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| Un mal de vivre terrible. [F. Libre] | |
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Auteur | Message |
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Mes bougies : 36 ans Lettres : 811 Date d'inscription : 05/09/2015 Localisation : Broken Hill Emploi/loisirs : Médecin/obstétricien-généraliste Humeur : reste optimiste | Sujet: Re: Un mal de vivre terrible. [F. Libre] Sam 28 Nov - 21:34 | |
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J’étais toujours assis contre le mur « coussiné » et je regarde Alexa s’approche avec la seringue et se pencher à ma hauteur. Ses paroles sont dur, parce que je réalise que j’ai rompu avec elle et que je ne supporterai pas de vivre seul une fois rétablis. Non, je ne pourrai pas me le permettre. Si elle a lu ma lettre, elle devait savoir que je l’aime toujours autant, mais pourtant, j’ai le pressentiment qu’elle m’en veut, qu’elle me déteste pour ça. La preuve, elle veut elle-même m’injecter ce truc alors qu’elle a aucune formation en infirmerie. Elle pourrait raté la veine et me tuer. Mais bon, au moins je serais mort. Je l’écoute essayer de me convaincre que ma vie n’était pas terminée, pourtant elle l’était. Y a plus aucun rêve dans cette ville. Comment on peut en avoir d’autres alors qu’on ne peut même pas la quitter? Je ne vois pas à quelle rêve je pourrais m’accrocher maintenant que celui où je m’étais accroché c’est envolé…. On est emprisonné dans un endroit où on ne peut rien faire d’autre que survivre. Et ce qui me permettait de vivre c’était ce rêve que j’ai perdu. Je ne veux pas survivre je veux vivre, mais vivre aussi ne fais plus partie de mes rêves. De plus, je t’ai perdu, parce que j’ai rompu avec toi et que je viens de comprendre que… Je soupire et la regarde. Je ne peux pas avoir de vie sans toi et sans ce rêve. J’ai perdu les deux. Mais bon, si cette injection peut me faire oublier mon mal, injecte le moi. Mais surtout, fait bien attention à rater la veine, tu me rendrais un grand service! Je soupire, oui j’étais sérieux, je voulais qu’elle rate son cou et que je disparaisse pour de bon. Je savais que dans moins de 2 minutes après l’injection, je ne serais plus qu’un amas de légumes. Qui ne pourra pas penser. Ni parler. Je ne serai plus rien. Je me lève pour aller sur mon lit, qu’elle puisse faire l’injection. Je suis prêt à recevoir mon cauchemar, donne moi ce traitement Alex.
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| | | Mes bougies : 25 ans Lettres : 928 Date d'inscription : 04/09/2015 Localisation : Broken Hills Emploi/loisirs : Serveuse au Sunset Bar Humeur : Heureuse | Sujet: Re: Un mal de vivre terrible. [F. Libre] Sam 28 Nov - 22:01 | |
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Je l’écoute me parler le cœur lourd. De toute évidence plus rien ne comptais pour lui. Oui on était enfermer ici dans cette ville mais en quoi cela aurait changé les choses si il avait pu être libre de partir ou bon lui semble. Je regarde la seringue. Je n’avais pas envie de le rendre comateux pendant un moment, mais il me laissait plus trop le choix à vrais dire. Au lieu de perdre l’un de tes deux rêves tu préfères donc perdre les deux. On ta refuser d’avoir des enfants et tu n’y étais pour rien, mais c’est toi qui a décidé de me perdre et cela tu ne peux temps prendre qu’à toi. J’avais mal terriblement mal de penser que notre histoire était fini tout ça à cause de cette foutu dépression. Cette maladie avait détruit ma vie une première fois et alors que je commencer à enfin remonter la pente la voilà qui vient de nouveau ruiner ma vie. Dans ta lettre tu dis m’aimer sincèrement et que tu m’as brisé le cœur pour mon bien mais qui te dis que c’est ce que je voulais ? Personne. Si je ne voulais pas être avec toi et endurer ton mal alors il y a longtemps que je serais parti. Tu as pris une décisions pour notre couple sans même m’en parler alors qu’il me semble que j’avais mon mot à dire la dessus. Je le suis jusqu’au lit ou je prends son bras pour chercher la veine. Il pense que je vais me loupé que je n’ai pas les compétences pour ça et je compte bien lui prouver le contraire. En me fessant confiance il pensait mourir, mais au final c’est peut-être ce qui aller l’emmener vers la guérison. J’inspire un grand coup. Pardonne-moi mon amour de t’infliger cela mais c’est peut-être ce qui te soignera. Une larme glissa le long de ma joue pour tomber sur son bras au moment où j’enfonçai l’aiguille à la perfection dans sa veine pour lui injecter le sérum. Je n’avais pas loupé mon coup, j’vais fait cela comme une pro, ce qui fit un drôle d’effet à l’infirmière qui me regarda bizarrement avant de reprendre la seringue. Je m’approche de Ian et embrasse son front un dernière fois.
