Je ne voulais pas qu’elle les perdre, ça c’était un fait, mais je ne voulais pas non plus qu’elle les garde à cause de moi. Mais avec ce que j’entends de sa bouche, j’ai l’impression qu’elle a envie de les mettre au monde. Dans 48 heures on sera fixé sur leur survie. Les risques, c’est une sur deux. Je pose ma main sur la sienne sur son ventre. Moi aussi, je ne veux pas que tu les perds Je caresse sa joue. Pour ton père, je ne lui ai rien dit. Ce n’est pas à moi de le lui annoncer, mais à toi seule. Je lui ai parler que de l’accident.  Elle n’avait pas touché à son plateau repas. Je soupire, je ne pouvais pas non plus la forcer, mais les jumeaux avaient besoin de reprendre des forces et seuls les nutriments que leur maman mangera pourraient les aider. Je soupire de nouveau, je devais me changer les idées, penser à autre chose, malgré la peur qu’elle puisse les perdre. Je me lève, lâchant sa main et je me penche au dessus d’elle, ma main contre sa joue et mes lèvres viennent ce déposer sur ses douces lèvres, je passe ma langue sur celle-ci pour entrouvrir ses lèvres et demander un baiser langoureux. Ma main caresse sa joue. Je ne lui ai pas dit que je portais des sentiments à son égard, mais ceci était la meilleure façon de le lui montrer, alors que je sais maintenant qu’elle a des sentiments pour moi. Amoureux ou d’affection, peu importe, j’avais envie de l’embrasser depuis ce soir là de la St-Valentin.

48h et on sera fixé. En attendant je vais tout faire pour éviter le stress ou tout autre choses pourait déclencher une fausse couche. Ian n’avait rien dit mon père et je ne dirait rien je pense avant d’être sur que les bébés aillent bien. Je pense déjà à des tas de choses et c'est la que Ian pose ses lèvres sur les miennes et demande accès à ma langue pour m’embrasser langoureusement. Je le laisse faire savourant se baiser. Mes mains viennent se poser autour de sa nuque et je répondis à son baiser en le prolongement et en l’approfondissent. Ces lèvre contre le mienne me faisait tellement de bien et le fait qu'il m’embrasse me montre qu'il ressent aussi sûrement autre chose que de l’amitié à min égard. Nos lèvres finir par se séparer et mon regard se pose dans le sien.
Je peux en déduire que je suis un peu plus qu'une amie pour toi ou je me fait des film et je vien de rêver que tu m'a embrasser?
Je lui souris et posa ma main sur sa joue la caressent. Mon ventre se mis à faire un drôle de bruit. Finalement j'aivais un peu faim. Je rougis gêné par le bruit de mon estomac qui vien tout gâcher.
Pardon je crois que j'ai un peu faim au final.

Je regarde mon plateau repas et aval quelque chose histoire de me rassasier.

Je me tasse un peu alors pour la laisser manger. Je ris et je regarde l’heure, elle sera bientôt du pour un autre calmant pour sa tête, surtout que j’aurais dû y penser quand elle m’a fait fermer la fenêtre. Je préviens l’infirmière. Pendant qu’elle mange, je m’explique mieux à propos de ce baiser. Au faite je… je suis amoureux de toi depuis… mon réveil de ce coma. J’étais amoureux de toi quand on a… fait l’amour ensemble. Je l’ai fait par amour et non parce que j’en avais envie. Dans mon rêve, dans cette seconde vie… nous étions un couple, un vrai couple amoureux. C’est la seule chose que je regrette de ce rêve, l’amour que nous avions l’un pour l’autre. Quand je me suis réveillé, j’étais déçu que nous étions que des amis. Je rougis, baissant le regard et me frottant la nuque nerveusement. Tu te rappelles de notre balade au lac et de cette crème glacé que nous avons pris ensemble? Et bien, mes sentiments pour toi on débuté là, alors que le lendemain j’ai eu mon accident. Et dans cette seconde vie dans mon coma, ça commencé avec le début de notre amour et nous avions notre endroit préféré. Le grand arbre au lac, c’est là que nous l’avions fait pour la première fois et on l’avait refait en plein hiver quelques jours avant mon réveil, au même endroit…. Je te jure, j’ai réellement vécu une seconde vie… Je relève le regard vers elle, mon cœur avait envie de quitter ma poitrine, alors que j’étais hyper nerveux de sa réaction. Je souris en coin, réalisant à quel point, dans la vraie vie, ça mit qu’une seule fois pour la mettre enceinte. Désolé de te mettre la pression avec mon histoire. L’infirmière vient lui donner son calmant et reprendre le plateau repas.

