Je n’avais pas vue Sarah de la journée. Elle est ici depuis deux semaines. Et d’habitude elle rentre tôt. Au moins pour le repas du soir.  J’aimais beaucoup Sarah. Elle me plaisait et je sais qu’elle cherche toujours à récupérer son Ian. Et je ne pouvais pas l’en empêcher, ce n’est pas moi qu’elle aime, mais Ian. Et je ferais tout pour qu’elle soit heureuse. Donc, j’aimais la voir rentrer tôt pour parler avec elle et l’admirer. Mais ce soir, elle n’y est pas. Alors, je ne m’inquiète pas trop, car elle m’a envoyé un texto me disant qu’elle se trouvait à l’hôpital pour quelques heures. J’espérais juste qu’il n’y avait rien de grave avec sa grossesse. Je fais donc un peu de ménage une fois rentré après le boulot. Et vers 18 :00 je me fais chauffer un plateau repas au micro-onde et je m’installe au salon, regarder un vieux film de ma collection. Par la suite, je vais prendre une douche chaude avant d’aller au lit vers 22 :00. Je me couche sous les couvertures, laissant la porte de ma chambre entrouverte, pour pouvoir entendre Sarah rentrer à l’appartement. Je finis par m’endormir, sans entendre la belle Sarah enfin revenir.

J’avais fini par m’endormir. Durement, inquiet pour Sarah. J’avais un sommeil léger. Et je sentis une présence dans mon lit. Je ne suis pas inquiet, je sais que c’est elle. Je suis soulagé de la savoir rentré. Mais pourquoi vient-elle dans mon lit? Elle me murmure dans l’oreille, de la prendre dans mes bras. J’ouvre les yeux et je me tourne face à elle, pour la regarder et la serrer doucement et tendrement contre moi. Je caresse son dos pour l’apaiser. Cette proximité me rendait fou. Et je devais me retenir pour ne pas faire de gaffe. Je caresse sa chevelure. Quelque chose ne va pas? Pourquoi tu es rentrées si tard? Ce n’est pas dans tes habitudes Sarah. Quelque chose est arrivé, je sens. Tu es toute crispé ma belle. C’est le bébé? Il ne va pas bien? Tu l’as perdu? Tu veux en parler? Je laisse mon regard dans le sien. Je pose, amicalement, mon front contre le sien. Elle était toute froide. Trop tendue. Elle avait besoin de se détendre. Je regarde l’heure au réveille, tournant ma tête. Il était minuit trente. Je la regarde à nouveau. Ça va aller, je suis là et tu peux tout me dire tu sais. Je la sers contre moi, mon menton sur son crâne. Je soupire doucement, mal pour elle..

Une fois dans le lit d'aimerik, je sens les nerfs commencer a lacher alors lorsqu'il me pris dans les bras, je sanglote en silence incapable de parler. De lui expliquer. Je ne savais même pas par ou commencer. Tout se bousculais dans ma tête. J'avais besoin d'exploser peut etre mais Aimerik ne m'avais rien fait alors je ne voulais pas l'engueuler pour quelque chose qu'il n'avais pas commis. Car j'en voulais seulement a Ian. Puis prenant mon courage dans les main, je relève les yeux vers mon protecteur et mon hote. Ian il.... c'est de ma faute.... J'aurais pas du venir dans cette ville.... J'aurais du rester a New York... Il aurait pas voulu se tuer.... Il a fait une tentative de suicide... En pleure, je viens serrer le bras d’Aymeric en laissant couler mes larmes dans un gémissement de douleur moral.J'étais geler, je tremblais de froid mais ce mal être qui s’était emparer de moi au moment de la découvert de Ian ne m'avais pas quitter de toute la journée et soirée. C'était encrer en moi. J'avais encore l’impression d'avoir son sang sur mes mains malgré mes lavements de main. J'avais encore cette vision de lui au bloc et moi qui essayais de le sauver.... C'est moi qui l'a opérer.... J'ai pris le risque.... Il voulait en finir aimerik tu te rends compte.... M’arrêtant de pleurer, je me redresse dans le lit et fixe le mur en face de moi.....
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Tout ce que je pouvais faire, c’est de la calmer. Même si, en réalité, j’aurais préféré que ce Dr à la con crève. Je sais, c’est méchant, ingrat et inhumain de ma part. Mais, si ça avait été le cas, Sarah n’aurait plus cherché à le récupérer. Je sais qu’elle l’aime et que je ne suis qu’un ami à ses yeux, et que je serais sans doute rien de plus qu’un ami. Je caresse sa chevelure, essayant de l’apaiser. Je suis désolé, ce mec, doit avoir réellement, un tas de problème dans sa vie pour avoir fait ça. Tu as eu du courage d’avoir réussis à surmonter cette épreuve et avoir réussis à le sauver. Tu dois être fier de toi… mais tu sais très bien, que ce mec est un con. Après tout ce qu’il t’a fait. J’aurais voulu rajouté. Tu aurais du le laissé mourir. Mais je sais très bien que je ne pouvais pas dire ça. C’était inhumain et irrespectueux de ma part. Ce sont des choses que l’on doit garder pour soi.