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| | | Mes bougies : 36 ans Lettres : 811 Date d'inscription : 05/09/2015 Localisation : Broken Hill Emploi/loisirs : Médecin/obstétricien-généraliste Humeur : reste optimiste | Sujet: Re: Un mal de vivre terrible. [F. Libre] Sam 28 Nov - 22:21 | |
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J’avais brisé la vie d’Alexa. Elle avait sans doute raison sur tout ce qu’elle venait de dire. Mais je l’avais perdu maintenant. Je ne pouvais pas revenir en arrière. J’avais gâché sa vie et la mienne et quand j’irai mieux. Il ne me restera plus qu’à fuir cette vie en essayant de passer à autre chose. Réaliser que j’ai tout perdu et vivre avec ça. Après qu’elle m’ait administré le traitement, je sentis l’infirmière me mettre une sonde dans mon bras pour les nutriments. Comme je ne pourrai pas manger. Je me sentais groggy. Je réalise l’ampleur du mal que j’ai fait autour de moi, à Sarah, à Alexa, à ma sœur. Je ne sais pas combien de temps on me donnera se truc, à tous les jours à la même heure. Mais je serais comme un zombie. Je vais sans doute pouvoir me lever pour marcher, comme un zombie, ce truc, m’empêchera de parler, de penser et de réflexionner. J’avais mérité ce qui m’arrive. Je me sentis peu à peu apaisé, mais aussi, perdu. Je tourne mon regard livide vers Alexa. Je ne pouvais pas lui parler, ni lui sourire, mais bouger oui, je le pouvais. Je bouge mon bras vers elle et mon doigt alla caresser sa joue et puis il retomba comme un chiffon sur le coté du lit. J’entendais tout autour de moi, mais je ne pouvais pas réagir aux paroles. J’entends la porte de la chambre s’ouvrir. Deux heures avaient sans doute passés. Je n’avais même plus la notion du temps. Je vis le visage du psy au dessus de mes yeux. Une lumière aveuglante m’aveugla, je ferme mes yeux. Tout va bien, il réagit bien au traitement, il est conscient et peut même se lever pour marcher. Mais le traitement l’empêche de parler et de penser, peut être aussi qu’il a une vue floue, seul lui le sait. Ça arrive à certains. Une vue flou, non pas dans mon cas. Mais par contre, j’avais une terrible envie de pisser, mais pas question de me lever, ce n’était pas le moment.