On a donc déjà était en couple pour lui. Voilà ce qu'il a vécu durant son coma. Je comprends mieux certaines chose. Ian avait vécu tout une histoire d’amour avec moi et à son réveil il n’y avait plus rien. Ça a du le perturber un peu. Je bus ses paroles et souris en imaginant cette vie à deux qu'on a vécu dans cette autre vie. Je le regarde et lui souris.
Non tu ne me mets pas la pression Ian. C'est très beau ce que tu me dis. Tu as vécu une vie avec moi et à ton réveil tout avait disparu. Désolé de pas avoir était celle que tu imaginais à ton réveil.
Je prend sa main et la caresse tendrement.
Je me souviens très bien de cette glace qu'on a mangé ensemble. On avait passé une très bonne soirée. Après tu as eu ton accident et je suis passé presque tous les jours te voir. Je te parlais mais tu devais pas m’entendre. Quand on a coucher ensemble j’avoue ne pas trop savoir ce que je ressentais à se moment là pour toi lais j'ai compris que… j’étais tombé amoureuse de toi lorsque je t’ai vue avec cette autre fille. J’étais jalouse. Je supportais pas l’idée que tu sorte avec une autre fille et à la soirée de la St Valentin quand tu es parti j'ai cru que tu voulais plus de moi. Que tu ressentais pas se que je ressentais pour toi alors je suis parti. Ian j’ignore ou notre relation va aller mais… être ton amie j'y arrive plus… j’ai envie de plus avec toi…
Je venais clairement de lui dire que je voulais être une petite amie à ses yeux et non une amie. Cela n'a rien à voir avec le fait que je porte ses enfants. J’etais amoureuse de lui depuis longtemps j'ai juste mis un peu de temps à m’en rendre compte. On venais de changer mes calmants et la douleur étai moins présente. On va être parents si ça se trouve et j'ai besoin de savoir dans quoi de m’embarque avec lui. J'ai besoin d’une relation stable dans ma vie, de soutien et je suis certaine que Ian peut m'offrir le bonheur et l'amour que je cherche. En tout cas moi je l’aime et j'ai vraiment envie d’essayer de voir si nous deux sa peut marcher.
Dans ta seconde vie, tu étais heureux avec moi?

Je rougis parfaitement, j’avais envie de pleurer de joie. Elle m’aimait, elle était amoureuse de moi. J’étais aux anges. Mon rêve existait finalement. Je pose mon front contre le sien et je dépose un baiser sur ses lèvres. Je ne pouvais pas vivre sans toi. Malgré tout le mal que tu as subi à cause de Sarah et de ma dépression.[/b] Je lui raconte la grande majorité de cette vie que j’avais vécu. Ma main caresse sa joue. [b]Je veux aussi être plus qu’un ami. Je veux que ce soit officiel, qu’on devient un couple et non que des amis… Je t’aime Alexa, je veux aussi construire quelque chose avec toi. Je l’embrasse tendrement. Je ne fais pas attention au bruit de pas dans la pièce et une voix masculine me fait sursauter, alors que nous étions en plein calin Alexa et moi. Alexa? Dr Calloway? Ma fille va bien? Je lâche Alexa et m’éloigne d’elle pour que monsieur Mills puisse voir sa fille. Il alla la serrer doucement dans ses bras et lui dit quelque chose que je ne pus entendre dans le creux de son oreille. Il finit son calin à sa fille et me regarda. Et alors? Je souris et prends le dossier d’Alexa. Elle a subi des blessures mineurs, rien de grave, quelques coupures et une commotion à la tête, mais ça l’air d’aller de ce coté là. Il n’y aura pas de séquelle. On la garde sous observation quelques jours. Le médecin traitant d’Alexa entra dans la chambre pour prendre de ses nouvelles. Au fait moi je suis censé n’être que son obstétricien. Le père d’Alexa arqua un sourcil et alterna entre moi et l’autre médecin. Le concerné prend la parole. Et puis, Dr Calloway, les résultats de l’échographie? Il fallait vraiment qu’il s’en mêle celui là. Les yeux de monsieur Mills se retrouvent sur ma personne, le regard plein de questions. Je l’ignore et regarde l’autre médecin et l’informe. Tout va bien de ce coté là. Le traitement n’a pas affecter la grossesse, les deux bébés m’ont l’air d’aller bien, si c’est pas le cas, c’est d’ici 48 heures qu’on saura si elle les perds ou pas. Mais tout va bien pour le moment. Je suis nerveux. J’entends le père d’Alexa soupirer et la regarder au plus haut point.

