle me demanda comment j’allais. Je trouve ça mignon, alors que c’est moi qui devrait lui poser la question. Ça va, mais toi? Je caresse sa joue, embrasse son front et pose le mien contre le sien. J’entendais encore son cœur battre rapidement. Je souris. Je te fais tant d’effets et tu devrais savoir aussi, combien tu m’en fais. Je prends sa main et la pose contre mon torse sur mon cœur qui bat pour elle. Tu le sens? Je descends mes lèvres vers les siennes, ne décollant pas mon front. Je l’embrasse tendrement. J’ai de bonnes nouvelles. Si tout va bien, tu pourras sortir ce soir. Je te ramènerai chez moi pour cette nuit, si tu en as envie.

Je lui rend son baiser avec amour. Ma main sur son coeur je sens chaque battements de celui ci. Il battait si fort cela me fit rougir. Ma main posé sur sa poitrine me rappelle notre première fois.
Oui je vais mieux. J'aime sentir ton coeur battre surtout quand je sais qu'il bat pour moi tout comme le mien bat pour toi.
J’étais folle amoureuse de lui. Ian était tout ce que je cherchais cher un homme. J’ai peut être mis plus de temps que lui a me rendre compte que je l’aimais mais maintenant que je le sais, maintenant que je suis sur de mes sentiments, qu'il est l’homme de ma vie, jamais je le laisserais partir loin de moi. Je souris et embrasse encore une fois ses douces lèvres.
En effet c'est une bonne nouvelle que tu viens m’annonce la. Je veux bien venir avec toi si ça te dérange pas. Après si tu as besoin de repos je peux le comprendre mon coeur. Tu dormiras peut être pas très bien avec moi.
Je veux pas être un poids pour lui. Oui je voulais être avec lui car je me sentais vraiment bien quand il était là mais il a veillé sur moi depuis hier le pauvre à sûrement besoin d’un peu de repos et je pense pas qu'il en ai en s’occupent de moi.

Je baisse le regard, alors que je crois qu’elle n’est pas enchanté de je lui propose de venir chez moi ce soir. Si elle n’en a pas envie, je ne la forcerai pas non plus. Je me passe une main dans les cheveux et me recule. Même si ses paroles ne sont pas blessant, dans mon cœur, je ressentis comme ça. D’après elle, je ne dormirai pas bien cette nuit si elle est avec moi. Au contraire, je sais très bien qu’elle dormira tout autant que moi. Si le drainage a fonctionné, c’est qu’elle n’aura pas d’autre crise. Si tu préfères que je te ramène chez toi, c’est ce que je ferais… Elle n’a pas le temps de me répondre. Le médecin d’Alexa vient la chercher pour le scan. Je dus attendre qu’elle revienne. Au bout de 20 minutes, une infirmière vient m’annoncer que tout allait bien et que la patiente avait été capable de marcher seule et qu’elle pouvait enfin rentrer chez elle. Je souris et la remercie. En attendant son retour dans la chambre, je prépare ses affaires. Le peu de chose qu’elle avait quand elle est arrivé à l’hôpital. Et quand elle revient dans la chambre, je lui souris. Hey, tu sais la nouvelle? Tu es prête à partir, j’ai fait ton sac. Je te ramène chez toi. Je m’approche d’elle et caresse sa joue. J’embrasse son front. Je te laisse te changer. Je t'ai acheté ça tout à l'heure, j'espère que ça te plait. Je lui tends un sac de vêtements neufs que j’avais pris soins d’aller lui acheter tout à l’heure pendant qu’elle se reposait. Espérant que ça lui ira.

Pas le temps de lui répondre que le médecin vien me chercher pour un autre scan. Pauvre Ian il pensait que je voulais pas de lui. Après mon scanner qui révéla que tout aller très bien je fis quelque exercices pour marcher et tout ce passa très bien. Durant ce temps Ian pensait toujours que je voulais pas de lui. Une fois à ma chambre il me regarde et c'était comme si tout allé bien mais je savais au fond qu’il était triste. Je regarde le sac qu'il me tend.
Merci pour les vêtements il fallait pas c'est adorable.
Mon petit copain était le meilleur durant mon absence il avait tout préparer, j'ai vraiment une chance formidable de l’avoir. Je vais à la dalle de bain et me change histoire de pouvoir partir puis reviens vers lui.
Alors ça me va?
Je dis lui fit un grand sourire puis vient le prendre dans mes bras.
Tu sais j'ai pas envie de rentrer cher moi. Je veux rester avec toi. Si j'ai dis ça c'était par politesse je veux pas trop te déranger mais au fond je leur d’envie de passer la soirée avec toi.
Je le regarde amoureusement et viens l’embrasser. Si je suis partie sur le campus c'est pour éviter Ian a la base car j’avais été blessé lors de la soirée de la St Valentin mais maintenant j'ai qu'une envie, ne jamais plus l'éloigner de lui. Je sais qu'à c'est côté je risque rien. Je l'aime et je veux plus être séparé de lui.  

Je la laisse aller se changer, quand elle revient, je souris. Ah bah, j’ai bien choisi, ça te va à merveille. J’avais jugé bon pour sa taille de vêtements, finalement. La voilà qu’elle me dit vouloir passer la soirée avec moi. Elle est vraiment indécise cette fille. Dis toi que, si je te propose quelque chose, ce n’est jamais pour rien. Si je n’aurais pas voulu que tu viennes chez moi, je t’aurais jamais proposé. Je caresse sa joue et nous voilà en route pour chez moi.

FIN DE SCENE