Il y a 4 mois, Ian a voulu aider lors du nettoyage de la ville pendant une journée de congé. Et pendant le nettoyage d’une bâtisse, celle où il a eu son accident de moto et reçu une brique sur la tête. Ce jour là, il n’est pas aller voir le médecin, n’ayant aucune séquelle. Il est donc aller aider les autres tout en cherchant aussi sa moto, le seul héritage de son père, sous les décombres. De nouveau il reçoit un morceau de brique de la bâtisse sur le bas de son corps. Par chance, il s’en est sorti et un long coma de 4 mois s’en suivi.

Contexte : Tous les rp fait avec Ian et un ancien joueur et ainsi Alexa, ne sont que des rêves parmi tant d’autres pendant son coma, sauf un. La soirée passée au lac avec Alexa, où ils ont mangé un crème glacé a bien eu lieu. C’est à ce moment que Ian a réalisé ses sentiments envers Alexa.

Une lueur blanche remplace la noirceur de ma vision. Je mets un moment avant de réalisé où je suis. Une fois ma vision revenue, je me rends compte que je suis à l’hôpital. Je me sens rigide de tout mon corps et plus je reviens à moi plus je peux bouger de nouveau. Je me sens lourd et je ferme les yeux pour reprendre mes esprits. Dr Calloway, vous vous sentez comment? Je tourne ma tête vers la voix. Bizarre… on est… quand? L’infirmière est en train de me débrancher de tous ses fils qui me maintenaient en vie. On est 4 mois après votre accident. Vous étiez dans le coma et vous voilà réveiller. Je vais contacter votre famille… oh et puis, il y a une certaine Alexa qui attend dans le couloir… Je souris en coin, réalisant qui elle est. Je veux la voir. L’infirmière me relève mon lit. Très bien, je reviens avec le médecin dans une demi heure. Elle quitte ma chambre. Pendant ce coma, j’ai rêvé à plein de trucs. À Alexa surtout. Mais, je me rends compte que rien de tout ça n’a eu lieu. Mes jumeaux… n’existent pas. Sarah est sans doute encore à New York. J’ai l’impression que c’était réel. Mais pourtant, je suis bien à Broken Hill, mais avec rien de tout ce que j’ai vécu, cette dépression. Cette stérilité. Cet… amour avec Alexa. Je soupire, réalisant que tout est faux, je veux dire, mon amour pour Alexa. Tant pis, maintenant que je suis dans le monde réel, j’espère que ma vie sera meilleure. J’entends la porte s’ouvrir et mes yeux rencontre les siens. Je souris. Salut Alexa, je suis content de te voir.
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Durant quatre moi j’ai essayé d’aider au mieux la ville après le passage de la tempête. J’ai pris soin de ma petite sœur et de mon père comme toujours. J’ai repris le chemin de la Fac et il ne me reste plus beaucoup de temps avant de finir mon année scolaire et d’obtenir mon diplôme. Je me demande encore pourquoi je vais à la Fac. A la base c’était pour sortir de que cher et quitter la ville par la suite mais vue que mon rêve de tour du monde et foutu je sais plus trop pourquoi j’y vais. Enfin bon. Depuis quatre mois Ian est dans le coma. C’est un ami et l’homme qui a sauvé ma sœur. On était plutôt proche avant son accident du coup je passe presque tous les jours le voir quelque minute. Je ne savais pas s’il m’entendait des fois mais je lui parler un peu, lui apportant des nouvelle de la ville et les potins qui circulait bref j’essaie d’être présente pour lui tout comme il la était pour ma sœur. Du coup après me cours je suis passé à l’hôpital. A l’accueil on me dit qu’il vient juste de se réveiller. Je crois ne jamais avoir était aussi heureuse en quatre mois.  Du coup je fonce à sa chambre et j’attends qu’on me donne l’autorisation d’entrer. J’entre enfin un bouquet de fleur a la main et lui fait mon plus beau sourire.
Salut Ian. Moi aussi je suis contente de te voir.
Je lui montre les fleurs que j’avais prises sur le chemin.
Si j’avais su en venant que tu étais réveillé j’aurais apporté des chocolats histoires de te remonter le moral vue la bouffe infâme que tu vas devoir engloutir ici maintenant.  
Je ris à mon propre commentaire et mes les fleurs dans le vase à côté de lui sur la table de chevet. Je lui apportais souvent des fleurs je trouver que ça plus gais. Je le regarde toute contente de le voir et pose ma main sur la sienne.
Tu m’as manqué. Comment tu te sens surement encore un peu dans les vapes tu vas me dire normal après tout tu as fait un bon petit somme.
Je ris légèrement. C’était bon je le voir vraiment. Je retrouvais un ami du coup j’étais toute joyeuse. 

