J’allais peut être enfin penser à autre chose que tout le mal que j’ai en moi. Main dans la main, je passe prendre mon manteau là où je l’ai laisser dans le couloir du bloc opératoire, prenant celui d’Alex par la même occasion. Nous quittons cet hôpital maudit, non sans avoir averti le personnel de Néonat que je rentrais. Pour pas qu’ils me cherchent, mes bébés sont entre bonnes mains. Nous marchons jusqu’au lac. Main dans la main. Je profite de l’air froid, par chance qu’il ne faisait que 0 degré, ce n’était pas si terrible. Nous marchons assez loin du lac, pour ne pas se faire tremper les pieds et tomber malade par la suite. Je dois être là pour mes petits et non malade. C’est dommage qu’on ne puisse pas prendre une glace, c’est fermé à cause de l’hiver. Je la regarde faisant ma mine triste.

Nos vestes enfiler on quille l’hôpital et nous voilà marchant main dans la main. La température extérieur était pas si horrible que ça je trouve même qu’il fait relativement doux pour cette saison. On a connu des hivers bien plus rudes mais bon la saison n’est pas encore finie. Je sourie puis le regarde faire ça petite tête triste.
Tu sais que tu me fais craquer avec cette petite bouille. Tu pourrais avec se regarde me demander la lune je te le donnerais sans hésitation. C’est vrais que c’est dommage ça rappelle bien des souvenir.
Je lui vole un baiser et le regarde avec un petit air amuser.
Ce n’est pas une glace quoi que mes lèvres elles doivent être gelées, mais j’espère que ça te plais quand même.
Je trouvais ça marrant la comparaison de mes lèves froide avec celle de la glace et ça me fit rire. Oui je jouer un peu avec lui. Je voulais qu’il pense à autre chose qu’à tout ce qui se passe autour de lui dernièrement. Je veux qu’il se vide la tête et qu’il pense uniquement au moment présent. Lui, moi et rien d’autre autour. Juste nous deux et les sentiments qu’on récent l’un pour l’autre tout le reste, je veux que pour quelque minutes voire plus si possible ils les oublis. En même temps j’en profite pour moi aussi me vider la tête. Ma vie et bien remplis et j’avoue que penser a rien c’est plutôt agréable.   

Je souris à sa remarque. Et lui redonne un baiser, posant mes mains sur ses hanches et demandant accès à sa langue. En ce moment, il n’y avait qu’elle et moi. Nous étions que nous deux. Seul notre amour comptait, rien de plus. Ce moment au lac me permet de m’évader et de ne penser à autre chose que nous deux. Je sais que je te fais vive une misère, mais de mon coté je sais que tu as raison d’essayer de me ramener. Ça me lasse oui, mais tu es la seule personne en qui j’ai confiance et qui me remets les pieds sur terre. Nous reprenons la marche, je me dirige à notre arbre. Oui je nous l’étais approprié. Je m’arrête juste devant celui-ci, au même endroit ou nous avons échangé nos fluides la première fois. Cette arbre est notre souffle de vie. Il est la preuve de notre amour et notre lieu romantique qui possède pleins de souvenir, notre plus beau souvenir. J’attrape son visage entre mes mains et je l’embrasse amoureusement, je sentais la chaleur de mon corps augmente. J’étais bien et heureux en ce moment. Je la regarde dans les yeux et je lui souris, lui offrant mon sourire séducteur qui n’appartenait qu’à elle. Cet endroit, me rappelle notre première fois. J’adore y penser, parce ce qu’à ce moment, j’étais sur d’avoir trouvé la femme de ma vie, celle qui me donnera une famille... ce jour là, je ne savais pas que Sarah avait gardé le bébé. Elle m’avait dit qu’elle avorterait, pas prête à devenir mère, je l’avais mal pris et j’ai préféré lui être infidèle par tristesse. Ce jour là, j’étais sur qu’un jour cet arbre nous permettrait encore plus de nous offrir une preuve d’amour par le biais d’un enfant… malheureusement, ce bébé entre nous, ne verra jamais le jour. Malgré ce qui m’est arrivé, je t’aime plus que tout au monde. Je caresse ses joues et je pose mon front contre le sien.

Notre arbre. Oui j’aimais cet endroit et ce qu’il représenter pour nous deux. A cette époque lui était tout juste arrivé en ville. La tempête avait frappé et nous avons tous coincé ici. On a dû tous recommencer une vie ce fessant à l’idée de ne jamais repartir. La ville était devenue comme un petit pays a elle tout seul essayant de répondre à nos besoins. On développe même notre propre économie histoire de tenir le coup et de survivre. On arrive à l’arbre qui est le nôtre et je plonge mon regard dans ses magnifiques yeux bleus.