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| | | Mes bougies : 25 ans Lettres : 928 Date d'inscription : 04/09/2015 Localisation : Broken Hills Emploi/loisirs : Serveuse au Sunset Bar Humeur : Heureuse | Sujet: Re: Un mal de vivre terrible. [F. Libre] Sam 28 Nov - 22:37 | |
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Son regard livide sur moi me fit me sentir terriblement coupable de ce que je venais de lui faire. Je m’assoir alors sur la chaise à côté de lui ne le laissant pas un seul seconde seul. Le temps passe et je ne bouge pas, je reste auprès de lui, lui montrant qu’il n’était pas seul malgré les circonstances. Le psy fini donc par revenir pour vérifier l’état de Ian. De toute évidence il allait bien, enfin si on peut appeler cela allé bien. Je ne savais pas trop si Ian était conscient ou pas de ce qu’il se passait autour de lui ni même s’il pouvait nous entendre. Je m’adresse au psy. Docteur dit moi que ce traitement ne durera pas longtemps, je ne supporte pas de le voir ainsi. Je l’ai mis dans cette état c’est ma faute. Je ne veux pas qu’il souffre vous comprenez. J’étais inquiète pour son état à lui mais de toute évidence mon état à moi n’était pas au beau fixe non plus. Si je restais ici avec Ian c’est d’une par car je l’aime toujours et d’un autre coté car je ne veux pas rester seul de peur de rechuter. Je le sens au plus profond de moi, j’ai envie d’apaiser ma souffrance et je savais très bien comment faire. Si j’avais réussi à tenir le coup jusqu’à maintenant c’était grave a Ian mais sans lui je ne trouve plus la force d’avancer et de me battre. La durée du traitement dépendra de l’évolution de son comportement. Ca ne durera pas très longtemps juste ce qu’il faut. La réponse était plutôt vague et je n’arrivais pas à lire sur son visage si cela était une réponse positive ou négative. Mademoiselle Mills est ce que tout vas bien ? Vous tenez le coup ? Je regarde Ian puis le psy de tout évidence il m’avait asse suivit pendant plusieurs années pour savoir quand ça n’aller pas. D’ordinaire je disais la vérité mais là sans vraiment en prendre conscience je lui avais répondu exactement la même phrase qu’a notre toute première rencontre dans cet hôpital. Oui tout va très bien.
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| | | Mes bougies : 36 ans Lettres : 811 Date d'inscription : 05/09/2015 Localisation : Broken Hill Emploi/loisirs : Médecin/obstétricien-généraliste Humeur : reste optimiste | Sujet: Re: Un mal de vivre terrible. [F. Libre] Sam 28 Nov - 22:50 | |
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Le psy continuait de regarder Ian et son état. Celui-ci ne pouvait plus pensée et ni même parler. Ça devait être dur pour le patient. Mais il comprenait parfaitement ce qui se passant en ce moment dans cette chambre. Il se leva et se dirigea, machinalement à la petite toilette de la pièce. Le psy regarde la scène pour comprendre que Ian était partie faire son besoin pressant. Il regarda de nouveau Alexa. J’espère pour vous que c’est vrai. Connaissant votre passé. Ce qui vous arrive en ce moment, à tous les deux, ne doit pas être facile. Ian ira mieux dès que le traitement soit fini. Aujourd’hui il a reçu une pleine dose du traitement, pendant une semaine, il recevra la même quantité et la semaine suivant on diminuera du quart pendant une autre semaine, et ainsi de suite. Si dans un mois, le traitement fonctionne bien et que Ian se sent normal, il pourra rentrer chez lui, mais il devra continuer à me voir pour son suivi. Je compte sur vous pour m’aider, d’accord? Ian revient sur son lit et se recouche pour fermer les yeux et s’endormir.