Je souris à sa remarque à propos de la bouffe d’hôpital. Je détourne mon regard du sien, pour la simple raison que j’ai du mal à ne pas la voir que comme une simple amie. Dans ma tête, je la vois comme ma petite amie. Celle que j’ai aimé pendant 4 mois. Celle qui m’a supporté pendant ma dépression. Celle qui m’aimait plus que tout. Celle qui était avec moi alors que Sarah m’en faisait voir de toutes les couleurs. C’était encore frais dans ma mémoire. Mon dernier souvenir de ce long coma est mon réveil après ma chirurgie au cerveau. Dans le fond, je suis soulagé, parce que je n’aurais pas supporter encore longtemps une vie comme celle que j’ai vécu en rêve. Je n’étais pas stérile, je n’avais pas cette tumeur. Sarah n’était pas ici. Au final, je n’avais perdu aucun rêve et je me sentais bien et soulagé. Je regarde de nouveau mon amie. Je vais bien…un peu perdu coté orientation, mais de façon générale, je crois que ça va. Sa main posée sur la mienne, me rendait chaud au cœur. La porte de ma chambre s’ouvrit. Et le médecin s’avança vers moi suivit de la même infirmière que tout à l’heure. Il s’installa à mes coté. Vous êtes prêt pour votre diagnostique? Je le regarde, souriant, j’étais optimiste oui. Oui, je pète le feu ! Je ris et il me sourit. Très bien alors. Voyons donc… Vous avez subit une commotion, on a du vous opérer, ce qui nous a permis de découvrir une tumeur à votre cerveau, mais rien d’alarmant, nous l’avons retiré. Ça devrait aller maintenant. De plus… votre genou droit est fichu, vous boiterez à vie et devriez marcher avec une canne. Il tourna ses feuilles, revenant souvent aux mêmes feuilles. Je le laisse terminer avant de commencer à paniquer. Par contre j’ai une bien pire mauvaise nouvelle. Vous… vous êtes Stérile. Le morceau de la bâtisse tombé sur vous a endommagé beaucoup de chose chez vous et nous n’avons pas pu sauver votre genou et ni…. L’un de vos testicules, qu’on a du vous retirez. Et pour l’autre testicule, le canal est endommagé et les spermatozoïdes meurent avant de réussir à s’avancer. Quelques uns peuvent passer, mais, avec difficulté. Vous avez que 5% de chance de procréer. Je suis désolé. Il referme le dossier. Je me demande si je suis toujours dans ce rêve. Ce qui m’arrive, je l’avais vécu. Il y avait eu du vrai dans ce rêve. Je ferme les yeux et je réalise à quel point je regrette d’être loin de ma copine à New York et de ne pas l’avoir convaincu de ne pas se faire avorter. J’enfouis mes mains sur mon visage et je soupire fortement. Adieu valeur familiale. Adieu la paternité. J’essaie de ne pas pleurer. Je retiens même mes larmes. J’essaie de rester optimiste. Je vais vous laissez entre vous deux, vous avez besoin de vous parler. J’entends des pas quitter la salle. Je ne pétais plus autant le feu que tout à l'heure.

Les nouvelles n’étaient pas très bonnes. Ian avait eu pas mal de dégât a causse de son accident. Le pauvre il avait eu droit à une tumeur, un genou en vrac et une stérilité en plus. Ça doit pas être facile pour lui d’encaisser tout cela. Lui qui était content avant que me médecin arrive le voit au plus mal maintenant. Je pose mon autre main sur son épaule et serre sa main qui est dans la mienne. Il avait besoin de réconfort.

Je suis désolé Ian pour c’est mauvaise nouvelle. Tu sais si tu as envie de pleurer tu peux le faire devant moi. Te retiens pas et vide ton sac ça te fera du bien.

Je lui souris timidement essayant de lui apporter mon soutien comme je le peux. Je ne sais pas si ma présence aide ou si mais mots seront le calmer mais j’essaye en tout cas.

Je sais que pour le moment c’est dur pour toi et qu’il va te falloir du temps mais essaye de rester positif. Un jour tu seras père j’en suis sûr et tu seras un super papa. Ca mettra plus de temps à arriver mais ça viendra. En tout cas tu es toujours vivant c’est déjà une bonne nouvelle. Bon j’avoue que ça doit pas trop te remonter le moral mais si tu as besoin de quoi que ce soit demande moi d’accord. Je serais la pour t’aider si tu veux. C’est ce que font les amis après tout il s’aide.

J’allais pas le laisser seul sauf s’il me le demander alors oui je partirais mais dans ce genre de situation il vaut mieux ne pas rester seul. 