Craquant dans les bras d'Aimerik, mes forces cède. Je n’aie plus envie de paraître forte pour Vicky et Alexa ou même Ian. Non j'ai besoin de laisser s'effondrer ma carapace. Et je n'arrive a faire cela qu'avec Aimerik. Je devais être fière selon lui. Mais au fond de moi, je suis surtout coupable. Tout se qui est arriver a Ian est entièrement de ma faute. J'ai été l'allumette qui a allumer la mèche de la bombe.... Fière pourquoi Aimerik ? Si je ne serais pas venu ici, et que je serais rester a New York, Ian vivrais une vie calme et amoureuse avec l'autre.... il n'aurait pas voulu en finir.... Je me recouche après avoir essuyer mes larmes puis me cale dans ses bras. Il était tard et demain Aimerik travaillait, il fallait qu'il se repose et je ne voulais pas l'en empêcher. Désolée de t'avoir réveiller.... Je.... enfin dors.... je vais juste rester dans tes bras un moment s'il te plaît ? J'ai pas envie de dormir seule ce soir.. regardant ses lèvres, je me mords la lèvre inférieur. Je sais que ce n'est pas bien. Que c'est a cause de ma journée mais j'en envie de l'embrasser de me sentir aimer. Alors je dépose mes lèvres tendrement sur les siennes pour un baiser chaste et tendre puis caressant sa joue, je lui sourie tendrement. Bonne nuit et merci.... Fermant les yeux j'essaye de dormir, mais je ne trouve pas le sommeil au contraire je me sens oppresser. J'ai besoin de changer de positon mais je ne veux pas réveiller Aimerik. Alors j'essaye de me dégager du lit sans faire du mouvement brusque. Puis je me dirige vers la fenêtre et regarde a travers celle ci.

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J’écoute Sarah, je soupire. Si elle n’était pas venue ici, je ne l’aurais jamais rencontré. Ça me blessait, mais d’un coté elle avait raison. Selon ses pensées. Elle s’excusa de m’avoir réveillé. Mais je m’en foutais, je suis pas obligé de travailler, comme je n’ai pas beaucoup de boulot à part passer mon temps à réparer les voitures accidentés lors de la tempête. Je frémis quand elle m’embrassa. Je n’avais jamais sentis une telle chose en moi. Je me sentais aux anges. Je ferme les yeux pour essayer de me contrôler. Elle voulait me laisser dormir. Pourtant je n’y arriverai pas, pas avec ce baiser qu’elle m’avait offert. Même s’il était que pour calmer son stress de ce qui s’était passé. Je la sentis quitter le lit. Je mis quelques secondes avant de le quitter moi aussi et aller la rejoindre. Je n’étais qu’en caleçon. Je me place derrière elle et pose ma main sur ses cheveux pour les caresser. Tu peux dormir avec moi si tu veux, ça te fera du bien. Je tasse un coté de ses cheveux pour en dégager son cou, s’était plus fort que moi, mes lèvres se retrouvent contre celui-ci, le baisant doucement et tendrement. Je caresse ses bras de mes deux mains. Je déplace mes lèvres pour embrasser l’arrière de son oreille. Pour finalement me reculer un peu. Tu dois dormir, ça te fera du bien. J’attrape sa main pour la tirer avec moi jusqu’au lit..