C’est vrais que la première fois ou nous sommes venue ici, on était loin d’imaginer tout ce qui aller se passer. Je t’aime Ian et ce depuis le premier jour où j’ai croisé ton regard. Même si je dois avouer que quelque fois c’est un peu compliqué depuis l’arrivée de Sarah, je t’aime et je ne cesserais jamais de t’aimer. On aura peut-être pas d’enfant ensemble, mais peut m’importe tant que je suis avec toi.

Quand je le vois comme ça c’est vrai que j’arrive à me faire à l’idée qu’il ne me donnera pas d’enfant mais quand je le vois avec ses fils c’est bien plus dur. Son front contre le mienne je souris puis embrasse ses lèvre. Je touche l’arbre le regardant, me rappelant de chaque détail de notre histoire. Je m’appuis contre l’arbre et tire Ian vers moi. Mes bras l’entour au niveau de la taille et j’embrasse  son cou. Je respire son doux parfum et frotte mon nez contre sa joue.

Tu es toute ma vie sans toi je ne suis plus rien. 

Je ferme les yeux quand elle me colle a elle contre l’arbre. C’était le nôtre, je suis à veille de graver nos initiales dans un cœur sur son écorce. Mais je ne le ferais pas, pour la santé de cette arbre. Je la laisse m’aimer, respirant fortement dû à cette nouvelle adrénaline qui monte en moi. Mais cette fois-ci pour une chose agréable. L’hiver était déjà bien entamée, mais ce n’était pas gelé dehors, juste un peu froid, mais doux. Il n’y avait pas de vent, on pouvait même dire que c’était calme. Mes mains se porte sur ses hanches sur son manteau. Alex… tu me rends fou… Si ça continue comme ça, je vais finir par la déshabiller et la prendre une seconde fois sous cet arbre. Je me colle plus contre elle, et à mon tour je porte mes lèvres dans son cou, je le parsème de doux baisers, j’embrasse sa mâchoire et l’arrière de son oreille. Je vais finalement chercher ses lèvres pour l’embrasser d’un baise langoureux et vif de passion. La chaleur de mon corps augmente et mon entre jambe se colle à sa cuisse et sans m’en rendre compte, je me frotte l’intimité doucement contre son pantalon. Je ferais tout pour ne faire qu’un avec toi… à l’instant. Je me fou de l’endroit où nous sommes…. mais.... dommage qu'il fasse froid… La chaleur de nos corps commençait à se mélanger avec le froid de l’extérieur.

Mon corps frissonne sous ses baisers. Je ferme les yeux le laissant faire et savourant la sensation que ça me procurait. Mes mains vont alors caresser ses fesses sur son jean. Mon corps commence à avoir chaud et je commençais à être de plus en plus exister, sentent le désir sexuelle venir. Le sentant se frotter doucement contre ma cuisse je sens qu’il en a envie autant que moi j’en ai envie. Je ré ouvre les yeux lui rendant son baiser langoureux et l’approfondissant par la même occasion. Je plonge par la suite mon regard dans le sien avec un petit sourire en coin.
Tu sais personnellement moi je trouve qu’il ne fait pas si froid que ça. J’ai même plutôt chaud alors si tu veux me retirer mon blouson ça m’arrangerais bien…
Oui on était en hiver mais je m’en ficher mon corps appeler le sien et je me fiche de ce qui se passe autour de nous ou les conditions dans lesquelles ça se passe. Quand il arrive à me rendre dingue de lui comme maintenant tout le reste n’as plus d’importance à mes yeux tout ce qui compte c’est lui, moi et l’envie de ne faire qu’un.
Ian… J’ai envie de toi. Envie que tu me prennes la maintenant et ici…
Je pars emprisonner ses lèvres avec les miennes et joue avec celle-ci quelque secondes. 

Elle me rendait fou. À ce que je vois, ça ne lui dérange pas que je la déshabille ici. Cela m’excitait encore plus de le faire dans ce temps frisquet. Je caresse. Je retire mon manteau, pour le poser au pied de l’arbre et puis lui retire le sien, pour le poser juste au dessous du mien. Je retourne l’embrasser. Je nous retirerai pas le haut de nos vêtements, pour la seule raison qu’on ne gèle pas, malgré la chaleur de nos corps en ce moment. Nous étions toujours debout, je glisse mes mains dans son pantalon et caresse ses fesses, directement sur sa peau. Je l’embrasse sans arrêt, me collant plus contre elle. Je sors une main de ses fesses pour déboutonner son pantalon et le glisser jusqu’à mi cuisse et je m’assois sur les manteaux. Je T’aime mon amour. À chacune de mes paroles, de la buée sortait de ma bouche. Je déboutonne mon jeans, commençant à me sentir serrer dedans. J’assois Alexa sur moi, pour continuer à la caresser, dans son dos sous son haut, ses hanches et ses fesses, qui étaient à l’air froid. Je frotte mon entrejambe encore vêtu de mon jeans contre son intimité nu. Dis le que ça t’excite ce que je fais… Je plonge mon regard dans le sien, lui souriant encore de mon sourire séducteur.