Oui c’était dur à encaisser et je devais rester optimiste à ce qui m’arrive, mais je sais très bien que je risque de sombrer dans quelque chose, peu importe ce que c’est. Mais j’aurais surement une dépendance à quelque chose quand je me retrouverai seul. Avoir des enfants est une grande valeur à mes yeux. À mon départ de New York pour venir ici, Sarah m’avait annoncé sa grossesse, mais le jour de mon départ, elle m’a avoué qu’elle avorterait le lendemain. Je ne sais même pas si je vais la revoir un jour, ou même savoir si elle a vraiment avorté. Me voilà coincé dans une ville fantôme. Je referai sans doute ma vie, sachant que ça ne sera sans doute pas dans le but de fonder une famille. Ce qui est dommage et triste. Je me consacrerais sur mon boulot, le temps qu’une fille voudra bien d’un homme incapable de lui donner un enfant. Rares sont les femmes qui n’en veulent pas. De plus, je vivais ce truc deux fois. Pourquoi se faut-il que ce soit réel? Je regarde mon amie. Je ne pleurerai pas devant toi, ça ne se fait pas, mais oui, j’ai une grosse boule au cœur qui a envie d’éclater. Mais je ne veux pas que tu me laisses seul… je pourrais faire une bêtise. Je la regarde et lui souris. Je ne ferai jamais rien de grave, mais ne me laisse pas seul… je n’ai plus que toi Alexa. Je ne veux pas revivre ce que j’ai vécu en rêve. En tant que médecin, je sais très bien qu’Alexa a raison, même si je n’ai que 5%, je finirai par être père, sans doute par aide médical, ce sera le seul moyen. Je sers sa main dans la mienne et la regarde. Rappelle moi de te faire une crème à glace dès ma sortie de cet hôpital. Je ris. Tu es une bonne amie. Et je n’oublierai jamais cette magnifique soirée que l’on a passé ensemble, la veille de mon accident. Je souris en coin. Tu es une vraie amie, une bonne personne. Je ne la lâche pas du regard, c'est dommage que notre amour n'est pas réel.

C’est bien un truc de mec de pas vouloir pleurer devant une fille. Il y avait pas à avoir honte de pleurer au contraire je trouver ca mignon. Je le regarde et souris repensant à notre dernière sortie ensemble. C’est vrais qu’on c’était bien amuser. Cette sortie avait vraiment était très agréable.  
Merci pour le compliment. Je ne te laisse pas, je vais même te coller au point où tu me supplieras de te laisser tranquille.
Je ris essayant de lui remonter le moral.
Une crème glacé, je ne dis pas non. J’ai beaucoup aimé cette sortie avec toi faudra remettre cela très prochainement alors soigne toi bien pour que tu sortes vite d’ici. Je sais que les infirmières son mignonne mais ce n’est pas un raison pour rester trop longtemps ici.
Je souris lui faisant un clin d’œil.
J’aime bien te voir sourire ça ma changeais du visage inexpressif que tu avais c’est quatre dernier mois. Tu es bien mieux comme ça.
Je prends une chaise que je pose à côté de son lit et où je me pose pour continuer notre discussion.
Tu sais si ton médecin a prévenu ta famille ?
C’est dingue on se connaît en fait depuis un mois lui et moi vue que les quatre dernier mois il n’était pas vraiment là mais j’avais la sensation de retrouver un ami de longue date. 

Je souris à Alexa, qui s’assoit sur la chaise près de moi, la tirant à mon lit. L’infirmière a dit qu’elle allait prévenir mon frère et ma sœur. Je me passe une main dans les cheveux. Je commençais à avoir faim et je me rends, à peine compte, que ma gorge est sèche, alors que j’ai très soif. Je regarde mon amie. [b]Tu sais à quel heure ils servent les repas? Je suis affamé et… j’ai soif, je pourrais avoir de l’eau?[/b] Je lui souris, rougissant, alors que ça me gène de lui demander de s’occuper de moi, alors que c’est exactement ce que je fais.

Souriant a ça demande je le trouver adorable quand il rougissait. Enfin quand je dis adorable je veux dire mignon, enfin agréable à l’ œil, merde… Bref je m’enfonce je dis ça de manière amical vous ne méprenez pas. Du coup vue que même ma tête s’embrouille je me mets à rougir sans raison.
Bouge pas je vais te chercher un verre d’eau je ne voudrais pas que tu te déshydrate.
Je me lève et je lui serre dans un gobelet un verre d’eau que je lui amène et lui tend pour qu’il le prenne.
Si je me souviens bien pour Kristen le repas était vers 19h mais si tu veux je peux demander si c’est possible de t’apporter un repas un peu plutôt ? Tu as passé quatre moi avec des solutés dans le corps je pense que manger un truc te feras pas de mal et je ne pense pas qu’il te le refuse.
Je regarde l’heure à mon poignet.
Il est 18h. Soit tu tien encore une heure sois je vais te prendre un truc à toi de voir ?
Sa famille était pas là pour l’aider alors j’allais le faire et puis ça me dérangé pas de le faire. J’aime aider les gens et encore plus quand c’est des amis. 

