J’étais rentré chez moi après le rendez vous au café avec Sarah. J’étais heureux. Je ne savais pas qu’un jour il y aurait eu quelqu’un pour m’aimer. Je n’ai jamais été aimé par personne. Sarah est la première à être mon amie. À me rendre homme et à être amoureuse de moi. Je l’aime follement. Je ferais tout pour elle. Ce soir je me rends chez elle pour un souper en amoureux. Du moins, c’est comme ça que je le voyais. Elle m’avait envoyé son adresse par texto dans la journée. En ce moment, je quittais à peine la douche pour aller dans ma chambre et me trouver de quoi de confortable et léger à me mettre. J’opte pour une chemise en soie bleu avec un pantalon de toile blanc. Je me hisse les cheveux sur la tête. Je me regarde dans le miroir me trouvant beau gosse. Par la suite, je passe chez le fleuriste, acheter des fleurs pour Sarah. Je me rends chez elle et je sonne à son appartement. J’avais hâte de lui donner les fleurs. De la prendre dans mes bras pour ne plus jamais la lâcher. Je voulais l’embrasser pour l’éternité. Et j’avais surtout hâte de gouter à sa cuisine. Moi, j’avais l’habitude de ne manger que des plats congelés ou du restaurant depuis des années. J’étais bon avec la mécanique, pas avec la nourriture.

On vient m’ouvrir et j’y découvre la plus merveilleuse et jolie femme devant mes yeux. J’adore sa robe. Elle me prend le bouquet. Je lui souris me retrouvant les mains dégagées pour ensuite les utiliser pour remonter sa fermeture éclair de sa robe, comme elle me le demandait. Mes doigts prennent bien soin de passer en dessous du zipper, caressant sa douce peau. Une fois finis, je les passe sur son cou, le caressant doucement. Voilà ma beauté, tu es parfaite. J’entre ensuite dans son appartement, la suivant du regard aller mettre les fleurs dans un vase avec de l’eau. J’observe les alentours. Je trouve qu’il y a une très bonne odeur de nourriture. Je m’avance vers elle. Ça sent vraiment bon, tu nous prépare quoi? Je me colle mon devant de corps à son dos, l’entourant de mes mains sur son ventre, que je commence à caresser doucement, juste là où je sens une petite bosse de femme enceinte. Je souris en coin. J’aimais cette sensation. Mes lèvres vont rencontrer le creux de son cou. Je le parsème alors de doux baisers. Éventuellement, la bosse de mon pantalon se fera sentir contre ses fesses.

Par quoi commencer? La visite ou le repas? J’avais faim et j’avais envie de visiter. Mais je voulais surtout, passer du temps avec la femme que j’aime. Pour moi elle est un cadeau tombé du ciel Elle est celle qui me rend vivant. Avant j’étais au rythme de ma vie, sans but dans la vie. Je passais mes journées à travailler. Je n’avais pas de vie privé. Mais maintenant, pour la première fois, je vie réellement. Je lui souris, elle me semblait inquiète de me demander d’être le beau-père de son enfant. Je ne réfléchis même pas à la réponse. Ça me fait bizarre oui, mais j’en ai envie. J’espère juste être à la hauteur de tes attentes. Tout ce que je vis en ce moment, c’est nouveau pour moi. Je renais quand je suis avec toi. Je caresse sa joue et dépose un tendre baiser sur ses lèvres. Ce bébé, je le veux oui, à deux on y arrivera. Je me dirige vers sa cuisine, d’où provient cette bonne odeur. On mange d’abord et après, tu auras toute la soirée pour me faire visiter, je meurs de faim! Je lui souris, la voyant me suivre. Tu veux de l’aide? Planté debout près de la table, je la regarde sortir le repas.

J’étais assis à la table, en train de penser à ce qu’elle m’avait proposé plus tôt. De donner mon nom au bébé aussi. C’était touchant de sa part. Je devais réfléchir à cela. Mais surement que je vais l’accepter si c’est ce qu’elle désir. Elle nous sert le repas. Ça sentait tellement bon. Elle n’avait pas voulu que je l’aide. Je la laisse donc nous servir. Et une fois, elle aussi, à table, je lui souris. Merci, ça l’air bon. Tu sais…. J’accepte le rôle de père et que tu lui donne mon nom. Ce serait un honneur même. Je caresse sa joue de mon pouce et j’embrasse son front en me relevant un peu. J’étais heureux en ce moment. Bon appétit mon ange. Je commence à manger, trouvant cela bon, mettant de la vinaigrette aussi. Je plonge mon regard dans le sien, les yeux envieux par cette nourriture. C’est trop bon…. Je ne savais pas que c’était si bon des trucs fait maison. Oui, car, je ne me fais jamais à manger. Je mange resto ou plat congelé seulement.