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| | | Mes bougies : 25 ans Lettres : 928 Date d'inscription : 04/09/2015 Localisation : Broken Hills Emploi/loisirs : Serveuse au Sunset Bar Humeur : Heureuse | Sujet: Re: Un mal de vivre terrible. [F. Libre] Sam 28 Nov - 23:07 | |
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Je regarde Ian faire ce qu’il a à faire puis reporte mon attention sur le psy. Un mois entier de traitement ce n’était pas possible je ne tiendrais pas un mois entier. Rien me garantissez en plus que cela aller marcher et de toute façon rien me garantisse aussi que notre couple ou plutôt ce qui l’en reste survive. Oui tout va très bien je vous dis. Un mois c’est long mais je ferais de mon mieux si j’ai la certitude qu’il ira mieux. Je venais de lui mentir, chose que je n’avais pas faite depuis bien longtemps. La tout de suite si ça ne tenais qu’à moi je donnerais n’importe quoi pour avaler une bonne dose d’analgésique ou d’anti dépresseur histoire de me calmer et de planer un bon coup pour ne penser à rien et être tranquille un moment. Pendant un instant j’ai presque envié Ian de pouvoir enfin être tranquille et de voilà être dans le même état de transe que lui. Je ne peux pas lui promettre de l’aider mais juste d’essayer car la tout de suite je savais plus trop si j’étais encore en mesure d’être à la hauteur pour lui venir en aide. Dite il finira par guérir un jour n’est-ce pas ? Il pourra de nouveau exercer et redeviendra comme avant ? Ce n’était pas trop une question c’était juste une certitude que j’avais que je voulais entendre être confirmé.
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| | | Mes bougies : 36 ans Lettres : 811 Date d'inscription : 05/09/2015 Localisation : Broken Hill Emploi/loisirs : Médecin/obstétricien-généraliste Humeur : reste optimiste | Sujet: Re: Un mal de vivre terrible. [F. Libre] Sam 28 Nov - 23:21 | |
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Le psy la regarde, pas rassurer du tout qu’elle aille bien elle-même. Il prend la tension d’Ian au cas ou il ferait une réaction, alors que l’homme c’est endormi. Il regarde de nouveau Alexa. Écoutez, beaucoup guérisse et ne replonge pas, et d’autre si, guérisse et replonge pour une quelconque raison. Dans le cas de votre copain, ça risque d’être compliqué. Ça réel raison à sa dépression, c’est sa stérilité, je l’ai compris. Donc, il pourrait replonger au moindre moment où il entendra parler de bébé ou de grossesse d’une amie. Donc oui il peut bien guérir comme rester dépressif à vie et avec des médicaments qui pourrait l’aider au moment de ses rechutes. Il regarde Ian et regarde de nouveau Alexa. Mais il se peut aussi que le traitement en cours fonctionne mieux qu’on le pense.
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| | | Mes bougies : 25 ans Lettres : 928 Date d'inscription : 04/09/2015 Localisation : Broken Hills Emploi/loisirs : Serveuse au Sunset Bar Humeur : Heureuse | Sujet: Re: Un mal de vivre terrible. [F. Libre] Sam 28 Nov - 23:39 | |
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Ce n’était pas vraiment le genre de réponse que j’attendais mais pour le moment cela me convenait. Disait-il la vérité ou chercher-t-il juste à me donner un peu de courage j’en sais rien mais je préférer me dire que Ian avait encore la possibilité d’avoir une vie que de le savoir condamnée à souffrir toute sa vie. Alors prions pour que tout aille bien car si ce n’est pas le cas je lui aurais fait vivre cet enfer pour rien. Je m’étais jurer de tout faire pour ne pas l’envoyer ici et j’ai échoué. Je caresse la chevelure de Ian le regardant dormir. Vous savez je lui ai jamais parlé de ma dépendance d’y il a 4 ans… vous pensez que si je lui en avais parlé, si j’avais était honnête avec lui cela aurait puis l’aider ? Non ne répondait pas vous devez avoir mieux à faire. Je vous laisse tranquille. Je ne voulais pas abuser de son temps ni même avoir envie de discuter réellement avec lui. En fait toutes ses question je me les poser à moi-même à voix haute en fait essayant d’y trouver les réponses par moi-même.