Elle rougissait aussi, elle était trop mignonne. Elle se lève et me ramène un verre d’eau. Je la remercie et je bois. Et quand je viens pour lui répondre à propos du repas, l’infirmière entra avec un plateau. Dr Calloway, vous mangez plus tôt que les autres en raison de votre coma et dans une heure, on vous transfert de chambre et si vous allez bien, vous pourrez sortir dans deux jours. Elle pose mon plateau sur la table et l’approche de moi. Je souris, heureux d’avoir de bonne nouvelle. Je mange, l’infirmière repart. Je regarde Alexa. Je suis trop content! Je lui souris et reprends sa main dans la mienne. Parfois j’en oublis qu’on est que des amis. À cause de mon rêve. J’ai vécu quand même quatre mois amoureux d’elle et en couple. Je me demande si mon apparte est plein de poussière? Je ris, je continue de manger.

Finalement on lui apporta son repas et il put manger, ce qui a dû lui faire beaucoup de bien. Toujours assise à ses côtés il reprend ma main dans la sienne et j’avoue être un peu gêné. C’est débile d’être gêné pour si peu. Ce n’est pas que je n’aime pas cela au contraire je serais même prête à dire que je trouve ça agréable. C’est une sensation étrange je ne ressens pas ça avec Alex mon meilleur ami quand on se prend la main.
Ou j’imagine c’est une bonne nouvelle tu vas pouvoir bientôt rentré cher toi. Quand a ton appartement je ne sais pas si ta famille est passé pour arroser les plante ou autre mais si ce n’est pas le cas alors oui tu risques d’avoir un peu de poussière.
Je lui souris puis j’ai un moment d’hésitation j’ai envie de lui demander quelque chose et en même temps je ne sais pas si ma question est pas un peu déplacer. Après réflexion je ne me dis pas grave et je tente quand même au pire il me répondra pas s’il ne veut pas.
Ian je me pose une question tu n’es pas forcé de me répondre mais j’avoue être un peu curieuse. Il se passe quoi quand on est dans le coma ? Je veux dire il se passe absolument rein ou alors tu entends ce qu’il se passe mais tu ne peux pas répondre ou tu ton esprits imagine des trucs ? 

Je regarde mon amie. Elle était si jolie. Encore plus belle que dans mon rêve. Je souris en coin quand elle me pose cette question qui trotte souvent dans la tête des gens. Je ne sais pas quoi lui répondre, j’ai envie de lui mentir, mais je ne suis pas obligé, si je n’aborde pas le sujet de « nous » Et bien, j’ai rêvé, j’ai eu… une seconde vie, qui m’a semblé réelle, j’avais cette stérilité, cette jambe brisée et cette tumeur. J’ai fait une dépression du à ma stérilité et j’ai revu Sarah, normal que je rêve d’elle, c’est ma copine et… elle m’a donné de magnifique jumeaux, trop tôt certes, mais en vie et puis, hop, le réveil. Non évidemment, je n’allais pas parler d’elle et moi. Je ne voulais pas qu’elle sache, ça pourrait la rendre mal à l’aise. Je finis mon plateau repas. L’infirmière revient et me sourit. Votre sœur et votre frère ont étés avertis. Ils viendront vous voir demain et ils vous disent qu’ils sont passé chez vous pour nettoyer la poussière. Je souris. Merci J’étais content de cette nouvelle aussi.

Alors on a une seconde vie quand on est dans le coma. Intéressent. Je me demande bien ce que je pourrais avoir comme seconde vie. Ian lui avait vue Sa copine ce qui est normal et a vécu aussi ses traumatismes. Il faut croire que la limite entre les deux mondes n’est peut-être pas si épaisse que cela au final.  
Une seconde vie c’est… intéressent, mais ça doit être pas mal perturbant quand on se réveille.
J’imagine le bordel que ça doit être dans sa tête. Oui et le vrais du faux ça doit pas être simple de séparer les deux. Finalement sa famille c’était occuper de son aparté et ils passeraient le voir demain c’est une bonne chose.
C’est super tu vas voir tes proches et ils se sont occuper de tout. Finalement il y a quand même de bonne nouvelle. En tout cas si tu as du mal à savoir ce qui est vrais ou faux demande je serais ravie d’éclairer ta lanterne. 

Je la regarde et lui sourit. On vient chercher mon plateau finit. Je commence a fatigué. C’est fou comme j’ai l’impression de ne pas avoir dormi. Mais j’ai du attendre qu’on me transfère de chambre avant de passer une vrai nuit. Alexa a du rentrer chez elle. Elle repassera sans doute demain. Je m’endors paisiblement.

FIN DE SCENE