Regardant l'obscurité a travers la fenêtre, je penche ma tête sur le coté quand Aimerik viens m'embrasser le cou puis derrière l'oreille. Je ne sais pas se qui m'arrive mais pendant une fraction de seconde, je l’imaginais nu devant moi... la fatigue sûrement et la journée mouvementé que j'avais eu. Acquiesçant, je me retourne et lui sourie puis va m'allonger dans le lit contre lui. Plongeant mon regard dans le sien, je glisse une main sur son torse avant de venir déposer un baiser a la commissure des lèvres. J'étais tellement bien a ce moment la que j'avais envie de partager plus qu'un simple lit avec lui. Je savais pourtant qu'il a des sentiment a mon égart. Mais a ce moment la j'avais juste envie d'oublier et Aimerik était la première personne qui arrivait a me faire passer un bon moment depuis que j'étais arrivée. Alors évitant d'écouter la voix de la raison qui m'ordonnais de ne pas succomber, je lui sourie et viens l'embrasser sur ses lèvres pendant que ma main glisse jusqu'à son bas ventre...
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Une fois au lit, elle m’embrasse de nouveau alors qu’elle glisse l’une de ses mains jusqu’à mon bas ventre pour la sentir, l’enfouir dans mon caleçon. Je me mords la lèvre. Mon regard dans le sien, je glisse mes mains sur ses hanches, les caressant. Sans un mot, je l’embrasse à mon tour, plus passionnément. Je nous fis basculer pour me retrouver sur elle. Et continuer le baiser. Glissant mes mains sur son corps, la caressant. Je sentais ses doux frissons sous mes doigts. Et plus je la caressais, plus je sentais ma verge se durcir, qui plus est, Sarah la caressait du bout de ses doigts. Sarah… ne t’arrête pas. J’aimais sa caresse, je ne savais pas que c’était comme ça. Des papillons dansaient dans mon bas ventre. À mon tour, je plonge ma main dans sa culotte pour caresser ses lèvres intimes.

Ce n'étais pas bien. J'en était consciente mais j'avais envie de me laisser aller dans ses bras, de laisser mon corps parler pour moi. D'oublier cette journée de « vindiou ». J'étais tellement bien avec lui que je voulais plus que dormir simplement a coté de lui dans ses bras. Je voulais être sa première fois. Je savais au fond de moi que au petit matin, je me sentirais coupable et mal a l'aise mais je n'avais pas envie de réfléchir. Alors l'embrassant je frémis légèrement sous ses caresses. Ma culotte qui commençais déjà a être mouiller a cause de l'excitation que provoque ses caresses. Continuant moi aussi, je caresse l'extrémité de son membre. Je ne voulais rien précipiter pour que ça soit merveilleux pour lui. Puis le laissant accès a mes lèvre intime, je soupire a sa caresse. C'était sa première fois mais il savait y faire déjà. Aimerik.... on va y aller doucement... je l'embrasse et nous fait nous basculer afin que je reprenne le dessus. L'embrassant, je descends de doux baiser dans son cou puis sur son torse, mordillant ses tétons. Puis descendant le long de son ventre, je m’arrête au niveau de son bas ventre, levant la tête pour le regarder et lui demander son accord. Je ne voulais en aucun cas le frustrer ou le bloquer avec ce que je voulais faire. Puis Caressant ses bijoux de famille, je viens déposer de doux baiser sur ceux la.
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J’aimais ce qu’elle me faisait. J’adorais cette sensation que ça me procurait. Je laisse pleinement me toucher et j’essaie d’en faire autant et du mieux que je le pouvais. Je frémis. Je gémis. Je caresse son intimité du bout de mes doigts, jusqu’à ce qu’elle nous fait basculer, me retrouvant sous elle. Elle me caresse sur tout le corps et embrasse mon torse jusqu’à mon pelvis. Elle caressait le bout de mon sexe, la sensation était indescriptible. Elle me regarda, demandant ma permission. Je souris, posant ma main sur sa tête. Vas y, montre moi ce que c’est, laisse toi aller, fais moi vivre. Je caresse ses cheveux. Ses lèvres contre mes bijoux de famille, me faisaient frissonner. Je bouge du bassin, pour qu’elle fasse plus avec mon sexe. J’étais gonflé à un tel point que les veines de ma verge ressortaient. Je ferme mes yeux sous ses caresses. Gémissant. Mes doigts se baladant sur ses bras. Mon liquide lubrifiant, appelant à son intimité.