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| | | Mes bougies : 36 ans Lettres : 811 Date d'inscription : 05/09/2015 Localisation : Broken Hill Emploi/loisirs : Médecin/obstétricien-généraliste Humeur : reste optimiste | Sujet: Re: Un mal de vivre terrible. [F. Libre] Sam 28 Nov - 23:59 | |
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Le psy regarde Ian pour s’assurer que le patient dort réellement. Ce serait bien trop souffrant pour Ian d’apprendre que sa copine a été dans la drogue pendant plusieurs années. Il regarde de nouveau Alexa. Je crois que ce n’est pas une bonne idée de parler de ce problème que vous avez eu, il y a à peine deux ans en présence de Ian. Il vous en voudra si vous dites quoi que ce soit en ce moment. Il lui fait des yeux de compréhension. Il griffonne quelque chose dans son calepin. « Allez vous lui dire que vous ne pouvez pas non plus avoir d’enfants? Alors que vous le savez depuis deux ans. Le sait-il? » Il lui montre ce qu’il a écrit.
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| | | Mes bougies : 25 ans Lettres : 928 Date d'inscription : 04/09/2015 Localisation : Broken Hills Emploi/loisirs : Serveuse au Sunset Bar Humeur : Heureuse | Sujet: Re: Un mal de vivre terrible. [F. Libre] Dim 29 Nov - 0:28 | |
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Il avait raison je ne devais pas vider mon sac devant Ian. Il ne supporterait pas que je lui ai caché des choses et encore moi un truc pareil. Je regarde alors le psy griffonner un truc puis me le montrer. Lorsque je lis le mot, je me sentie comme face à une vérité des plus effrayantes. Une vérité que je n’ai jamais voulu vraiment admettre, une chose qui pour moi n’était pas possible. Il se pourrait que ne puisse avoir d’enfant et quand je lus le mot cela la fit se sentir mal, vraiment très mal au point de vouloir disparaitre le plus loin possible. Ian voulais des enfants et je lui faisais croire qu’il pouvant encore en avoir alors qu’au fond je devais pertinemment savoir que je ne pouvais pas lui en donner. Je me voilais la face depuis tout ce temps et pourtant la vérité était le juste sous mes yeux. Ian se sentait coupable de ne pas avoir d’enfant ni de pouvoir m’en donner mais a vrais dire je ne pouvais en avoir ou en tout cas mes chances de tomber enceinte avaient était réduite à cause de mes erreur passer. Ian ignorait tout se pensant seul responsable alors quand vérité lé fautive dans l’histoire c’est moi. Je lui ai mentis, je lui ai fait croire des choses que je ne pouvais lui donner. Je suis un monstre d’avoir fait cela et il a bien fait de rompre au final car il ne mérite pas d’être avec un imposteur-t-elle que moi. Non… je regarde Ian m’adressant directement à lui. Je suis désolé Ian, tellement désolé la seul personne qui a brisé ta vie c’est moi… Ca deviens trop dur à supporter, beaucoup trop dur. Le psy avait touché la corde sensible de trop et là j’en pouvais plus, c’est juste insupportable et il fallait que tout cela s’arrête car je ne pouvais en supporter d’avantage, j’avais attends mes limites. Je me lève de ma chaise et sort prendre l’aire dans le couloir. Je commençais à comprendre Ian et son envie de disparaitre finalement.
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| | | Mes bougies : 36 ans Lettres : 811 Date d'inscription : 05/09/2015 Localisation : Broken Hill Emploi/loisirs : Médecin/obstétricien-généraliste Humeur : reste optimiste | Sujet: Re: Un mal de vivre terrible. [F. Libre] Dim 29 Nov - 3:32 | |
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Le psy écoute Alexa parler à Ian. Il secoue la tête sachant que ce n’est pas de sa faute à elle. Il la laisse quitter la chambre. Il se lève pour regarder les constantes de son patient. Sa respiration était rapide et son cœur battait plus vite que la normal. Le psy secoue la tête négativement. Mon pauvre Docteur Calloway, j’espère que tout ira bien avec votre couple. Il demanda par la suite à l’infirmière de surveiller le patient. Il quitta la chambre pour aller à sa pause déjeuner.
FIN DE SCENE
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