Je lui rendi son baiser avec passion. Ian était alors toujours amoureux de moi que ce sois dans ce rêve ou dans la réalité. Je l’écoute me parler de cette vie qu'on a eu ensemble. Certes je pouvais perdre nos bébés à tout moment mais actuellement j’allais être mère et je sortais avec l’homme dont je suis tombé amoureuse et qui se trouve être le père de mes enfants. On était en train de se câliner quand la voix de mon père nous interrompu. Il avait bien vue ce qu'on fesait avec Ian. Il se serra dans ses bras et me glissa à l’oreille.
Je vois que tu es entre de bonne mains…
Je peux pas dire si c'était une remarque gentille ou s'il insinué que j’avais pas besoin de lui maintenant que Ian était plus qu'un ami à mes yeux. On fini par se lâcher et dans son regard je peux bien voir qu'il n'a pas l'aire surprit de me voir dans les bras de Ian. Pour lui c'était une question de temps nous deux. Il lui demanda alors ce que j’avais et Ian lui donna tout les détails mise à par celui de ma grossesse. On avait été d'accord pour rien dire temps qu'on était pas sur que j’arrive à les garder. Malheureusement mon médecin entra et aborda ma grossesse. Pourquoi fallait il qu'il ouvre la bouche du coup Ian n’a pas eu d’autre choix que de tout lui dire. Je pouvais bien voir son regard sur moi et ce qu'il pensait de tout ça mais j'ouvris la bouche avant qu'il ne le face.
Papa je sais ce que tu vas dire et j'ai pas envie de me battre avec toi. Pas maintenant en tout cas je veux pas risquer de faire une fausse couche. Tu sais que j’avorterais pas et je sais que tu n’es pas pour l’avortement. Pour le moment j'ai besoin juste de toi et de mon petit copain rien d'autre tu pense pouvoir y arriver?
Je prend sa main dans la mienne et regarde Ian et lui souris pour le mettre en confiance.
J'ai besoin de vous deux à mes côtés.
Mon père nous regarda puis soupire doucement.
Alexa tu es trop jeune pour être mère. Oui j'aime pas les avortements mais c'est dur d’imaginer sa petite fille devenir mère a son tour. Je serais là pour t'épauler pour vous épauler si besoin mais ça veux pas dire que je trouve que cette grossesse et pour le moment une bonne chose. Tu as eu un accident il y a donc des chances que ta grossesses et quelque complication non?
Il se trouve vers Ian. Je peux entendre dans le ton de sa voie son inquiétude. Sa fille est tombé enceinte de jumeaux et si cette grossesse porte des risques alors ça sera pas facile à vivre. Pour une première grossesse ça va être dure à gérer et il le sait.

Je m’en voulais tellement que le père d’Alexa l’ait appris de cette façon. Mais le médecin traitant de celle-ci devait savoir quand il voulait savoir. Je souris à monsieur Mills. Oui Alexa est entre bonnes mains. Oui la grossesse risque d’être difficile, mais pas à cause de l’accident, mais plutôt du traitement que son médecin avait commencé à lui administrer. Des douleurs au ventre à deux reprises, mais qui ont pas tués les embryons. Mais oui, les bébés risques d’avoir des séquelles s’ils survivent. Je me passe une main dans les cheveux. Elle est enceinte de combien de temps? Je regarde Alexa, alors que je vois son médecin examiné ses blessures au visage et prendre sa pression. Quatre semaines, alors, elle est en plein risque de les perdre. Je me demande juste s’il s’est rendu compte que je suis le père des enfants qu’elle va avoir. Je suis son obstétricien, celui qui s’occupe de la grossesse et je suis aussi un ami, mais ça vous le saviez déjà. Je souris et reste toujours à l’écart d’Alexa au pied du lit. Le médecin traitant fini par quitter la pièce.
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Ma grossesse était à risque et les prochaines heures vont être déterminantes. J’apprends en plus que si je garde mes bébés ils pourraient avoir quelque séquelle du au traitement et au choc que j’ai subi. Je soupire légèrement. J’ai mis leur vie en danger avant même qu’ils soient nés. De plus Ian se fait passer pour mon ami alors qu’on venait de dire qu’on voulait être plus que ça l’un envers l’autre. J’avais très envie de dire à mon père que Ian était le père des bébés que j’attendais et en même temps si ça se trouve Ian à changer d’avis en voyant mon père. Je regarde Ian cherchant une réponse dans ses yeux.
Ami ?...
Il n’était pas obligé de répondre un simple signe de tête et je comprendrais. En fonction de sa réponse j’agirais mais pour le moment j’ai un petit doute sur ce que je suis pour lui la tout de suite.
Tu entends quoi par séquelles ? Tu penses que les bébés vont avoir des problèmes s’ils survivent ? Ils ont peut-être une chance d’aller bien non ?
Oui j’avais un peu peur et mon rythme cardiaque commençait à s’accélérer. Je voulais que mes bébés aillent bien. Je ne voulais pas leur faire vivre une vie remplie de souffrance ou de traitement médicaux à cause de ce foutu accident de bus qui m’a conduit à prendre un traitement qui leur a fait du mal. Je les ai presque tué et voilà qu’ils risquent par ma faute d’en subir les conséquences. Mon père vois bien que quelque chose me travail et inquiet il regarde Ian.
Soyer honnête Dr s’il vous plait. De qu’elle risque vous parlez ? Et il judicieux qu’elle les gardes ou pas ? 

