Il a maintenant un mois la ville fut touchée par une violente tempête, faisant sur son passage de nombreux dégât. Des familles on était déchirés, des personnes furent gravement blessés et d’autre non pas réussis à sans sortir vivant. Coincé dans cette ville peut être pour toujours je ne voulais pas faire partie de ses gens qui se morfonde. Je voulais reprendre ma vie en main histoire de tenir le coup du mieux possible. Reprenant les cours depuis peu, c’était une bonne façon de penser à autre chose qu’au cauchemar dans lequel nous étions plongés. Entre la gestion du bar et mes étude je savais plus trop ou donner de la tête alors j’avais décidé de passer quelque jours sur le campus histoire de faire une pause et de m’isoler de ma famille et de mes autres problèmes. Mon sac sur l’épaule je sors de mon cours et je passe dans la cour histoire de prendre un peu l’aire avec quelque ami. C’est là que j’aperçois Victoria au loin. Je la regarde, lui souris et lui fait un signe de la main. Je ne l’avais pas vue depuis l’enterrement de son père et je voulais savoir comment elle aller surtout avec tout ce qui se passe dernièrement en ville. Je quitte mes amis et me dirige vers elle.

Salut Vicky, comment tu vas ?

De toute évidence ce n’était pas la joie ce que je pouvais comprendre entre la mort de son père puis celui de sa mère, la pauvre en si peu de temps elle avait perdu tous ses repères. Je la regarde et la serre un moment dans mes bras avant de relâcher mon emprise.

Ça va, enfin on fait avec, normale quoi vue ce qui nous arrive.

C’est bon de la revoir. Elle comptait beaucoup à mes yeux. Elle était ma petite sœur de cœur et la voir aller mal me faisait mal.

Oui ça fait longtemps, trop longtemps même que l’on ne s’est pas vue. J’ai appris pour ta mère, je suis vraiment désolé toute mes condoléances. Comment tu gères, entre ton père et ta mère en si peu de temps sa dois pas être simple pour toi ? Tu sais que si tu as besoin de quoi que ce soit je suis là.

J’abordais un sujet sensible mais je voulais lui montrer que j’étais toujours là pour elle quoi qu’il arrive et qu’elle pouvait tout me dire et vider son sac avec moi. Pas besoin de jouer un rôle devant moi, elle pouvait être elle-même sans avoir peur de paraitre faible.  

Qui pouvaient savoir gérer une telle chose, c’était impossible. Personne ne sait comment réagir, comment reprendre le contrôle de sa vie après une telle perte et dans un délai aussi court. J’avais déjà du mal à gérer mes problèmes lorsqu’ils arrivaient les uns après les autre alors s’ils se pointaient tous en même temps je deviendrais surement dingue ou dépressive. Je sais que si j’avais moi aussi besoin de parler elle était là pour moi et ça me faisait chaud au cœur. Mon regard était tendre et réconfortant.

Oui bien sûr je t’écoute ?

Je ne savais pas ce qu’elle allait me demander ou attendre de moi, mais j’allais faire mon possible pour l’aider. Dans mon cœur elle était de ma famille et sans vraiment le savoir elle était en train de le devenir dans la vie réelle aussi, mais ça c’était un autre sujet que je n’allais pas aborder.

Des soucis de santé comment ça ? Pour pas qu’elle en parle à Sam c’est que ça devait pas être une simple grippe. Un cycle de traitement ? Mon dieu mais que lui arrivait il ? J’étais inquiète mais je sentis qu’elle avait besoin que l’on soit forte pour elle, qu’on l’épaule et qu’elle est une épaule sur qui compter.

Pas de soucie si tu as besoin d’un logement tu peux venir cher moi ou plutôt cher mon père vue que je vis toujours cher lui ou si tu veux vraiment être tranquille mes coloc de chambre sur le campus on pas encore reprit les cours donc tu peux squatter si tu as envie ?

J’avais une chambre sur le campus, ça me permettais de fuir les problèmes de la maison quand j’en avais besoin. Je la partager avec deux autres filles. On s’entendait en général très bien et c’est vrai que ça me faisait bizarre d’être seul dans cette grande chambre.

Victoria, qu’est-ce que tu as ? Si tu ne veux pas que j’en parle à tes frère pas de soucis, mais je dois savoir pourquoi je vais loger leur petite sœur et leur mentir sur les raisons de ta venue cher moi.