Elle voulait m’apprendre à manger. En plus de m’apprendre à lire. D’abord, je vais devoir apprendre à lire. Je ne pourrais pas faire à manger si non. Je lui souris, elle était trop aimable. Je continue de manger, cherchant mon repas préféré pendant ce temps, mais pourtant, j’en avais pas. J’ai pas eu de mère pour m’en faire un, je n’ai aucun bon souvenir. Mes bons souvenirs ont commencés aujourd’hui. Je ne sais pas, j’aime rien en particulier, désolé. Je baisse le regard. Finissant mon entrée. On fini par attaquer le plat principale, qui était aussi délicieux. J’avais jamais aussi bien manger de toute ma vie. Je la regarde, amoureux, je lui souris. Tu es parfaite Sarah. Je me lève de ma chaise pour aller me pencher sur elle et l’embrasser amoureusement, caressant sa joue. Posant ma main sur son ventre, le caressant. Il nous restait que le dessert avant de passer à autre chose. J’avais hâte d’y gouter.

Je regarde Sarah avec passion préparer notre dessert. Ça sentait tellement bon. J’avais hâte d’y gouté. En réalité, le seul dessert que j’ai mangé dans toute ma vie, c’est un morceau de gateau au chocolat, une fois de temps en temps au petit resto au coin de la rue de mon garage. L’odeur était alléchante et me donnai encore plus faim. Sarah mit nos assiettes desserts sur la table et elle me demanda si elle pouvait s’assoir sur mes genoux. Je lui souris. Je t’aime aussi, viens. Je tape ma cuisse pour faire signe de s’y assoir dessus. Et une fois installer, je tasse sa chevelure blonde et embrasse sa nuque. J’attaque le dessert. Mes papilles en deviennent folles à ce gout. Je fais des bruits et des sons de bouche pour signifier que j’adorais ça. Oh-mon-dieu ! C’est succulent, c’est fabuleux. J’adore ce dessert. Je crois qu’il va devenir mon dessert favori. Je caresse sa joue et attire son visage au mien pour l’embrasser.

Je la suis alors qu’elle se lève me tirant avec elle. Nos langues dansent ensemble, s’entremêlant. Je l’aime, plus que tout. J’adore cette sensation que notre amour me procure, c’est si intense. Elle me colle à elle, je la laisse faire. Je souris, mon regard dans le sien. Oui, je reste dormir avec toi. Je l’embrasse à mon tour pour ensuite lâcher ses lèvres. Je prends sa main que je glisse sur la bosse de mon pantalon, je voulais qu’elle sente à quel point j’étais déjà dur et que je commençais à me sentir à l’étroit dans ce vêtement. Tu sens l’effets que tu me fais? Le pire dans tout ça, nous avions fait qu’un qu’une seule fois. Ce sera ma deuxième fois, si nous venons à le faire ce soir, je crois qu’on est parti pour ça. Coller contre elle, debout, je ne sais où dans l’apparte, je me permets de glisser ma main sous sa robe et dans sa culotte pour caresser ses lèvres vaginales. Mes baisers descendent dans le creux de son cou. Je veux te faire l’amour. Je me sentais maintenant confiant et sur de moi..

C’était gentil de sa part de s’inquiéter comme ça à propos de moi. Oui j’étais prêt, j’en avais envie. C’est à savoir si c’est elle qui en est pas prête. Qui préfèrerait attendre quelques semaines encore. Je ne sais pas si j’arriverai à tenir jusque là. Je trouvais cette pensée rigolote. Je caresse son cou du bout de mes doigts, avant de redéposer un baiser contre celui-ci. Je continuais, malgré ce qu’elle me disait, de la caresser à sa virginité, écartant ses lèvres intimes, pour directement aller caresser son bouton sensible. Oui, c’est ce que je désir en ce moment, pas toi? Je vais chercher ses lèvres des miennes. Je demande accès à sa langue. Mes deux doigts entre en elle. Juste à lui faire ça, j’en étais excité, sentant mon caleçon devenir humide à cause de mon lubrifiant naturel, prêt à m’accueillir en elle.