Je me mords la lèvre, je sais que j’ai blessé Alexa en disant que je n’étais qu’un ami. C’était plus pour le médecin qui était là que pour son père, que j’avais dit ça. En étant le père des jumeaux, si ce médecin l’apprend, il m’enlèverait les soins des bébés. Je ne veux pas ça. Je regarde monsieur Mills. C’est leurs cerveaux qui pourraient en être atteints. Ils pourraient être handicapé mentalement. Mais je ne peux pas forcé Alexa a avorté si elle désir ses enfants. Et vous ne pouvez pas l’obliger à avorter juste parce que les petits pourraient être handicapés. C’est à Alexa de décider si elle les mets au monde ou pas, je la supporterai peu importe sa décision. Je suis le père après tout. Je souris en coin à Alexa, alors que son père croit que nous sommes qu’amis elle et moi, pour le moment. Oui ça risque d’être tendu maintenant. Pardon??? J’évite le regard de son père, mais je lui réponds. Oui j’ai mis votre fille enceinte alors que nous avons baiser ensemble que pour du confort… ce soir la ou on a été pris dans la tempête… Il doit surement se rappeler de ce jour la.
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Ian vient de dire à mon père qu’il est le père des bébés quant à moi je me retrouve dans une drôle de situation. Mes enfants risquent d’avoir des problèmes mentaux. C’est déjà dure de s’occuper d’un enfant avec ce genre de problème mais alors deux et en même temps en plus est ce que j’en serais capable… J’avoue être perdu et pendant que je réfléchis mon père règle ses comptes avec Ian.
Vous êtes le père. Vous avez mis ma fille enceinte ! Vous êtes médecin vous devriez savoir qu’il faut se protéger non ! Et là je parle pour vous deux ! Vous couchez ensemble je veux bien mais bordel vous ne pouviez pas faire plus attention.
Mon père commencer à élever la voix sur Ian mais aussi sur moi il nous accuser tout deux d’avoir était irresponsable. Je pose ma main sur ma tête ses cris me donner mal au crâne et tout ce qui se passe me stresse et m’angoisse de plus en plus.
Arrête de crier ce qui c’est passer te regarde pas papa. Ce qui et fait et fait.
Je lève mon regard vers Ian.
J’ai besoin de ton avis cette décision on doit la prendre a deux Ian. Un bébé handicapé ça me dérange pas je peux mis faire mais deux j’y arriverais pas… surtout deux d’un coup… Qu’elles sont leur chance de sens sortir en pleine santé ? Sois honnête surtout et toi tu désir quoi ?
Mon père bouillonnait de rage et fessait les cent pas dans la chambre. Quant à moi j’étais perdu je s’avais plus quoi faire. Je veux ses bébés car avoir la chance de porter ses enfants s’est une chance inouïe mais je ne veux pas leur donner la vie si c’est pour qu’ils souffrent tout leur vie de leur handicape. Je m’en voudrais à vie pour cela.  