Niveau secret je commençais à être plus que doué. Ma relation avec son frère Ian était encore un secret pour tout le monde comme le fait que Ian et trompé sa copine qui est enceinte à cause de moi, sans oublier Katherina qui a des problèmes au lycée et que je garde pour moi pour ne pas en parler à sa famille. Les secrets c’est lourd à porter mais j’ai toujours trouvé sa plus facile lorsqu’on les partage avec quelqu’un.

Une leucémie ! A croire que leur famille était maudite. Entre elle est son père, tu m’étonne que Sam n’étais pas près psychologiquement à surmonter un truc pareil, tout comme Ian bien qu’ils se sont pas très proche. Je m’approche d’elle et la serre très forte dans les bras.

Je suis là ma belle, ça va aller. Je sais que c’est difficile pour toi, pour ta famille, mais je te connais tu es une personne très forte tu vas vaincre cette maladie, tu vas t’en sortir. Tu veux garder ça pour toi, très bien je respecte ton choix mais un jour ou l’autre ils devront être mis au courant que tu le veuille ou non ils sont peut-être tas chance de survie.

Ma main dans sa chevelure, je ma caresse tendrement puis plonge mon regard dans le sien.

Tu restes aussi longtemps que tu veux cher moi d’accord. Si tu as besoin de quelque chose tu n’as cas demandé. Et si tu veux que je t’accompagne à tes chimio il n’y a pas de soucis.

Au fond de moi cette nouvelle m’avait mise à terre, mais je ne montrai rien. Elle avait besoin de soutien et nos d’une personne pleurnichant à ses côtés. Cette hôpital je commencer à y être habitué et me demandait si je ne devrais pas me faire faire une carte de membre. Entre ma sœur Kris et Ian sans oublier désormais Victoria, ça faisait beaucoup en peu de temps.

Elle ne m’imposer rien. C’est cette foutu maladie qui c’est imposer à elle. Elle n’y est pour rien. J’avais peur pour elle, mais j’imagine qu’elle aussi avait peur. Je la sens fragile comme une fleur approchant de l’hiver glacial. Je la serre très fort contre moi et embrasse le haut de son crâne.

Si tu promets de te batte je te promets d’être là pour toi, de te soutenir dans cette épreuve et de veiller sur toi. Ne lâche rien.

J’ignorais par qu’elle traitement on pouvait se débarrasser d’une telle maladie mais j’allais faire des recherche et si besoin est, j’étais prête à partager mon sang avec elle si c’était faisable. Elle compté énormément pour moi et elle ne le savait pas mais elle était ma famille désormais. Jamais je ne la laisserais tomber. Ma plus grosse épreuve allé être de cacher une telle chose à sa famille et à Ian.Je prends son visage entre mes mains lui souriant et essuyant les larmes sur ses joues.

Je la lâchai pour qu’elle regarde son téléphone. C’était Sam qui avait besoin d’elle. Je lui souris, contente de voir qu’elle n’ait jamais véritablement seul.

Tu veux que je t’accompagne ou ça ira ?

Je ne voulais pas être une mère poule ou surprotectrice avec elle, je voulais seulement son bien, mais c’était plus fort que moi. C’est dans mon caractère lorsque je sens qu’un de mes proches va mal je deviens surprotectrice. Ça peut vite devenir lourd quelque fois et bien que je fasse mon possible pour me contrôler, c’est plus fort que moi. J’aime voir les gens heureux.

Je veux que tu me donne régulièrement de tes nouvelles d’accord ? Sinon prépare toi à m’avoir sur le dos très souvent.

Je lui fis un clin d’œil. Elle me connaissait et savais comment j’étais donc elle savait très bien que je pouvais être très chieuse quand je m’y m’étais.  

Sur ses mots je la laissai partir, inquiète pour elle, mais aussi pour sa famille qui allait devoir encore une fois surmonter un terrible obstacle. La vie ne les avait pas gâtés cher eux. A côté j’avais l’impression que ma vie c’était du gâteau. Je regarde Vicky s’éloigner puis regarda mon portable pour y regarder l’heure. Je partie en direction de ma chambre pour me reposer un peu. La chambre me semblé bien trop grande et bien trop vide pour moi tout seul. Le seul avantage c’est que je pouvais trainer dans la salle de bain aussi longtemps que je le voulais et était sûr d’avoir de l’eau chaude.