Il ne perdit pas une seconde pour me retirer mon blouson et il fit de même avec le sien. Ses mains était un peu froide ce qui me donna des frissons au début. Cela ne me dérange pas bien au contraire, je trouvais cela existant. Il baissa mon pantalon puis déboutonna le sien. Une fois assit, je m’installe sur lui à califourchon, glissant mes mains sous son haut pour effleurer son torse. Passement son cou de baiser je souris sentant son membre se frotter conte mon intimider. Il est vrai que j’avais un peu froid aux fesses mais ce n’est pas si horrible que ça. En plus Ian caresse mon corps ce qui me réchauffe beaucoup. Je le regarde souriant le trouvant trop sexy avec ce sourire.
Tu n’as pas idée a qu’elle point ça m’excite…
Je l’embrasse sauvagement me frottant en même temps que lui, puis je glisse une main en nous pour aller caresser son sexe par-dessus son pantalon. Je fini même par mettre ma main dans son caleçon pour continuer à le masturber un peu. Une fois celui-ci devenu dur je le sort de son bah et continue de frotte nos intimités l’une contre l’autre sans pour autant le laisser encore entrer en moi. J’aimais le faire attendre un peu quelque fois.
Ca va pas trop froid ?   

Me voilà avec le sexe à l’air, c’était un peu froid, mais nos corps nous réchauffe mutuellement. Je lui souris, caressant sa joue du revers de ma main. Ça va très bien, je suis tellement bien que je ne pense pas à avoir froid. Je vais chercher ses lèvres des miennes. Je l’embrasse langoureusement. Me frottant contre son clito du bout de mon gland. Je gémis, je l’entends gémir aussi. Je me glisse doucement en elle, caressant le creux de ses reins. Mes baisers se dirigent dans le creux de son cou. Je gémis jusqu’à atteindre le fond de son intérieur. Je la colle contre moi, comme si nous fusionnons ensemble. Je suis tellement bien. J’aime te sentir autour de mon sexe. Je t’aime toi mon amour. Je vais chercher de nouveau ses lèvres. Je suis à l’intérieur d’elle, mais je ne m’élance pas encore. Son intérieur réchauffe mon membre durcis. Ses caresses sur moi me font du bien. Mes mains se glissent sur ses fesses et je les soulève et les baisse doucement pour la bouger sur moi.

On devait être les deux seuls cinglés de la ville pour faire l’amour dehors en pleine hiver. Tout ça était très existant. On ne risquait pas d’être dérangé ici à cette période de l’année. Il finit par ce glissé en moi et je gémis. C’était trop bon de le sentir en moi. Cette sensation de sentir quelque chose en nous était vraiment très agréable.
Je t’aime aussi mon cœur.
Au bout d’un moment je commence à m’élancer doucement de haut en bas. Je prends mon temps allant jusqu’au bout de chacun de mes élancements pour le sentir à chaque fois au plus profond de moi. Gémissant de plus en plus au fur et à mesure de notre acte. J’accélère petit à petit. Mes lèvres ne quitte que très peu les siennes et mes mains effleure chaque parcelle de son corps.
J’aime te sentir en moi. Avec toi je vis la plus belle histoire d’amour de toute ma vie. Comment j’ai fait pour vivre si longtemps sans toi.
La température de nos corps augmente, notre respiration se fait plus forte et les battements de nos cœurs s’accélèrent. J’étais bien et heureuse et j’avais l’impression que lui aussi l’était ce qui me rendait encore plus heureuse.  

Plus elle s’élançait sur moi, plus elle allait vite, je gémis fortement. Me blottissant dans ses bras. Je l’aide en m’élançant à mon tour en elle. La poussant, sans me retirer, sur nos manteaux, me retrouvant sur elle. Ma main se glisse entre nous pour aller titiller son bouton sensible. Mon autre main joue avec son mamelon entre mes doigts. Je baise son cou et puis ses lèvres. Je m’élance en elle, lui retirant son pantalon et le mien pour être plus confortable, et ses jambes entourent mes reins. Comment tu as fait? Je n’existais pas avant pour toi, mais maintenant, tu ne pourras plus vivre sans moi. Jamais je ne te laisserais, peu importe ce qui nous arrivera. Je venais de lui faire la promesse de ne pas la quitter, même si déjà je l’avais fait deux fois. J’espère tenir cette promesse. Ma dépression pourra tout faire foirer un jour. Je caresse son sein, son clito et je m’élance en elle, m’enfonçant de plus en plus. Je gémis et frémis fortement. Je me blottit contre elle, mes fesses bougeant contre elle montrant nos ébats amoureux, nous étions en train de libérer nos pulsions en pleine nature et en plein hiver.