Une fois avoir son accord, je viens lécher sa queue pour le prendre en bouche par la suite et lui faire une fellation. Puis remontant jusqu'à ses lèvres je frotte mes lèvres intime a son gland capturant ses lèvres posant mes main sur son visage puis l'embrasse avidement. Puis avec une main, je viens caresser son sexe et me redresse afin de l’insérer doucement en moi. Commençant des doux mouvement des reins petit a petit pour le faire progresser doucement en moi...Laisse toi allez …. Je suis a toi toute la nuit.... L'embrassant, je viens lui mordre lobe de l'oreille avant de descendre dans son cou pour happer sa peau entre mes lèvres et l'aspirer. Puis doucement j'augmente la cadence et prends ses mains pour les porter a mes seins afin de les caresser. Le sentant progresser en moi, je frémis et gémis. Puis m'enlevant, je viens me mettre en 69 afin de lui faire une gâterie de nouveau et lui laisser goûter a mon intimité. Gémissant et tremblant légèrement de désir je lui prends son membre en entier dans ma bouche afin que l'extrémité touche le fond de ma gorge. Me redressant, je sourie et l'embrasse puis me couchant, je le laisse venir sur moi. Passant mes jambes autour de son bassin. Vas y Aimerik oui... Me mordant la lèvre, je me courbe de plaisir le laissant aller en moi d'un rythme régulier qui deviens petit a petit intensif. Je l'embrasse me perdant dans mon plaisir. Oubliant toute ma journée. Me sentant bien.
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Ce que je vivais c’était le paradis. Mon corps en tremblait. J’aimais cette fusion entre nous. Je la caressais. Je goutais à son intimité. Entrant ma langue, léchant son bouton sensible. Caressant ses fesses. Ses seins dans mes mains m’excitaient encore plus. Je l’embrasse avidement, amoureusement. Mon sexe dans sa bouche me rendait fou. J’étais à l’apogée de cette union entre elle et moi. Je me retrouve encore une fois en elle. Je voulais me déverser en elle. Je voulais l’aimer au plus au point. Apposé sur elle, je me colle contre elle. Nos corps l’un contre l’autre. Mes baisers dans son cou activaient ma passion. Mes mains se baladaient sur ses hanches, s’enfonçaient dans sa chair. Je me sentis partir en elle. Mon liquide chaud l’emplissant pleinement. Je jouis d’un son rauque. Sarah…. Tu me rends fou. Je caresse sa peau, donnant un dernier grand coup de rein en elle. L’embrassant, pour finalement me retirer d’elle une fois complètement déversé dans son intimité. Je me pose ensuite à ses cotés pour embrasser sa tempe et lui susurrer ses trois mots dans le creux de son oreille. Je t’aime. Je pose ma tête contre sa poitrine et je ferme les yeux..