Le voilà qu’il hausse le ton sur moi et surtout sur sa fille. Ce n’est pas le moment. De quel droit il se le permet? Je me rapproche d’Alexa. Je suis censé être stérile à 95%, c’est pas ma faute si le 5% a marché du premier coup. Je n’ai donc pas cru être obligé de me protéger. Je ne laisserai pas seule votre fille. Je regarde Alexa, caressant ses cheveux. Écoute ma belle. Je n’ai pas de chiffre, y a un risque à prendre, mais oui ils ont 50% de risque d’être handicapé, je suis désolé. Je n’ai pas à décidé, c’est toi qui est enceinte, j’accepterais ton choix Alexa. Je caresse sa joue du revers de ma main. Je vais vous laisser, j’ai besoin de digérer tout ça, je repasserai demain. Il s’approcha pour embrasser le front de sa fille et quitta la chambre. Je soupire.
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Mon père nous laissa et d’un côté se ne fus pas plus mal. Ca présence ne m’était actuellement pas d’une très grande aide. Je prends la main de Ian ce qui me fit du bien. En gros sois on avait de la chance et nos bébés iraient bien sois ont les condamné à vivre avec leur handicape. J’avoue avoir encore quelque doute.
Ian tu va être peut être père tu as ton mot à dire la dessus. 50% c’est mieux que 90%. Avec un peu de chance si ma grossesse se passe bien, si je fais attention, ils devraient aller bien non ? C’est une chance merveilleuse qu’on a la d’avoir ces bébés. D’un autre coté je m’en voudrais s’ils devaient vivre avec leur handicape tout leur vie.
Je ferme les yeux un moment essayant de réfléchir pour prendre la meilleure décision puis les rouvrir de nouveau pour regarder Ian.
Il y a pas de teste à faire pour le savoir ils sont trop petit encore n’est-ce pas ? On va le savoir que a l’accouchement c’est ça ? C’est trop dur à prendre comme décision…
Toutes ses questions, ses doutes m’épuisent. Je sais plus où donner de la tête je sais plus quoi penser et j’ai cette boule au ventre qui me terrifie. 

Je soupire. Tout était compliqué. J’avais une chance inouie d’être père et voilà qu’ils sont deux et qu’ils risquent d’être malades mentalement. Je m’assois sur son lit et prends sa main dans la mienne. Écoute, on pourra le savoir qu’au 5e mois et à ce moment là il sera pas trop tard pour avorter, mais tu vas devoir accoucher naturellement. Je ne veux pas ça. Je sais qu’on y arrivera et qu’on les aimera quand même. Ne doute pas de ta capacité à être mère. Garde espoir. Je dépose un baiser sur ses lèvres.Je t’aime et je serai là pour toi et là pour eux.

Au bout de cinq mois ça sera trop tard. Je serais à plus de la moitié de ma grossesse il me sera donc impossible de faire marche arrière. Un accouchement naturelle ça me dérangé pas trop au contraire. Je le prends dans mes bras pour lui faire un câlin. J’aimais être dans ses bras je me sentais toujours mieux et plus calme dans ses moment-là.
Je sais que tu as raison qu’on doit tenter notre chance. Je sais aussi que je peux compter sur toi le seul problème c’est justement que je doute de mes capacité à être mère. J’ai grandi sans ma mère et je dois avouer que je ne sais pas si je m’en sortirais comme il le faut.
Je le regarde tendrement et embrasse ses douces lèvres.
Je vais garder les bébés, s’ils tiennent jusqu’aux bout. C’est peut être notre seul chance d’avoir des enfants tous les deux, on doit saisir cette opportunité qui s’offre à nous.
Je crois que c’est la première fois que je l’entends me dire les mots « je t’aime » cela me fit tout bizarre et en même temps me réchauffa le cœur. Je plonge alors mon regard dans le sien et lui souris.
Moi aussi je t’aime. 

Je caresse ses cheveux et je me couche à ses cotés, la serrant contre moi. J’embrasse sa tempe. J’ai espoir qu’ils soient normal. Ils sont un vrai miracle ma princesse. J’embrasse le creux de son cou et je blottis ma tête contre celui-ci. Mais je veux que pendant ces 48 prochaines heures, que tu me dises tout ce que tu ressens, des douleurs, des nausées, tout. Si tu es pour perdre les bébés, tous les symptomes de grossesse, disparaitront 12 heures avant la fausse couche. Je la regarde, lui souriant. Tu as des symptomes? Comme…. Pas de règle. Les seins sensibles. Des nausées. De la fatigue plus que d’habitude? Je pose ma main contre son ventre, je palpe là ou se trouve l’utérus. Il était gonflé de façon normal pour ce stade de grossesse. Je caresse doucement la zone.