Le voilà sur moi. Mes jambes l’entour une fois nos pantalon retirer ne voulant plus qu’il parte. Je gémis de plus en plus fort. Ce qu’il me fessait était trop bon j’en pouvais plus. C’était comme si mon corps était sur le point d’exploser. Mes mains dans son dos, mes doigts s’enfoncent dans sa chaire. Les parole qui m’adressa était très belle j’avais presque envie de pleurer de joie tellement je trouver cette déclaration adorable et touchante.

Promet moi de tenir parole cette fois Ian. Tu as raison sans toi je suis plus rien. Je suis tienne et cela pour toujours. Je n’appartiens qu’à toi et uniquement à toi. Tu es ma raison de vivre, tu es ce qui fait battre mon cœur. Je t'aime tellement mon amour.

Jamais je ne l’abandonnerais. Je l’avais fait une fois au début de sa dépression et je m’en veux encore. Je lui ai promis de jamais recommencer et je compte bien tenir cette promesse. Je le serre fort contre moi, ne voulant plus le lâcher, ne voulant plus qu’il s’arrête de me faire l’amour.

Ian… je t’en prie t’arrête pas… c’est si bon…

Je crois que dans notre couple on a vécu en si peu de temps plus que la plus part des gens vive en une vie entière de couple. Notre amour a tenu jusque-là et je suis sûr qu’il tiendra encore très longtemps. 

J’embrasse sa tempe, je ne cesse pas de lui faire l’amour. Je m’élance plus vigoureusement, relevant son haut pour pouvoir mettre l’un de ses seins en bouche. Je suçote son mamelon, je le mordille doucement, mon autre main allant caresse son entre fesse. Je gémis doucement, me retenant pour ne pas gémir trop fort. Je sentais mon apogée arrivé au bout de quelques minutes d’amour et de passion. J’étais au septième ciel. Je grimpais au rideau. Mon adrénaline de cet après midi se transforma en passion. Ma tension baissa complètement. Mon regard se plonge dans celui de mon amour. Je vais chercher ses lèvres, lâchant son sein. Je mordille sa lèvre inférieure quand je sens que je vais venir en elle. Mais je me retiens pour faire durer l’acte de notre amour passionnel. Alex… je vais venir… Je l’avertis que je m’apprête à me déverser dans son intérieur, attendant son accord.

Pour la première fois j’avais l’impression qu’il était lui-même, ou plutôt qu’il lâchait enfin prise et apprécier la vie. Avec tout ce qui lui arrive, je suis contente que pour une fois il est pas fait une autre TS ou dépression bien que j’ai comme le sentiment que tout ça n’est pas très loin et ne le quittera pas de sitôt. Appréciant ce moment de tendresse entre nous l’une de mes mains caresse sa chevelure noire tandis que l’autre parcoure ses hanches. Je mors la lèvre puis embrasse ses lèvres qui viennent se poser sur les miennes. J’étais tellement bien en ce moment. Ne voulant que jamais ce moment s’arrête. C’était comme notre première fois voir même mieux. C’était magique.
Je t’attends… laisse toi aller Ian…
Je veux qu’il se lâche, qui se sente bien, qu’il se libère. Je veux qu’il pense à nous juste un petit moment avant que son esprit retour auprès de ses enfants fragiles, de l’opération de Sarah et de son coma, de la possibilité qu’il ait perdu son job, du fait qu’il pense qu’Aimerik lui vole son rôle de père. Pour une foi je veux qu’il oublie tout ça et qu’il soit libre. 

Je frémis à ses caresses et à ses baisers. Je l’embrasse en retour. Je continue mon mouvement d’élancement pendant quelques coups alors qu’elle me dit de me lâcher. Je caresse ses hanches et embrasse le creux de son cou. Je m’enfonce profondément en elle, alors que je me déverse dans son intérieur de ma semence chaude. Je sais que maintenant, je lui fais l’amour que par pure plaisir et que jamais on ne décidera de le faire dans le but de consumer notre preuve d’amour par la venue d’un bébé. Jamais on aura d’enfant. On ne pourra jamais prévoir de faire l’amour dans le but de concevoir. Nous le faisons par amour, par besoin et par apaisement. Je caresse son ventre du bout de mes doigts, sachant que jamais je ferais ce geste dans le but de caresser le petit qu’elle porterait de moi en elle. Je gémis fortement, l’embrassant pour faire taire notre jouissance bruitale. Je donne un dernier coup de reins avant de me retirer d’elle et remonter mes pantalon, comme il faisait froid dehors et pour ne pas gelé encore plus. Je m’assois sur les manteaux et je caresse la joue d’Alexa et j’embrasse ses douces lèvres. Je t’aime. Je lui souris en coin.